Soirée de soularde [PV 2 personnes : Yué et Yam ]

Sakara venait d'apprendre une nouvelle bouleversante et avait penser que cela ne la toucherai pas. Alors, quoi de mieux pour oublier qu'aller s'amuser ? Sakara passa une bonne demi-heure sous la douche, des larmes se mêlaient à l'eau, elle se disait que c'était à cause du savon qu'il lui piquait les yeux. Elle essayait simplement de se cacher la vérité.
Après être sortie de la douche, Sakara sentait bon et était toute propre, elle aimait cette sensation. Elle était en colère et en même temps peinée mais elle essayait tant bien que mal de se le cacher. A moins qu'elle le savait et faisait tout pour se dire qu'elle s'en fichait, nul ne le sait. Sakara se dirigea alors nu vers son armoire, elle prit tout ce qu'elle avait de plus court, de plus sexy , de plus attirant.
Elle avait finit de s'habiller : Un petit haut court bleu marine, ce haut elle ne le portait que lorsqu'elle n'allait pas bien, c'était comme ça à chaque fois qu'elle était malheureuse se haut lui sautait aux yeux pourtant, elle le détestait. Pour parler du bas, il n'existe presque pas, un mini short ne couvrant rien du tout et des cuissardes à talons aiguilles de grand talons aiguilles. Dans sa tête un seul esprit se taper le plus de choses qui bougent pour oublier...Mais oublier quoi ? Sakara essayait de ne pas se le redire , de se le dévoiler encore une fois. Habiller de cette manière la jeune femme prit son petit sac blanc et sa veste en cuir pour se diriger vers sa décapotable.
Sur la route Sakara s'arreta à un feu rouge le seul qu'elle prit et un jeune homme pu voir que Sakara pleurait encore une fois elle se dit que c'était à cause du vent. Le vent qui venait directement dans ses yeux, elle remonta ses lunettes de soleil, façon mouche et s'essuya rapidement la joue.
Arriver à Apocalypse la jeune femme déposa sa veste dans le vestiaire. Les premiers clients qui faisaient la queue la regardait de haut en bas en se faissant siffler, pour une fois cela ne lui faisait pas plaisir. Ces larmes redoublaient encore, elle s'installa au bar gardant ses lunettes les larmes coulant sur son visage. Elle commanda une tequilla , puis un double scotch , un Wisky elle n'arretait pas de boire. Ce qu'elle gardait dans son coeur, lui était fatal, Sakara était en pleine dépression. Elle fermait les yeux essayant de se détendre. Elle était là pour ça. Elle avait du vider une vingtaine de verres et ne comptait pas s'arreter à là tant qu'elle penserai à ça.

- Yué ne compatit pas, ne compatit en rien...Je n'ai pas besoin de ta pitié ou encore moins de ton inquiète, j'veux juste qu'on me fiche la paix...

Sakara se mit à pleurer de plus en plus fort en croisant les bras sur le comptoir avant d'y plonger sa tête dedans. Yué n'arriverait à rien avec Sakara en se conduisant comme ça. La jeune femme était déjà assez malheureuse à cause de cette nouvelle, elle n'avait pas en plus besoin de quelqu'un lui donnant son amour et lui prouvant sa sympatie à son égard. Sakara avait envie d'hurler ce qui lui faisait mal. Mais elle ne pouvait pas ce n'était pas possible pas elle.

Sakara le regardait et fut tout d'un coup choquée en voyant la ressemblance. Puis elle tourna la tête paniquant un peu.

° Tu deviens totalement folle ma pauvre Saka', il ne lui ressembla pas. C'est parce qu'il te manque alors tout le monde lui ressemble mais pas Yué pourtant. Il est blond c'est surement pour ça. Je ne devriat pas penser à un homme qui me laisse si lachement, mais je l'aimais vraiment moi. Pour une fois, à chaque fois que je tombe amoureuse c'est toujours la même chose... °

Sakara soupira et gardant son regard vers l'inconnu qu'elle ne connaissait pas encore. Mais il ressemblait tellement à l'être qui lui faisait si mal. Elle ne put s'empecher de dire tout haut.

- Dis moi que tu ne t'apelle pas Nagi et dis moi que tu détestes les motos...et là je pourrais peut être te dire quelque chose, enfin, je ne sais pas, je sais pas si y'a quelque chose, je sais pas si ça t'interresse puis si c'est pour n'couter à moitié, laisse tomber...Et puis..

La fin de la phrase fut éttouffée par les larmes qui montaient.