Enfin arriée

Depuis le début de matiné, Maho avait été assise sur un siége d'un train qui n'était pas très confortable, ce qui lui donna mal au dos. pendant tout ce temps elle dut attendre patiament soit en lisant ou en dessinant mais tout en gardant ses oreillettes pour ne pas être déranger des paroles des gens aux alentours. Ce ne fut que vers l'heure du soupé qu'elle se leva enfin de son siège trop dur et trop raide tout en s'étirant comme un félin. Elle prit son sac qu'elle mit sur ses épaules comme un sac à bandouillère, grâce à la lanière, de tel sorte que cela ne gêne en rien le katana qu'elle avait à sa taille. Elle avait également un autre bagage qui était une malette noire, le genre de malette noire qu'on pouvait voir dans films et où on cachait tout un tas de billets verts, mais pour tuot dire, ce n'était vraiment de l'argent qui se trouvait dans cette petite valise, qui était tout de même de taille moyenne.

Après s'être fait bien remarqué dans la garre ainsi que dans la rue pendant les longues minutes où elle se fit dévisagée, non pas à cause de sa tenue, bien qu'il était bien rare de voir une jeune fille en uniforme pendant l'été, mais c'était plutôt à cause de son regard qui était aussi rouge que le sang. Certaines personnes faisaient en sortes de la contourner pendant que d'autre au contraire, passaient tout près d'elle pour voir si leur vision n'était pas fausse. Maho ni faisait à peine attention, elle avait tellement l'habitude de ce genre de comportement qu'elle ni praitait aucune importance depuis bien longtemps. Elle, tout ce qu'elle voulait pour le moment, c'était qu'un taxi s'arrête devant elle afin qu'elle puisse arriver dans son établicement.

Ce ne fut qu'une heure et demis plus tard qu'elle monta dans un véhicule.La jeune fille ne dit pas un mot pendant le trajet, les seules paroles qu'elle avait prononcé c'était pour indiqué l'endroit où elle devait aller, rien de plus, elle ne prenait même pas la peine de répondre aux questions du chaufeur, à croire qu'elle était sourde, ce qui n'était pas le cas.

Après une demis heure de voiture, Maho arriva enfin devant les grille du pensionnat, ce qui n'était trop tôt car il devait être vers les 22h30, 23h. Lorsqu'elle sortit du véhicule, la jeune fille prit une grande bouffée d'air, non pas que 'lintérieur de la voiture sentait mauvais, mais si, l'odeur qui régnait dans ce véhicule était comparable à un camember bien fait. Lorsqu'elle se dirigea vers le coffre de voiture pour récupérer ses affaires, le chaufeur lui fit grace de ne pas se bloquer le dos sous le poid de son sac qui était aparament assez lourd, trop lourd pour une jeune fille, lui avait dit le chaufeur de taxi.

Une fois qu'elle eut payé l'homme, elle alla se rendre aux portes de l'établissement en silence puor ne réveiller personnes, le seul bruit qu'on entendait, c'était le bruit de deux clochettes qui étaient attachées par un ruban noir à l'extrémité de la poignet de son katana. Elle fit doucement lorsqu'elle ouvrit la porte pour rentrer dans le pensionnat dans le quel elle se retrouva dans un hall immence. Elle marcha jusqu'au milieu de celui-ci en regardant dans tout les côtés afin de pouvoir apercevoir un plan de l'établissement ou bien un concierge qui lui indiquerait où elle devait se rendre.

Il y a de cela deux semaines, Yam n'était plus blessé au poing droit, le fait de sa blessure était son entrainement, frapper contre un chêne jusqu'à que l'écorce rentre dans votre peau ... il n'avait pas cherché à se faire soigner, il avait même refusé de l'aide, il cherchait son propre point faible, pendant tout un mois il avait fait travailler sa résistance, sans guérir sa blessure, s'il la soignait ... la résistance serait son point faible. Seulement, avec tout ce qui l'avait déja enduré, un mois ou une vie de plus avec cette blessure ne serait rien comparé à son passé, bien sombre, begnait de rouge, de sang. Sa main droite, avait guéri bien trop tôt à son goût, il soupçonnait son système immunitaire d'avoir aider dans cette démarcher, oui ... Alors si ce n'était pas la résistance, qu'elle était son défaut ? Sa faille, son talon d'Achille ? Il n'y en n'avait-il aucun ? Pourtant ... bien qu'il est toujours gagné ... il perdait tout les jours, contre lui-même.

Ce soir, il avait les mains dans les poches de son jean, portant une chemise blanche et observant de ses yeux verrons la pleine lune, des yeux verrons ... bien spéciaux d'ailleurs, des yeux verrons signifiaient qu'il possédait des yeux différents, son oeil droit était d'un rouge imitant le sang et l'enfer, tandis que son oeil droit était complètement différent, d'un bleu profond et clair, imitant cette fois-ci l'eau pure d'un fleuve. Il rentrait d'un pas lent dans le pensionnat ... Une journée pareille aux autres, des morts, du sang, des armes, le sabre de Yam était dans son fourreau bien placé dans son dos, et les autres armes ... étaient sur lui, il n'avait pas eut besoin d'utiliser son sabre, il le réservait qu'aux adversaires qui le méritaient.

La pleine lune était signification de sang pour Yam, avant d'entrer dans le pensionnat il murmura cette phrase, pour lui-même :

" - Lors de la pleine lune, le sang est à son paroxysme. "

Il rentra dans le Hall, quittant la pleine lune et la brise de l'extérieur, ses yeux verrons se posèrent d'un élan unique vers ceux d'une jeune femme, peut-être nouvelle ... Elle possédait des yeux rouges, de la même nature que l'oeil droit de Yam ...

Maho resta un moment sans bouger, toujours à contempler le nouvel environnement dans le quel elle allait devoir vivre pendant un bon bout de temps. Elle avança alors vers l'un des couloirs qui se présentait à elle mais elle fit à peine un pas qu'elle entendit du bruit à l'extérieur. Elle s'arrêta net lorsqu'elle entendit la porte s'ouvrir puis elle se retourna avant de voir un jeune homme dans l'obscurité. Malgrès qu'il fasse sombre, elle arriva très bien à distinguer le visage de l'inconnu, en particulier ses yeux véron qu'elle passa très vite, pour elle avoir des yeux ainsi était tout à fait normale, tout aussi normale que les siens.

En regardant le jeune homme plus en détail, elle put facilement s'apercevoir qu'il était un pensionnaire de cet établissement car il n'avait aucun bagage dans le quel pourait se trouver des vêtements ou même des affaires de toilette, mais elle remarqua très bien le katana qu'il avait dans le dos. Pour tout dire, rien ou casiment rien ne pouvait passer à côté de Maho sans se faire voir, à part peut-être les insectes.

Elle resta muette pendant un long moment, elle n'avait pas encore prit l'habitude de parler à une personne de sexe opposer sans baffuer légèrement depuis qu'elle était petite, surement dû à cette époque la qu'elle préférait ne pas en parler puisqu'elle n'arrivait pas à l'oublier. Ce ne fut que au bout de longues minutes qu'elle ouvrit la bouche pour laisser passer une simple parole.

" Bonsoir."

Ce fut la seule chose qu'elle prononça sur un ton neutre mais qui voulait tout de même dire "heureuse de faire votre connaissance", c'était peut-être la douceur de sa voix qui voulait dire ça bien qu'il y avait tout de même une certaine froideur dans ses paroles.

Le jeune pensionnaire observa l'inconnue, un katana à la taille, des yeux rouges, simple. Peut-être une combattante, ou bien une tueuse, ou bien les deux, était-elle de la même trempe que lui ou bien ?... Il extirpa ses mains de sa poche pour s'accouder contre un mur du hall, silencieux, fixant le sol. C'était toujours pareil, quand il était seul dans une pièce avec quelqu'un, que ce soit n'importe qui, il imposait une ambiance froide, silencieuse, il entendit avec surprise un << bonsoir >> de la part de la nouvelle pensionnaire, il leva les yeux vers elle, puis finit par la saluer à son tour :

" - Salut. "

Après cela, après ce mot, il se remit à être silencieux, voir presque lunatique, allez savoir à quoi il pensait, c'était impossible bien heureusement, Yam n'aimait pas ... les gens qui s'intéressaient de trop près de lui, de ce qu'il était, de ce qu'il avait fait et avait subi. Ces personnes là n'étaient pas une grande menace pour lui, ils étaient plutôt une gêne, il en connaissait un ... qui cherchaient surement des informations sur lui on ne sait où, Say ... Quelqu'un qui ne lui voulait peut-être pas forcément que du bien, mais pas forcément du mal non plus, il sortit alors de ses pensées en s'écartant du mur et replaçant ses mains derrière sa tête en poussant un petit soupir, à travers les quelconques vitres de la porte du hall il apercevait la pleine lune ... Lunatique, il reprit la parole :

" - Combattante ... "

Il faisant toujours dos à l'inconnue, pas par mépris, il se devait juste d'observer la lune, qui ce soir était bien pleine, même rouge, c'était beau à voir, brusquement cela sentait le sang dans le hall ... Etait-ce l'imagination de Yam, un signe, ou alors ?....

Maho crut pendant un instant que le jeune homme qu'elle avait en fasse d'elle était soit sourd, soit muet à cause du silence qui prit place avant que son interlocuteur prononce un simple salut. Rien qu'à entendre ce mot sortir de la bouche du jeune homme, maho compris très bien qu'il devait être un peu comme elle , le genre de personne solitaire qui avait dû soubire quelques atrocité , ou peut-être pas. Les gens étaient parfois de très bon comédiens qu'on ne pouvait distinguer les vrai paroles des fausses.

Une embiance lourde et froide se reopsa à nouveau après que le son de la voix du jeune homme se fut estompé, elle fut encore plus froide lorsque ce dernier lui tourna le dos afin d'observer la lune. Il était vrai qu'elle était particulièrement belle en ce soir d'été. Une belle forme ronde, une joli couleur rouge qui n'était pas flachie, de plus les étoiles qui s'intillaient autour de cet astre ne faisait que l'embélir. La jeune fille détourna son regard du ciel lorsuq'elle fut quelque peu surpprise d'entendre une nouvelle fois la voix de l'inconnu qui lui demandait si elle était combattante.

" En quelques sortes. Et vous, l'êtes-vous ?"

Elle demandait cela pour avoir confirmation de ses pensées mais elle s'attendait déjà à avoir cette confirmation car elle ne pensait pas que beaucoup de personnes se promennaenit avec une telle arme sur eux.

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