Raphaëlia arriva enfin au Pensionnat où elle devrait passé un bon bout de temps. Ses grand-parents étaient avec elle et l’aidèrent à transporter ses affaires jusqu’à la porte immense de cette école. L’endroit avait l’air magnifique, elle n’en était pas fâcher, mais il restait un goût d’amertume en elle quand elle vit ses grand-parents lui tourner le dos pour retourner à la voiture. Un soupir glissa hors de ses jolies lèvres roses. Sa grand-mère lui lança un au revoir de la fenêtre de l’auto et une larme lui coulait sur la joue. Le regard tout aussi froid que d’habitude, Raphy lui fit un signe de tête pour lui répondre. Raphaëlia comprenait que c’était dur pour eux que de la laisser ici, mais ils n’avaient d’autre choix que de le faire. Leur moyen financier n’était plus comme avant et ils devaient tout organiser et mettre en place pour que leur budget soit bien dépenser. L’héritage laisser par son père lui était assez pour bien vivre dans cet endroit qui paraissait assez luxueux.
Raphaëlia se retourna lentement et ouvra lentement la grande porte du hall d’entrer. Le hall n’était pas totalement vide, deux ou trois personnes passaient par là, mais sans plus. Les meubles qui ornaient la pièce étaient magnifique et l’endroit respirait le calme et la sérénité. Raphy prit alors le plus de bagages qu’elle pouvait dans ses mains et le avança pour ne pas les laisser en plein milieux de l’entrer. Pour sa première journée elle ne voulait pas passer pour un boulet qui ne sait pas vivre.
C’était la première fois de sa vie qu’elle mettait les pieds dans une école, mais pas pour tout l’or du monde elle n’était stressée. Tout les phénomènes qui s’appelait sentiments ou encore impressions était disparut de chez elle depuis la mort de ses parents adorés. La porte se referma toute seule derrière elle dans un grand claquement à cause du vent et Raphy ne fit pas le saut. La jeune fille poussa tout ses valises et sacs le plus vite possible vers un banc dans l’entrer. Un peu fatiguer du voyage et d’avoir traîner ses bagages un peut partout, Raphaëlia alla s’asseoir sur le banc. Raphy accota sa tête blonde sur le mur qui faisait le dossier du banc et ferma lentement les yeux. Elle respira un bon coup, puit laissa aller l’air dans un long soupir. La jeune femme de seize ans n’était pas décourager, non, simplement fatigué. Elle se mit à penser un peu de tout et de rien durant la petite période de repos qu’elle s’accordait.
*Hum… enfin arriver dans ce « Pensionnat », je me demande s’il y a un comité d’accueil ou s’il faut que l’on trouve tout par soi-même ici! À, et puis, je verrai bien un jour ou l’autre. Je ne resterai pas une éternité ici, assise sur ce banc. Si c’est comme dit, cette école est gigantesque et de grande réputée. J’espère bien ne pas passer pour une étourdie qui n’y connaît rien… Alala… Merci maman de m’avoir instruit, mais j’aurais bien aimer apprendre à connaître ce que c’est qu’une école aussi je crois. J’ai seize ans et bientôt dix-sept, je pense que certains pourrait bien rire de moi si je me trompe ou si je fais un faux pas dans cet endroit. Tu ne croyait pas que c’était mieux m’envoyer dans une école avec plein d’autre enfants? En tout les cas, je vais le voir assez tôt.*
Tout était devenu calme autour d’elle, plus personne n’était là. Pas un pas ne se faisait entendre dans les couloirs qui menait jusqu’au hall. Peut-être devait-elle trouver son chemin, ou même y avait-il une carte sur un mur qui indiquait les chemins à prendre pour se rendre aux dortoirs des filles et des garçons. Pour l’instant elle ne se préoccupait point de cela, Raphaëlia était perdue dans ses pensées et dans un semi sommeil.
Sam 7 Juil - 3:42
