Acoudée à une des fenêtres, son katana attaché derrière son dos, Haku regarde la cour du pensionnat. Elle est immense et grouille d'élèves.
Haku soupire. Le bruit, elle n'aime pas trop et même si le couloir n'est pas mieux que le plein air, il a au moins le mérite d'être silencieux.
Haku pose sa tête de côté sur ses avant-bras.