Le Hall de Nuit...[ libre boy que je connais pas..? ]

Alors Que la Lune était déja bien haute dans le ciel, et que beaucoup de personnes avaient déja fermés les yeux, une jeune femme, elle, commençait sa nuit... Elle sortit de sa chambre, silencieuse, frolant le sol, doucement, puis dévallant les escaliers... Marches aprés marches son esprit tournait au ralentit... Qu'allait-elle faire ce soir ? Qui allait-elle rencontrer ? Elle ne savait rien de sa soirée, jusqu'elle ne voulait pas dormir.. Elle le fesait suffisament le jour, en cour.. Avec des profs aussi nuls, que faire d'autre ? Et puis, c'était plus fort qu'elle.. ses paupiéres étaient trop lourdes pour qu'elle lutte contre alors qu'un prof racontait sa vie.. =)

Finalement, elle arriva, telle une ombre se coulant prés des murs pour etre discrete, dans le hall.. Evidement, il était vide.. La jeune femme avait l'habitude de passer par ici pour aller dans des endroits plus chouettes, la nuit venue.. Mais aujourd'hui, elle ralentit le pas une fois dedans.. Ne réfléchissant pas, elle se dirigea lentement prés de la baie vitrée.. La lumiére se reflétait sur sa peau, dessinant une langue ombre dans son dos.. Elle colla ses mains sur la paroie, et observa la Nuit... Le ciel était sombre, et les étoiles brillaient.. La lune, au loin, posait sa douce lueur sur cet environement.. Un sourire apparut, discret, sur les lévre d'ayashi, et, entendant de petits bruit provenant de deriére son dos, ses long doigts fins quittérent la vitre pour se tourner vers l'origine du bruit...

Karu s'ennuyait, il avait passer sa journée à dormir en dans sa chambre puisqu'il se sentait fievreux, mais maintenant qu'il était en pleine forme, tout le monde dormait. Il décida donc de se promener à l'intérieur du pensionat. Il sortit du dortoir sur la pointe des pieds, s'assurant de ne réveiller personne. Il déscendit les escaliers qui menaient au rez-de-chaussé. Il traversa plusieur pieces vides. Il arriva dans le couloir principal. Il pensa que sa serait une bonne idée d'admirer le pensionat de par la baie-vitrée. S'approchant de la baie-vitrée, il vit une personne planté devant la grande fenêtre. Qui pouvait bien être cette personne qui comme Karu erait dans les couloirs une fois la nuit tombé. Karu se dirigea vers elle, elle l'intriguait. Alors qu'il arrivait derrière cette dernière, elle se retourna.

-Bonjour, moi c'est Karu et toi?

Dit il en souriant chaleureusement.

La jeune femme se retourna vers le bruit.. Et là, elle apperçut un jeune homme... D'abord inquiéte, car elle n'aurait pas cruit rencontrer une ame qui vive à cette heure ci, un petit sourire se dessina sur ses lévres. Aprés tout, beaucoups de gens pouvaient se balabés dans le pensionnat de nuit.. Personne ne l'interdisait... Et ayashi le fesait souvent.. Elle se recula un peu, sentant le contacte de la baie vitrée froide dans son dos, son ombre traçant un grand trai dans le Hall... Elle soupira.. d'abord, elle avait cru à un surveillant.. Et là, qu'aurait-elle dit ? que ce n'était pas interdit ? Bon, ça n'aurait pas été bien cool non plus.. Mais désormais, elle était rassurée, un jeune homme était venu à sa rencontre, et non pas une autre personne..

La lumiére de la lune dans le dos, on ne pouvait pas le voir trés bien.. Elle changea donc de position, estiment que son interlocuteur, qui disait s'appeler karu, avait le droit de savoir à qui il s'adressait... Ayahi sourit et, ses cheveux sombre attachée dans une coiffure qui lui laissait quelques méches devant les yeux, elle répondit à la politesse du jeune inconnu, qui ne l'était plus vraiment.. [ ^^ ] :

Salut ! Moi c'est Ayashi !
Je n'aurais pas crut qu'une autre personne que moi aurais pu etre debout à une heure pareille... !

La jeune fille fit un pas de côté pour sortir de la noirceur et se dévoilée au jeune homme.

-Salut ! Moi c'est Ayashi !
Je n'aurais pas crut qu'une autre personne que moi aurais pu etre debout à une heure pareille... !

Ayashi avait un magnifique visage, des belles lèvres fines, un teint de peau magnifque.

-Ouais, c'est vrai que c'est pas tous les jours que l'on rencontre quelqu'un la nuit dans les couloirs du pensionat. À vra dire, c'est la première fois que je me trimballe la nuit dans l'immeuble puisque je n'arrive pas à dormir. Toi, tu fais quoi à une heure si tardive hors de ta chambre vilaine petite fille!

Dis Karu sur un faux air réprobateur. Il ajouta son constant sourire à la fin de sa phrase.