....alors, c'est ça une machine à laver ?[pv 1ere personne]

Akira, son linge sous le bras, se rendit à la buanderie. Il n'avait pas la moindre idée de ce que pouvait bien être une buanderie. C'était toujours ses domestiques qui s'occupaient du linge chez lui. C'était la moindre des choses. Mais puisque sa mère avait eu cette idée farfelue de l'envoyer dans un pensionnat de prolétaires, il devait s'occuper lui même de son blanchiement.
Ainsi, il poussa la porte sur laquelle était marquée "buanderie".
C'était une grande pièce, carelée de blanc, avec des bancs, quelques tables, des magazines qui trainaient, éparse, mais la chose la plus étrange, c'était toutes ces machines le long des murs.
Il était sceptique.
Lui, le petit génie, était perplexe.

"Alors, c'est ça une machine à laver ?

Il s'approcha. Il y avait un hublot, avec une cage, on devait mettre le linge à l'intérieur.
Mais il y avait aussi pas mal de boutons, et il avait beau checher, il n'avait pas la moindre idée de ce à quoi pouvait bien servir.

"Mais comment ça marche ?"

Il regarda autour de lui, pour voir si il n'y avait pas une âme charitable pour l'aider.

Lena venait pour la première fois dans la buanderie...
Cela faisait déjà un petit moment qu'elle était ici, mais Jamais, elle n'était venue dans la buanderie.
elle savais comme cela marchait, car elle ce souvenait qu'elle regardait toujours sa mère faire ses lessives... Cela la répugnait rien que de pensée qu'elle devait faire les taches ménagère que quelqu'un d'autre faisait a ça place.. Mais elle commençait a s'habituer d'être humiliés a faire ses choses si banales.
Elle soupira, portant son gros bac à linge remplie a exploser.
Elle leva la tête, cognant contre quelque chose, elle lut les lettres qui s'affichait devant elle:
" BUANDERIE"
Stop. C'est finie, je m'arrête ici...
J'entre, j'entre pas...
On dirait une bonne..

elle Laissa tomber son panier sur le sol, hésitant.
Elle soupira: "merde, dans quoi me suis-je fourrée encore.. Si j'entre et que finalement, je n'arrive pas a me servir de ses foutues machines à laves... les autres pensionnaires vont ce moquer. .c'est déjà assez humiliant de devoir le faire.."
elle grognât quelque chose d'incompréhensible, et poussa la porte du pied, reprenant son bac a linge.
Elle soupira, a nouveau.
Elle fit quelques pas, pleins de courage, puis, tourna la tête vers la porte qui était a présent, derrière elle.
Elle ce demanda si il ne fallait pas mieux partir.. et revenir en pleine nuit..
Non, courage voyons!
Ta mère ne serait pas si honteuse!
elle inspira, et se lança.
Elle se crispa d'un coup..
Zut, un garçon était la.. tant pis, elle l'ignora, et ce dirigea en baissant la tête sur ses pieds vers les machines, elle s'accroupis devant une vide, et mis la moitié de son linge a l'intérieure..
Elle observa les boutons, n'y comprenant rien, essayant de ce remémorer ce que sa mère faisait..
Puis, elle tourna et appuya sur plusieurs boutons..
Et la machine ce mit a tournée, elle recula, tombant sur ses fesse, et regarda stupéfaite la machine qui tournait

"et bin tu vois, c'est pas si compliquer que cela!"

elle sourit, et mit l'autre moitié de son linge dans une seconde machine.
Fière d'elle, toujours honteuse de le faire, mais tout de même fière d'elle..
Elle alla s'asseoir, a l'autre bout de la salle.
Puis, par politesse elle salua l'autre garçon, qui semblait perdu

Le jeune aristocrate entendit la porte de la buanderie s'ouvrir. Ce grincement des plus désagréables sonna pourtant comme le son des anges sauveurs à ses oreilles...
Il se retourna vivement, et observa attentivement les gestes de la jeune fille qui était entrée.
Il fut un peu perturbé par le visage...désarmant de beauté qu'elle arborait.
Akira secoua la tête, puis, se reconcentra.
Ah, comme il l'avait deviné, les vêtements se plaçaient dans cette chose, qui se nommait tambour-- il l'avait sûrement lu quelque part dans un livre, mais delà à savoir comme s'en servir...--;
alors, bon élève, il plaça ses propres -enfin plutôt sales, puisqu'il était là- effets dans la machine.
Bon, ensuite...la lessive, on la mettait là ?
...Sûrement.
Les gestes mal assurés, maladroit, observant du coin de l'oeil la jeune inconnue, il mit le liquide tirant sur le vert à l'endroit où il pensait qu'il devait qu'il fût.

Mais, alors qu'il s'apprêtait à pousser les boutons, il s'apperçut que la jeune fille avait caché sa manoeuvre à cet instant, et qu'il ne pouvait pas copier.
Passant une main gênée dans ses cheveux d'un blond tellement clair qu'ils paraissaient blancs.

Allait il oser ?
Il restait là, les bras ballant, ne sachant trop que faire. Lui, le Lord, devoir s'occuper de son propre linge et buter contre une stupide machine...quelle honte !
De plus, le jeune gentleman qu'il était allait devoir demander de l'aide à une demoiselle !
Ce devrait être l'inverse !
Quelle honte, vraiment !
Heureusement qu'il ne connaissait personne ici et qu'aucun de ses proches ne le voyait ici.
Comme ses domestiques riraient si ils le voyait là !

Akira était conscient qu'aucun de ses serviteurs ne l'aimaient, il n'était pas sûre que ses parents l'aima aussi.

Il salua poliement en retour la jeune fille.
Puis, hésitant pendant quelques secondes, il alla vers elle, à pas lents, ayant quitté son air froid et antipathique, il arborait à présent un visage de jeune adolescent d'une beauté candide et d'une maladresse attendrissante.
Une technique d'hôte.

Alors galament, il lui demanda :

"Veuillez me pardonner, jolie demoiselle, mais auriez vous l'immense amabilité de me montrer comment marche ces machines ?
Je me vois dans l'incapacité la plus totale de leur ifaire entendre raison !"

La fille, tres absorbée dans son observation de l'eau savonnée qui tournait à une vitesse fénoménale dans la machine, ne faisait attention a rien.
Jusqu'as ce qu'elle decouvre que le garçon semblait avoir autant de difficultée qu'elle.
Cela la faisait sourire. Ainsi, ce n'etait pas la seule..La seule a ce ridiculiser? Heureusement pour elle, elle s'etait débrouiller, et n'avais pas eu l'abligeance d'allez demander de l'aide.
Cela aurait été inutile vut les connaissance du jeune homme pour ce service.
Elle soupira, commencant a trouver le temps longs..
Reflechit, que faisait mère quand elle faisait une lessive?
simple..elle parlait avec toi..imbecile..tu es seule a present..tu n'as plus personne!
elle secoua la tête
non, il ne faut pas qu'elle y pense..
Une tristesse ce placa sur son visage d'une magnifique pâleur.
Puis, la voix douce du garçon la sortit de sa torpeur.
Elle ce tourna vers lui, l'observa discretement, pas réelement interresser, juste pour oublier ses malheures.
Elle l'ecouta d'une oreille distraite, puis elle sourit
Elle ce leva, et lui fit signe de la suivre sans un mot, elle verifia qu'il avais mit le produit dans le bon tiroire, puis, elle lui montra comment regler le bouton, et appuya sur un autre...
Elle dit simplement:

"voila"

satisfaite.
Elle lui sourit, ne savais pas vraiment que dire, elle l'observa en silence, aillant se rassoire..
Il semblait noble..autant qu'elle? plus?
Plus. Elle l'avais décidez.
Il etait beau..d'une beautée eblouïssante, pas comme les visages monotones des autres éléves.
Il etait different..Blasée mais perdu, riche mais pauvre de connaissance banales, polie et arrogant..
Mais doux..il semblait doux.
Comme elle, les pensées des gens qu'elle rencontraient etait souvent dirigée vers sa paleurs, beaucoups disait qu'elle semblait a une poupée de porcelaine, qu'elle etait si fragile qu'on pouvait la cassée en la poussant simplement..
Mais elle était plus forte qu'on le pensait, mentalement, bien que sa faiblesse physique etait adorable disait-on..
Tant pis, elle n'allait pas essayer de prouver aux gens qu'elle etait forte..ils s'en rendrons comptes si ils s'interressent réelement a elle.
Voila, elle avais décidez..
Elle sourit, satisfaite:

-c'est la premiere fois que vous venez ici?

n'aillant nullement l'intention de ce presenter, comme le faisait tout les éléves de ce pensionnat avec tant de facilitée...Etrange facilitée d'ailleur.

Le jeune Lord fut ravie du service que lui avait rendue la jeune fille.
C'était plutôt humiliant de se voir forcé de demander de l'aide pour une chose qui était banale pour les prolétaires.
Mais c'était la dernière fois qu'on l'y prenait, il se l'était juré, en enregistrant mentalement tous les détails du fonctionnement de cette mystérieuse machine.
Il remercia vivement l'aristocrate, pas chaleureusement car il n'était fait que de glace, semblait il.

"Je vous remercie sincérement de votre aide. Je ne sais pas ce que j'aurai fait sans vous."

Il la regarda. On aurait dit une poupée dans un magasin de voitures. Pas à sa place.
Que faisait elle là dans un pensionnat de prolétaires ? Car elle n'avait pas l'air d'être une fille de la rue.
Il lui répondit, avec un sourire doux et charmant.

"Vous avez deviné juste. Et vous ?"

Question stupide, mais naturelle.

Le sourire de la fausse poupée était doux.
Il semblait plutôt heureux du service rendu par la jeune fille, elle l'observa, c'etait étrange, il semblait glaciale, mais il semblait..reconnaissant.
Elle adorait cette sencation, ainsi, elle retrouvait les visages perdus de ses anciens amis, ils la regardaient durement, froidement, mais cela lui manquait, quand ils la regardaient, elle était au milieux, au centre d'interet..
Dans ce pensionnat, elle semblait comme..Une poupée de porcelaine oubliée, pres a tomber, sur une étagère pleine de poussiere..
Le regard du garçon la faisait revivre.
Elle refusa de le remercier pour cela, redoutant de devoir données des expliquations apres..
Elle murmura donc seulement pour elle même

"merci"

dans un soufle presque sans interet.
Elle sentit qu'il l'observait a son tour.
ce n'etait pas désagréable, non, loin de la.
Une fois de plus, elle sentait qu'elle éxistait, et rien n'etait plus agréable que cela!
Elle acquiessa et dit

-je suppose que sans moi, vous vous seriez débrouiller seul, mais débrouiller comme même..

Elle sourit, et expliqua pourquoi elle disait cela:

-vous n'avez pas l'air d'etre quelqu'un de perdu, mais plutôt noblement autonome.

Elle sourit, observa son sourire doux et charmant.
Elle appreçiait ce jeune Lord, pourtant elle ne lui avant qu'a peine parler.

-Moi aussi. c'est la premiere fois que je vien dans une buanderie...

elle soupira, elle devait passez pour une incapable, une snob, qui refuse de faire des taches menagere qui semblait pourtant normale pour des pauvres, ou des gens simples.
Mais contrairement a ce qu'elle pensait, il semblait ne pas s'en offusquée.
Parfait.

La jolie inconnue murmura quelque chose pour elle même, mais c'était prononcé dans un souffle, presqu'inaudible.
Il y avait quelque chose en elle qu'il aimait bien. Peut être parce qu'elle semblait différente des filles d'ici.
Les filles de ce pensionnat n'avaient aucun raffinement, prenait tout de suite la mouche, et semblaient tellement communes à se maquiller pendant des heures dans un miroir.
La jeune fille de la buanderie, bien que cette appelation fit roman à l'eau de rose, semblait bien différente.
Comme une rose au milieu d'un champ de campanules.
Le reste de la masse était jolie, mais d'aucune n'était belle et n'avait de charme.
Akira surprit ses pensées.
Il faudrait qu'il se calme, il y avait bien longtemps qu'il n'en avait eu de telles.
Il esquissa un sourire :

"Noblement autonome, vous dites ?... Je n'en sais trop rien, mais j'aime bien ce terme là ^^

Il continua à sourire, un mince sourire, pas moqueur, ni ironique, pas non plus amusé, quelque chose qui approchait d'un sourire amicale, bien qu'il resta froid.

"Vous êtes pourtant plutôt douée. Assurément une demoiselle formidable...D'habitude, c'est ma femme de chambre qui s'en occupe... Mais je vous passerais les détails de ma vie des plus ennuyeuse."

Il se sentait revivre, elle ne semblait pas faire attention à ses manières aristocratiques, alors il reprenait ses réflexes de gentleman.
Il saisit la main délicate de la jeune fille, et la porta à son visage, l'effleurant seulement de ses lèvres, en s'inclinant.

"Je me nomme Akira Inushiro, pour vous servir.
Oserai je vous demander votre nom ?"

Au fond de lui, il se sentait mieux : enfin une jeune fille qui ne serait pas choquée par un baise-main des plus protocolaires.

Dans un style diffèrent des autres demoiselles qui ce pavanait le long du pensionnat.
Dans une voix différente des autres demoiselles qui roulait leurs mots sans précautions.
Dans une marche différente des autres demoiselles qui ne méritait certainement pas ce titre de "demoiselle".
Dans une pâleur différente du teint orange des demoiselles qui ce trempait dans leur maquillage jusque' as ressembler a leur idole, qui ne ressemble a rien d' humainement beau selon elle.
En effet. La demoiselle, la vrai demoiselle qui ce trouvait devant ce Lord était naturellement belle.
Belle, tellement belle, qu'elle ne s'en rendait pas compte..
Souvent sa mère la flattait, mais.. pour elle, c'était un compliment de maman, comme toute les mamans trouvent leurs enfants magnifique.
Ses amies, avant qu'elle décide de vivre dans la plus hystérique des solitudes, qui était si jalouse, si jalouse qu'elle en avais mal au coeur.
Finalement, elle préférait s'enfermer dans sa bulle, seule, plutôt que de ressembler a des poupées de chiffons, maquiller comme pour faire le trottoir.
Exagérée faussement, comme si elles allait au théâtre, jouée un personnage.
Elle n'enviait pas ses demoiselles, loins de la. A vrai dire, elle n'en avais aucune idée.. a qui voudrait elle ressembler?
Elle se plaisait, mais se détestait.
Elle regarda la douceur froide du Lord.
Elle était légèrement admirative devant lui.
Elle sourit aux dires du jeune homme...
Appréciant sa voix.

"Douée? C'est votre avis. Je dirait plus... débrouillarde? Non! Observatrice.. sûrement.

Elle sourit, elle s'arrêta pourtant, ne voulant pas continuer dans ses délires.
Il parla de sa femme de chambre, qui s'occupait de son linge.
Elle sourit et dit

- également a vous, je ne m'en suis jamais occuper avant cette expérience que je redoute de devoir exécutée encore un bon nombre de fois..

Dit elle en soupirant,
Il lui offrit la joie d'un baisemain..
Cette sensation d'être une dame n'était plus depuis qu'elle était entré dans se pensionnat..
Des grossier personnages, sans honte ni complexe, ses filles trop sures d'elles..
Peut importe..
Elle exécuta une parfaite révérence et lui sourit, le regardant dans les yeux.

- c'est un plaisir de savoir votre nom de Lord, Akira vous va a ravir.

Elle sourit, et remit en place ses longs cheveux de couleur unique, avant de lui donnée son nom:

Je me nome Lena Niyu...

Bien que le cadre soit des plus vulgaires, voire triste, ou bien carrément déprimant, le spectacle de la jeune fille des plus délicates et raffinées l'accaparait totalement.
Son habitude était de briser les coeurs de ses camarades de classe.
Ces filles, ou plutôt des pintades, qui se disaient romantiques et sensibles, sorties d'un roman de gare, un pulp fiction plein de caricatures et d'eau de rose, écoeurant d'amour mièvre.
Ces filles sûres d'elles, roulant des hanches et avec leurs moues vulgaires sur leurs lèvres qu'elles peinturluraient de maquillage coloré comme en un jour de carnaval.
Il repensait à son arrivée au Japon; si il connaissait parfaitement les traditions nippones par sa mère, les us et coutumes des rues lui échappaient plutôt.
Le peu qu'il s'était mêlé aux autres, il avait été dérouté par ces kogals, ces lolita...

Quelle grâce, quelle beauté y avait il en ceci ?
Il avait finit par trouver. Les autres étaient des poupées de chiffon. Elle était une poupée de porcelaine.

Elle, finalement, venait du même monde que lui, et pouvait comprendre ce qu'aucun ne pouvait saisir.
Elle, comprendrait surement la douleur de se voir refusé l'héritage des lords, parce qu'un père trop orgueilleux ne veut pas le reconnaitre.
Elle pourrait comprendre l'attirance et la jalousie qu'il avait pour cette branche de sa famille.

Il sourit à la remarque sur la corvée de linge.

"Surtout, je crains que cette tâche soit beaucoup plus ennuyeuse qu'elle ne l'est déjà si je ne suis plus en votre charmante compagnie."

Elle fit une parfaite révérence, ce qui le conforta dans son idée de noblesse.

"Mademoiselle Lena Niyu"répèta til comme pour lui même, croquant chaque voyelle comme un fruit juteux et sucré d'une après midi d'été.

"Voici donc le nom de la rose qui s'épanouit dans cette pièce maussade. Je suis ravi de faire votre connaissance."

Nouveau sourire, toujours froid, mais courtois.
Ses yeux, pourtant, n'arrivaient pas à cacher la...sympathie qu'il ressentait déjà pour elle.
Il demanda la permission de s'assoir près d'elle.
Après l'avoir obtenue, il lui demanda :

"Peut être paraitrais-je trop indiscret, mais, vous n'êtes pas une de ces prolétaires qui peuple le pensionnat, n'est ce pas ?"

Il avait un peu de mépris pour ces gens basiques et normaux.

Elle sourit, le compliment du jeune homme était des plus flatteurs.
Ses pommettes rougir légèrement, ce qui accentuait sa beauté de petite poupée naturelle.
Elle décida de lui proposer quelque chose.. Une sorte de pacte, qu'elle trouvait très raisonnable.
Bien sur, il refuserait si ça compagnie lui déplaisait, pourtant, il ne semblait pas être si mécontent que cela, au contraire, il semblait.. heureux? Non, peut être pas jusque la..
Elle accompagna ses paroles par un sourire doux:

vous plairais-t-il que nous faisions cette tache que nous redoutions ensemble..

Elle hésita continua:

Nous pourrions venir ici, une fois par semaine.. Et nous discuteront, attendant que notre tache s'accomplira..

Ces derniers mot la fie sourire, on aurait dit qu'elle parlait de sauver l'Egypte contre la tyrannie..
Mais elle n'en pensait pas moin.. Accomplir ce qu'une femme de rang Pauvre faisait pour elle..
La femme de menage.. c'était ainsi que sa mère l'appelait..
Pourquoi donner un nom a ses femmes qui font un travaille si humiliant..
Ba, il faut bien que quelqu'un le face non?! Et tant mieux que ce ne soit pas elle.
Elle ne pourrait pas en faire son métier.
Il répéta son prenom.. d'une façon si étrange, que cela la sortit de ses songes,
Elle leva vivement la tête, et le regarda, souriante.
Comme jamais..enfin si.. comme presque jamais dirons nous.
Il lui donna le surnom de rose.
C'était a nouveau très flatteur.
Le méritait elle?!
Elle en doutait!
Mais n'en dit mot. Ce contentent de lui sourit.
Ce jeune Lord lui plaisait bien, il était d'une étrange sympathie, sans doute pensait il qu'elle n'était pas comme les autres.
Sa elle même le reconnaissait.
Mais après, a quoi pensait il?
Il lui posa une question.
Une question qu'elle redoutait, mais pourtant, elle se donnait une joie de la lui dire, il semblait si compatissant, qu'elle ce sentait presque obliger de la lui dire.
Bien.
Elle réfléchit, et choisie ses mots avant de commencer doucement son histoire:
en effet. Je n'ai nullement ma place ici.. Il semblerait que vous non plus, j'aimerait que vous me disiez pourquoi un jeune homme qui semble avoir du sang bleue, vient dans ce pensionnat de "prolétaire" comme vous dites, mais avant, je vais vous expliquer, pourquoi moi.. la "rose" vit - enfin, survie - ici..

Elle réfléchit a nouveau, et prenant son temps, laissant les mots s'infiltrer dans le cerveaux du garçon, mais pas assez pour le laisser dire quelque chose.
Elle commença donc son histoire:

-Et bien.. Avant, j'avais une vie, figurez vous.. -dit elle presque ironiquement - une somptueuse vie d'ailleurs, Une maison qui ressemblait plus a un château, des parents qui semblait parfait, Une richesse sans pareille, Un bon apprentissage de la vie en temps que Miss noble. J'etait réellement heureuse, et mon visage de porcelaine ce faisait un plaisir d'accueillir un sourire...
Un jour, Mes parents sont partit, Le chauffeur - qui était également mon major d'homme - conduisit trop vite, et une autre voiture leur rentra dedans..
Un accident terrible..
Ce jour, je perdu mes parents, une partit de ma richesse, ma joie, et bien d'autres choses...
Je fut vraiment frappée par cette accident.. Pendant plus d'un ans, j'ai vécu seul, ayant pour seul compagnie ma "bonne a tout faire" car cette femme bien que pauvre avait un grand coeur..
Mais elle aussi mourut, Et la justice décida de m'envoyer ici.. Loin de ma France..Loin de paris, Mais surtout...Loin de tout souvenirs...

Elle soupira, tristement..
Son visage s'emplis de mélancolie

[hrp: comme nous sommes méchants avec les prolétaiiires XD]

Akira acceuillit le pacte en souriant. Un vrai sourire cette fois, amusé.
Il descendit un peu de sa tour d'ivoire, n'en perdant pas pourtant moins de sa noblesse.

"Eh bien, charmante Lena, j'accepte avec le plus grand plaisir, ce sera pour moi un honneur et un bonheur de partager cette tâche ingrate avec vous"

Il appreciait sa compagnie. Si la mélopée monotone des tambours des machines à laver étaient regrettables et qu'il aurait peut être préféré une ambiance plus classieuse pour cette rencontre marginale.
Il écouta son histoire, son visage impassible, empreint d'une expression calme, stoïque, voire de force douce et calme.
Sa présence, malgré son apparente froideur, était rassurante.

"J'aurais aimé pouvoir vous dire que je comprends, cependant je n'en suis pas certain d'avoir jamais ressentit une douleur similaire."

Il hocha la tête et ajouta :

" Il semble que ce soit le point commun de tous les pensionnaires ici : les personnes qui ont eut une histoire heureuse se comptent sur les doigts d'une main."

[hj: si un d'eux passe par la, un seul message: vous n'etez pas content...adressez vous a mon avocat mdr]

Il accepta le pacte, en lui donnant sa reponse avec de jolies mots, certes, quelques peu inutiles, mais tendre a l'ecoutes.

-ce sera donc avec un réel plaisir que nous nous retrouverons..Pour cette tache équerante mais obligatoire.Bien. Sachez pourtant, que cette banalitée en sera plus égailler par votre presence.

La jeune fille perdu l'expression douloureuse de la perte.
Trouvant celle d'un calme glassiale, ce qui semblait legerement inquietant pour elle.
C'etait ainsi, et non autrement, tant pis.
Elle soupira, appreçiant sans aucun doute la presence réconfortante de ce jeune Lord..

-on ne ce force a rien, et certainement pas a comprendre, Je ne vous en veut pas, loin de la, car comprendre, aurait été partager la douleur, la vivre, et cela, je n'orait pus le pardonner..

Elle lui offrit un leger sourire, et son visage revint a son attitude d'une platitude presque pattetiques pour certains, et magique pour d'autres.

Elle acquiessa, fortement d'accord avec ses dires:

-sinon..pourquoi ce pensionnat existerait? Mais vous ne m'avez pas expliquer votre presence dans ce pensionnat, Lord.

Ses pensées ce dirigeait entierement vers ce jeune homme, Elle trouvait qu'il ressemblait a un nuage..
Un magnifique nuage.
Elle sortit de ses pensées, en murmurant doucement:

-un nuage...cher lord, vous ressembler a un nuage..[/b]

[je suis une prolétaire XD m'enfiiin après ...XD]

Akira approuva d'un signe de la tête. Il accompagnait souvent ses paroles d'adjectifs vains et lourds, mais c'était un pur reflexe d'éducation.
Quand il le pouvait, il évitait de gâcher ses paroles, et répondait par un signe vague.
Il ne se lassait pas de regardait la beauté diaphane et gracile de la jeune femme.

"Eh bien je n'ai pourtant pas vu de cellule d'aide psychologique ^^"

Il lui fit un petit clin d'oeil, lui laissant ainsi appercevoir son visage au naturel pendant un instant.
Puis il décida de répondre à sa demande.
Il soupira et dit :

"C'est...compliqué. Et...plutôt...humiliant.
Je ne suis pas né de l'épouse légitime de mon père, aristocrate anglais...
Ma mère était une jeune femme nippone, Kaori Inushiro...
J'étais le seul enfant de mon père, je suis donc le seul héritié de tout le prestige et de la maison paternelle.
Mais... je n'ai jamais bien compris pourquoi...
Il ne m'a jamais reconnu, comme il n'a jamais épousé ma mère.
J'ai passé la majeur partie de mon enfance à Londres, avec un précepteur et des domestiques; et puis pour de sombres histoires de politiques, ma mère et moi furent expatriés : mon père nous envoya au Japon, sans que je saisis vraiment le prétexte.
...

Il fit une pause, pensif. Il avait du mal à aller jusqu'au bout. Il n'aimait pas parler de lui et surtout de son passé.

"Ici, même si c'était encore le luxe, c'était une vie plus simple.
J'avais toujours un précepteur, une femme de chambre et cuisinière et un majordome qui servait d'intendant.
Pour certaines raisons, j'ai fugué, je suis partit de chez moi.
Je fus évidemment, vite retrouvé dans ma fuite, et reconduit à la maison maternelle.
D'un commun accord, mes parents décidèrent de m'envoyer ici.
Encore pour des raisons que je ne comprends pas.

*Je parle de mon père, il me dit son fils, mais n'a jamais accepté que je le soit officielement...menteur*

Le jeune Lord sourit faiblement.

"Je dois avoir quelques peu baissé dans votre estime, je suppose."

Puis, elle l'appella nuage. Il répèta, déconcerté:

"Un nuage ?...Eh bien...Et vous, vous me faites penser..à un flocon de neige.."

Oui, un flocon, fragile, froid, fragile mais fort, et beau..

elle sourit amuser par ses paroles, elle acquiessa en silence.
Puis, apres un moment de réflexions de la part du jeune nuage, il compta son histoire, elle ecouta tristement ce qu'il disait, et dit d'une voix douce et a peine souflée:

-que le petit nuage a vecu une histoire triste...

elle soupira, en effet, dans ce pensionnat, ceux qui avait une histoire joyeuse ce comptait sur les doigts d'une main..
Triste réalitée, il dit quelque chose
"je doit avoir quelque peu baisser dans votre estime, je suppose"

-Lord, sachez que vous supposé très mal!

elle sourit, et s'expliquat:

-vous etes un nuage tres courageux, apres tout ce que vous avez vecu, toutes les tempète, vous etes si fort pour un nuage, vous ne semblez pas triste, ni sur le point de pleurée...C'est surtout de l'admiration que j'ai pour vous petit nuage...

Elle sourit, et s'inclina devant lui, lui prouvant qu'elle se sentait inferieure a un certain point de vue..
Il l'appela flocon de neige; elle ce demanda pourquoi, mais son regard en disait long..
D'apres elle, il la deffinissait comme un flocon par sa fragilitée, et sa beautée, quoi d'autre? elle n'en savait rien.
Mais elle trouvait que cet adjectifs la califiait magnifiquemant bien..
Elle chercha si un autre adjectifs qualifirait mieu le lord..
Mais elle trouvait de nom de nuage parfait.
Bien, ses pensées ce furent interrompre par le bruit infernale qu'etait la sonnerie de la machine a laver..
Elle soupira, déçu que ses affairents etait deja pretes, et surtout, de devoir bientot quitter le nuage..
Elle ce demandait ce qui ce passerait en une semaine, ne pas pouvoir le voir et savoir qu'il allait bien la rendait legerement mélancolique..
A vrai dire, elle pensait qu'il pourrait y avoir une tempete, que le nuage s'envole et parte loin d'ici, loin d'elle..

-c'est fini chuchota elle..

-Ma machine es finie..il m'en reste encore une..

a peine eu elle dit cela que sa seconde machine sonna, dans ce meme bruit insuportable..
Soupira..

-que faison nous..?

Akira sourit.
Un nuage. Jamais personne ne l'avait appellé comme ceci.
Un nuage. Il se souvint, qu'un jour, enfant, il avait rêvé de manger un nuage.

*Ca serait plus vaporeux que de la barbe à papa
Ca serait très sucré
Et très doux
Comme de la crème chantilly...
Mais en mieux !
Plus léger que des îles flottantes...
Et plus frais qu'une glace à la vanille...*

Il était un enfant, il rêvait encore à cet époque là.
Il sourit pour lui même, un sourire un peu triste.
Il laissa vagabonder ses pensées encore quelques temps, et fut brutalement ramené à la réalité par la sonnerie insistante des machines à laver.
Il alla voir la sienne, et ouvrit le couvercle du tambour.
...Magique, tout était propre XD !
Il saisit ses affaires, trempées.
D'habitude, il ne s'attachait pas vraiment aux gens. Mais pourant là, les quelques minutes passées à discuter avec cette poupée de porcelaine l'avait ravi, et il ressentait un étrange pincement au coeur à l'idée de devoir la quitter.
Elle chuchota

"Que faisons nous ?"

Le jeune Lord réfléchit à toute vitesse. Il fallait oser.
Il fit une légère révérence, en demandant :

"Je vous propose d'aller déjeuner au restaurant pour fêter notre rencontre... Aussi je vais déposer mes affaires, me changer, et rejoignons nous devant la grille du pensionnat.
Acceptez vous ?"

elle le regarda s'evader dans ses pensée, elle ne le dérengea pas.
Elle le regardait en souriant.
Ravi.
Admirative.
La poupée de porcelaine écouta ce qu'il lui proposant, tandit qu'il s'inclinait, elle en fut flattée, elle ce leva, sortit son linge, et lui adressa une réverence:

-Avec plaisir...Je file me changer, et nous nous reverons donc devant la grille...

elle prit son panier, pensant tout de même qu'elle devais l'etendre avant de partire, puis, elle dit :

-a tout a l'heure alors..

elle sourit, s'approcha de lui, et lui offrit un baiser sur la joue.
Puis, elle partit son panier qu'elle tenait a bout de bras.

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» parle avec la machine a laver (pv premiere personne)