Après avoir passée trois heures dans un train, trente minutes dans un bus et quelques minutes à pied, Yuni arriva enfin devant le pensionnat.
Elle lisait le nom qui était inscrit sur la grande grille où juste derrière on pouvait apercevoir un petit chemin qui menait jusqu'à une entrée.
- pensionnat …
Elle respira un bon coup est continua
- me voici arrivée …
Elle poussa la grille, suivit le chemin qui était entouré de fleurs, de verdure, qui donna un côté chaleureux à ce pensionnat qui pour elle ne serait pas du tout joyeux. Elle apercevait aussi des adolescents qui étaient en train de rires, de s’amusaient, quelques-uns s’embrassaient, ils avaient l’air très heureux. En voyant cela, elle se demanda si vraiment ce pensionnat ne serait pas sympathique. Mais elle nia tout de suite cette idée, car elle n’arriverait pas à se faire des ami(e)s pour partager ces moments.
Puis lorsqu’elle arriva devant la porte qui mena au hall de ce pensionnat, son cœur se mit à battre un peu plus fort. Elle l’ouvrit, elle mit un pied dans l’endroit qui serait son nouveau chez elle, elle souffla et mis son autre pied. Elle était maintenant entrée dans les murs du pensionnat.
Elle s’était habillée avec une jupe violette, un petit haut blanc avec un gilet violet et elle s’était attaché les cheveux, ce qui était rare.
Elle jeta un coup d’œil dans la pièce, les murs étaient blancs, il y avait quelques personnes qui lisaient, d’autres qui se demandaient si leur contrôle c’était bien passé et il y en avait qui se racontaient des blagues qui fit apparaître sur le visage de la jeune fille un petit sourire.
Elle avait déposé ses bagages sur le sol blanc, elle regarda autour d’elle pour essayer d’aller vers les dortoirs, mais il fallait bien l’avouer, elle était complètement perdue dans ce nouveau « monde » qu’elle ne connaissait pas du tout. Elle se demandait vraiment pourquoi ses parents l’avaient envoyée ici, car rien ne changerait, elle serait toujours la même, enfin c’est ce qu’elle croit.
Alors elle attendit que quelqu’un vienne lui demander si elle avait besoin de l’aide, sans qu’elle soit obligée d’aller elle-même voir une personne est lui demander de l’aider.