Premiers pas dans le parc [pv Konoe]

*Ouais. En fait, c'est pas si méga que ça.*

Deuxième jour au pensionnat pour Jein. Il faisait beau, un peu de vent tiède, de l'herbe. La jeune fille marchait, petite grimace lassée sur le visage. Y avais de l'herbe, elle en étais déjà contente. Ça changeais des plantes en plastique de ses bourgeois de parents.
C'était comme elle l'avais imaginé. A peine quelques visages croisés. Tous l'air royalement imbécile. Sauf un, peut être.
Jein sourit à cette pensée. C'était dans sa nature, elle trouvais un immense plaisir à se moquer des gens qu'elle jugeais trop immatures ou trop peu importants, sans qu'ils s'en rendent compte une seule seconde. Elle aimais laisser paraître celle qu'elle n'étais pas. Jouer un rôle différent auprès de chacun, selon leur personnalité. C'était tellement jouissif.

Le vent lui fouettais ses cheveux blond - blanc de 60 centimètres de longueur, les faisant voler dans tous les sens. Elle croisa une fille à l'air moins âgé qu'elle, sans doute dans les 15 ans. Celle-ci la regarda quelques instants comme une ovnie, sans doute avait-elle les yeux trop bleus ce jour là. Cela surprenait les gens, des yeux aussi bleus non-uniformes. En guise de réponse, Jein lui adressa un haussement du sourcil droit accompagné d'un sourire légèrement méprisant. Pauvres humains.

C'était donc pas si excitant que cela. En effet, Jein n'avais pu s'empêcher de penser à quelque chose d'exceptionnel qui lui arriverais rapidement, par le biais de l'entrée dans ce pensionnat. Peut être la rencontre de quelqu'un qui sortait du lot. Mais en même temps, ce serais moins drôle.

La jeune fille décida se s'asseoir par terre. L'herbe étais fraiche, sans humidité pour autant. Sans risque de repartir avec une couleur de jean plus foncée.
Elle pensait. Son visage étais neutre. Peut être même un peu triste. Contrairement à ce qu'elle laissais paraître d'habitude. Son regard brillant, perdu quelque part devant elle. La chevelure fine dansant en l'air autour de son visage.

Elle pensait à cette chose, toujours la même chose. Cette chose qu'elle s'étais juré de ne jamais montrer. Qui ne l'empoisonnait pas encore. Trop enjouée pour se laisser démonter.

Un bruit de pas approchait. Jein ne tourna pas la tête, pensant vaguement à un centroisième abruti clone qu'elle croiserais dans sa vie. Mais le bruit s'arrêta soudain, et l'obligea à tourner la tête.

Le deuxième jour qui venait dans cette école, Konoe est en train de faire quelques marches devant la plage, mais il s’est décidé de se promener dans un parc où peut-être y pourrait trouver quelques habitants qui se promènent lentement vers la nature. Lilliput, son chat domestique, vient tout doucement se mettre sur les épaules de son maître, car il aime d’être au dessus, comme un simple écharpe. Konoe se fiche un peu du monde qui le regardent étrangement. Ses yeux noir mystérieux fait un peut-être fuir certains des gens qui ont osé. Mais bon, il parait que les filles du parc aiment les hommes mystérieux et mature. Konoe est l’un des leurs.

Il avait emporté sur lui un simple livre tout a fait ordinaire qu’il soit dont le titre s’intitule : « La clarté de l’innocence. », ce livre parlait d’un amour sincère entre un couple, mais qu’un jour ces deux couples ce sont tout de suite séparé car l’un fut mort et que l’autre resta veuve et qui ferais en sorte d’être forte et trouver une nouvelle vie. Konoe aime les romans à l’eau de rose. Son chat va tout à coup de miauler tout en regardant la direction qu’il avait prit. Le jeune homme se tourne alors et voit une jeune fille qui est resté sur l’herbe d’un air absente, comme si elle est dans son monde.

Un moment Konoe se demande si il pouvait voir la jeune fille, mais il n’avait pas vraiment envie de la déranger que soudainement, son chat saute du dessus des épaules, atterrit vers l’herbe et alla à la rencontre le la jeune fille.

- Lilliput revient ici. Cria tout doucement Konoe.

Mais tout compte fait, il alla vers la jeune fille et son chat qui est en train de lui miauler et de faire des petites caresses tout mimi vers la fille car en faite, le chat noir sentait la présence d’un autre des leurs. Lilliput fit un petit regard tout mimi et fixe son maître dont celui-ci vient tout doucement derrière elle en disant :

- Pardonnez pour mon chat, mais il n’est pas vraiment comme d’habitude, j’en suis désolé.

La main tienne toujours le livre dont son bras caché le titre du roman et le dessin dont il représente une jolie femme attrapant tout doucement les pétales du cerisier. Le chat regarde lentement la jeune fille avant de se remettre près de son maître et se frotte lentement sur la jambe pour lui faire comprendre qu’il lui pardonne d’avoir désobéit, Konoe se mit lentement à s’accroupir et le caresse pour faire comprendre qu’il le pardonne, et regarde un instant la jeune fille qui est assis sur l’herbe dont son jean et recouverte un peu de vert.

- Je crois…que vous allez vous salir votre pantalon, mademoiselle.

Les pas s'arrêtèrent, tout juste suivis d'une voix qui appelais "Lilliput". La jeune fille tourna le regard vers un petit chat noir qui courait vers elle. Elle ne put s'empêcher de sourire, elle adorais les chatons, elle en avais même un, Virgule, tout blanc. Mais il dormais dans le dortoir.
Ses yeux bleus montèrent alors vers l'apparent propriétaire du chat. Homme assez grand, de belle silhouette, cheveux noirs mi-longs, quelques mèches tombant sur les yeux. Noirs.
Elle eut à peine le temps de caresser le chat que celui-ci reparti vers on maître, maintenant accroupi près de la fille. Son regard s'attarda quelques secondes sur un livre que le jeune homme tenais à la main; elle ne pouvais pas en voir le titre qui par cette dernière étais caché.

"Je pardonne. J'adore les chats."

Répondit-elle avec un petit sourire, les yeux fixés sur Lilliput.
Quelques instants de silence. Le garçon lui signala qu'elle commençais à salir son pantalon.

Ouais. L'herbe étais verte. Pas humide, mais verte. Elle n'avais pas pensé à ça. Automatiquement, la jeune fille redressa la jambe pour se frotter la tache. Trop tard.

"C'est déjà fait.. mais rien de grave. Tu peux me tutoyer, tu sais"

Dit Jein avec une légère grimace. Elle leva ensuite les yeux vers le garçon.

*Deuxième avec des mèches dans les yeux. C'est incroyable comme ça donne du charme.*

Les yeux un peu plissés par la puissance du soleil, Jein demanda enfin:

"Tu t'appelles?"

Fatiguée aujourd'hui. D'habitude, elle étais un peu plus bavarde et prenante que ça. Il y avais des jours où son jeu de rôle ne marchais plus.

[désolée pour le post court, je commence à fatiguer, ça ira mieux demain ]

Le regard de la jeune fille oscillait entre le chat noir et son propriétaire. S'attarda quelques instants sur le propriétaire...
Il avait l'air mystérieux, mais en fait pas tant que ça. Cela se sentais dans sa façon de parler... D'un côté son physique étais doté d'une beauté prenante, d'un autre côté il ne semblait pas aussi sûr qu'il laissais paraître au tout premier abord.
Je vais essayer de vous tutoyer.. la phrase fit rire intérieurement Jein. Elle se leva alors, ne voulant pas salir plus longtemps que ça son jean.

"Moi c'est Jein Sae, enchantée..."

Sae. Elle aurais pu quand même hériter d'un autre nom, elle qui venait d'une famille si riche.. Sae, c'était mignon, mais trop simple comme nom.

Son regard bleu dévia sur le chat qui courait un peu dans tous les sens. Elle adorais les chatons à cet âge là, justement parce qu'ils étaient joueurs, mimis, et ne vomissaient pas encore partout en se contentant de passer la journée à dormir.

Elle reporta encore une fois son attention sur Konoe, le regarda d'un air pensif, puis amusé, les yeux encore éblouis par le soleil.

"ça fait longtemps que tu es ici?"

Cette question, elle la posait à tout le monde. L'issue de secours quand la conversation n'étais pas encore trop bien engagée.

[hj: ahem.. on dit "un petit geste du doigt", pas "un petit geste de la doigt ]

Tu avais? Bizarre façon de conjuguer un verbe au présent. Jein fixa le jeune homme avec un petit sourire amusé, un sourcil légèrement suspendu au dessus de son oeil droit. Konoe lui répondit alors que ça faisait deux ou trois jours qu'il venait d'arriver, pas plus. Tiens...

"Merci beaucoup.. personnellement je ne le trouve pas aussi mignon que ça. Sinon, pour moi c'est pareil. Deux jours que je suis ici."

Alors Konoe lui fit un petit geste du doigt, comme s'il voulais apprivoiser l'animal qu'elle étais et qu'elle ne fuie pas s'il faisait un pas de plus. Jein le regarda, les deux sourcils haussés, les lèvres formant une drôle de grimace, voulant comprendre la cause de son geste. Enfin, elle suivit le regard rapide du jeune vers le bas; en fait, il regardait son chat. Son chat qui jouais avec un fil...
Jein s'aperçu alors avec horeur que le fil en question provenait de son propre pantalon. Elle se retourna légèrement afin de cacher une grimace au jeune homme. Mais ce dernier avait déjà coupé le fil du pantalon avec ses dents.

Jein releva les yeux vers lui, fortement étonnée.

"Heuu.. merci beaucoup"

De toute façon, elle l'avais déjà depuis longtemps, ce fil qui dépassait. Il n'avais pas vraiment décousu son pantalon de trop.
Jein regarda le chat, commença à lui en vouloir. Mais bon. L'étais quand même trop mignon quoi.

"Oui, j'aime beaucoup les chats.. j'en ai un, qui s'appelle Virgule, il ne doit pas être plus agé que le tien. Il dors sur mon lit."

Un sourire attendrit se forma sur les lèvres bien dessinées de la jeune fille. Ce garçon avais l'air d'un beau gentleman. Rien de plus, rien de moins, que les autres, excepté la courtoisie et la beauté. le contraste des cheveux noirs sur sa peau blanche rendait vraiment bien. L'intensité de ses yeux aussi. Jein eut un rire intérieur. Elle repensa à Akira. Sembla quelques instants dans ses pensées.

"Et sinon, tu viens d'où?"

Continua-t-elle pour ne pas laisser le silence s'installer trop longtemps.

[Merci^^ , je ne suis pas vraiment douer pour les conjugaisons^^]

Jein semble vouloir à Lilliput, Konoe comprend tout a fait que ce pantalon représente. Le chat est tellement têtu par moment qu’il en oublie presque qu’on le punit car c’est un trop mignon comme chat, lorsque la jeune femme a dit qu’elle avait aussi un chat dont il s’appelait Virgule, c’est un très joli nom. Pourquoi est-ce que Konoe appelait son chat Lilliput ? Lorsque Konoe avait trouvé le chat qui est en faite un petit chaton, il ressemble un peu comme une femelle qu’il avait voulu prononcer « Lili », mais vu que cet animal est un mâle, et qui put comme une diesel, il avait tout simplement appelé Lilliput.

Konoe regarde un instant la jeune fille qui voudrait savoir d’où il venait. Le jeune n’aime pas vraiment des questions de monotone, mais il répond quand même aux questions, même si parfois son un peu étrange ou même loufoque.

- Je viens de France, près de Paris.

Il repense les premiers phrases que Jein avait dit : « Merci beaucoup.. personnellement je ne le trouve pas aussi mignon que ça. Sinon, pour moi c'est pareil. Deux jours que je suis ici. » Il pense aussi car ses premiers jours, il avait vu qu’il y avait certains filles et garçons mignons dans ce collège. Ne disant rien d’avantage, il regarde un instant la jeune fille si celle-ci avait d’autres questions.

[désolé si mon poste est court, je n'ai pas d'autre inspiration^^"]

[ Non mais là c'est pas que t'es pas doué c'est que Tu avais au présent ça se dit pas XD]
[Je te signale aussi d'autres fautes, juste pour que tu puisses t'améliorer:

-Jein semble vouloir à Lilliput --> Jein semble EN vouloir à Lilliput
-Konoe comprend tout à fait que ce pantalon représente --> Il comprend tout à fait CE que ce pantalon représente
-C'est un trop mignon comme chat --> ne veux rien dire
-Qu'elle avait aussi un chat dont il s'appelait Virgule -> un chat QUI s'appelait Virgule, et le "lorsque" ici est inutile
-Qui est en faite -- > qui est en fait
-Qu'il avait voulu prononcer --> ne veut rien dire
-Les questions de monotone --> les questions monotones
- Parfois son un peu étrange ou même loufoque --> parfois sonT un peu étrangeS ou même loufoqueS
-Il pense aussi car ses premiers jours --> Il pense la même chose car...
-Je n'ai pas d'autre inspiration --> c'est comme si tu disais "je n'ai pas d'autre eau." On dit "je n'ai pas plus d'inspiration"...

Voilà, tout ça pour te dire que tes posts ne sont pas toujours évidents à lire, je ne tiens pas du tout à te faire la leçon, c'est juste pour que tes posts deviennent à l'avenir plus agréables et corrects à lire ]

Ah la France... Jein avait passé la majorité de son temps d'enfance à étudier la langue française, sans pour autant y être allée ne serais-ce qu'une seule fois.
Un coup de vent balaya la chevelure de Jein qui s'envola dans tous les sens. Remettant discrètement son fil de jean contre son pantalon, de façon à ce qu'il ne dépasse plus, la jeune fille alla s'appuyer sur un arbre, planté à quelques mètres de là. Elle n'avais plus rien à dire, c'était étrange, elle qui d'habitude s'amusait avec chaque personne qu'elle rencontrait. Son visage restais neutre, tourné vers le soleil, l'expression presque triste, les yeux éblouis. Les jours où ce caractère triste ressortait à l'extérieur étaient rares, mais existants. Le silence s'étais installé depuis quelques secondes, presque une minute, sans que la jeune fille ne ressente un quelconque gène.

Enfin, elle tourna les yeux vers le garçon, le regardant, simplement, sans que sa bouche ne s'ouvre un seul instant. Elle le dévisagea presque de ses yeux bleus électriques, se demandant quelle vie se cachait derrière la peau de ce jeune homme, quels souvenirs étaient encrés dans son esprit, quelles pensées ou sentiments ressentaient-il à ce moment précis. Elle se demandais simplement ce que cela faisait d'être différent d'elle-même. Qu'étais-ce qu'une autre vie finalement?

Elle finit par baisser les yeux vers le chat qui jouait à présent avec un brin d'herbe. Ses lèvres remontèrent en un imperceptible sourire, puis elle tourna son regard vers la droite, les yeux un peu plissés par les rayons du soleil.

"Tu connais déjà beaucoup de monde ici?" demanda-t-elle alors, comme si les minutes de silences entre eux n'avaient pas eu lieu.

Konoe connaissait qu’un seul personne dans cette école et c’est elle. Enfin presque que c’est elle car une autre femme est aussi connaissance, il avait rencontré à la plage dont celle-ci voulait absolument se noyer dans la plage, mais qu’importe que cela sera dans peu de temps car Konoe n’aime pas voir les gens se fassent des trucs aussi sanglante, mais il est tellement naïf qu’il ne songe même pas au danger qui va encourir. Il ne connaît pas la peur.

Konoe fit un moment de soupire et répondit de sa propre voix doux et grave comme un simple adolescent en période de muer.

- Disons que j’en ai connu deux, toi et une fille que j’ai rencontré à la plage… *se murmure* Que je la trouve assez bizarre.

Lilliput avait fini de jouer dans l’herbe qu’il se repose comme un mignon petit chaton. Konoe regarde un instant son chat et soupire ainsi de soulagement car il est tranquille pour un moment pour discuter avec Jein, dont elle semble tellement absente et silencieuse. A quoi pense-t-elle ? Qu’est-ce qui se passe pour avoir d’un air aussi triste et neutre à la fois ? Le jeune homme fit un regard de curiosité et il lui demande de la façon assez correcte et doux :

- Tout va bien ? Tu me semble si absente tout à coup. Qu’est-ce qui t’arrive ?

Le vent se mit à se lever lentement dont les cheveux Konoe s’envole lentement vers le diagonal comme une sorte de voile du rideau déchiré. Konoe met une main lentement pour remettre certains de ses mèches de ses cheveux à leur place tout en attendant la réponse de la jeune demoiselle. Cet air absence est vraiment une énigme pour certains, mais aussi pour lui-même, ignorant peu de chose de la vie d’aujourd’hui. Il n’avait pas eu le temps de voir les jolis yeux bleus de la jeune demoiselle car il est assez occupé de penser à son chat, mais vu que cet animal s’endorme tout doucement, il pourrait lui dire d’un ton charmeur, mais que c’est la première fois qu’il fait :

- Je ne sais pas si je pouvais te dire, mais je trouve que tu as des magnifiques yeux dont cette couleur bleu est un ciel comme celui-ci et que dès que le rayon du soleil t’illumine, tes yeux brillent comme un diamant et dans la nuit ça te fera un beau et merveilleux saphir.

Konoe est un gars merveilleux, mais il est aussi presque poète, mais presque théâtrale. Malgré qu’il ne soit pas franchement, impressionner par certains des filles de sa région qui ne sont que des pestes qui le manipulent sans que celui-ci ne sache vraiment.
Les nuages se mirent à apparaître tout doucement et on voit des formes des fois rigolotes ou imaginaire. Konoe regarde un instant le ciel qu’il fit une arrière pensé que son génie de créativité se mit en route, mais pour l’instant, il est en tête de se reposer un moment car il avait assez de travailler en solo quand il est en France, enfin maintenant, il habite au Japon avec son père et son grand père. Il aime son père comme un vrai fils, mais pas pour son grand père car celui-ci l’avait totalement offusqué de ne pas se montrer devant lui. Un moment, Konoe voudrait tout simplement lui parler un peu de son père et autre, mais la réponse à cette question, il n’obtiendrait rien.

Le chat qui est couché sur l’herbe s’enroule tout doucement sur lui-même est se recroqueville en miaulant. Cet animal est en train de rêver quelque chose que Konoe fit un sourire discret en le voyant et qu’il se tourne vers la jeune fille.