Encore un adieux [pv 1ère personne]

Quelle est la chose la plus difficile? Etre à la place du mort ou du survivant?

Quand une famille n'existe plus, une petite fille trahis par son frère après la mort de ses parents. C'était les seuls proche et la fillette se retrouvera seule.

Qu'est-ce le plus dure, vivre seul ou rendre son dernier soupir dans l'inquiétude du bonheur de sa fille maintenant seule?
De sa place de survivante, Azuna hésitait encore. Elle ne savais si elle devait bénir le ciel d'être encore en vie ou si elle devait prier pour mourir.
Elle qui se croyait sauvée avec comme seule famille son frère tomba de haut quand elle se fit trahir.

Mais tout ceci était le passer, l'avais elle oublier? Non, bien sur que non! C'était..inoubliable dans le mauvais sens du terme on s'en doute.

Aujourd'hui, encore vivante, -malheureusement ce disait elle- elle marchait dans l'allée du cimetière, il faisait froid, très froid, elle était habiller chaudement dans une robe d'hiver noir, un foulard de cette même couleur de deuil. Seule dans un silence pesant, marchant dans un frottement peu rassurant de sa robe contre ses jambes nues.

Ses escarpins claquant sur le sol d'un "clac clac" rythmant sa cadence.
Elle soupira et s'arrêta devant une tombe. Elle regarda la plaque où était marquée le nom, prénom et date de naissance/mort. Elle renifla doucement, les yeux pleins de larme et posa une rose sur la tombe.

S'agenouilla dans la terre humide et ce mit à prier. Silencieusement.

Une larme -goutte salée et chaude- roula le long de sa joue, de son coup et tomba dans un "ploc" inaudible. Elle secoua la tête, entendant quelqu'un qui marchait derrière elle, retenue sa respiration et écouta. Ecouter et observer.

Etant dos à la personne, elle ne pouvais l'observer, mais l'écoute elle pouvais et s'y donnait à cœur joie. Enfin, presque joie.
Un pas léger, quelqu'un de mince, une respiration calme. Elle s'attendait à voir...

Sora lui était venu
avec sa moto au cimetière pour posé des fleur sur la tombe d’une personne qui l’avait
admiré et trahis pour ses profits...il s’arrêta a l’entrée du cimetière et mis
la béquie a sa moto avant de prendre la rose violette qui était dans sa veste,
il était vêtue d’une longue veste noir, d’une chemise bleu et d’un jean noir,
il avait aussi une cravate rouge autour du cou, ce qui était rare, il entra
dans le cimetière d’un pas léger avec la rose violette a sa main gauche et l’autre
dans sa poche, le vent fessais claqué légèrement sa veste, ce alors qu’il
remarqua qu’il y’avait une autre personne, une femme…Sora passa a coté d’elle
et alla a la tombe juste devant elle, et jeta sa rose violette dessus et reprit
l’ancienne qui était fané et resta devant la tombe a lire l’inscription écrite
dessus

*Romuald balazard Kenshi, Mort
en 1998*

Sora regarda la tombe
sans dire un mot et sans rien laissait
paraitre comme émotion humain..

un homme passa derrière elle sans qu'elle s'en aperçoive. A vrai dire, elle avais mieux à faire!
Elle avais fermer les yeux, et, les genoux dans la terre, parlait aux défunts. Comme s'ils pouvaient leur répondre. Elle espérait seulement que ses paroles leurs parviennent.
Elle vit une ombre passer devant elle et regarder la tombe juste en face. Elle leva enfin son visage livide et ses yeux rouge d'avoir pleurés.

"Bon...Bonjour"

Dit elle hésitante.
Réticente à l'idée qu'on puisse la voir pleurée, mais elle avais besoin de se dire qu'elle n'était pas seule.
Erreur! Il n'avais pas l'air du tout atteins

Sora commence a plonge dans ses ancien
souvenir..Ceux de son passé, juste avant qu’il n’y ait le grand mur blanc…Il
tente a chaque fois de ce souvenir quand il vient devant cette tombe…Mais rien
n’y fais il ne recouvré aucunement la mémoire durant cette période la…ce alors
que la jeune fille derrière lui lui adressa la parole il tourna légèrement la tête
de sorte qu’il puisse la voir, ce fut un œil rouge sang qui regarda la fille,
oui car Sora a deux un bleu ciel et l’autre rouge sang, et finalement se
retourna pour lui parle, Mais tendis un paquet de clinex pour qu’elle puisse se
nettoyé le visage et lui parla d’une
voix calme.

Tenez, ce triste
quand une fille pleure, enfin…pardonnez moi si je manque de sentiment…Mais
disons que je n’en éprouve que rarement…je m’appelle Sora Kenshi, enchantée
mademoiselle ?

Elle le regarda hautainement n'acceptant pas les mouchoirs qu'il lui offrait et dit

"Si vous n'avez pas de sentiment, alors pourquoi trouvez vous cela triste de voir une fille pleurée?!"

Elle haussa les épaules et s'appreta à partir quand il lui demanda son prénom.
Elle arqua un sourcil et dit d'un air toujours si hautain

"Pourquoi me présenterait-je à une personne sans sentiment?! C'est inutile. Si je devais dire mon prénom a chaque personne qui passe et qui m'adresse un mot, alors, je serait la plus connue de se pensionnat, je ne veut pas être connue."

Elle lui tourna le dos et alla chercher de l'eau au robinet rouiller qui se trouvais à l'entrée du cimetière, elle revint et arrosa les jolies fleurs qu'elle avais déposé sur la tombe.

Le vent soufflé
sur le cimetière et Sora laissa la fille lui dire se qu’elle pensé de lui et
remis ses mouchoirs dans sa poche de veste puis pris a nouveau la parole et parla
calmement sans aucune variassions dans sa voix.

Je crois que je me suis mal exprime Mademoiselle, je n’ai
pas dit que je n’en éprouvé, j’ai dit que cela était difficile pour moi, Enfin
passons, Si cela me rendre triste de voir une femme pleuré, la raison et simple,
le seul souvenir que j’ai de ma mère et celle d’une femme en pleure aux milieux
de flamme, Hormis sa, je n’ai pas d’autre raison, et cela n’implique que moi
mais je pense que pour avancé il faut des fois faire abstraction de ses propre sentiment,
et excusé moi si cela vous parait hautain de ma part.

Il tourna la dos a
la fille et regarda une dernière fois la tombe avec le nom de la personne qu’il
avait cru être son oncle et tourna le dos a la sépulture et un sourire passa
sur ses lèvres en pensant juste au visage de la personne en question et se mit
en marche pour sortir du cimetière en laissant la demoiselle, a elle de voir si
elle veut lui parler de nouveau.

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