Batiment C, Chambre 54

Azuna marchait du même pas leger. Depuis dix minute elle avais quitter la salle des fêtes, traverser sous la neige la cour qui séparait les deux batiment, et était rentrer en grelottant dans sa chambre.
Soupirant, elle était passez chez son amie et était rester un peu de temps avec sa fille, avant que son amie propose de gardée la fillette jusqu'au lendemain.

L'idée que Lu-Nai rencontre Kotarô effrayait un peut la maman..Enfin, si il venait.
Il ne lui avais rien promis après tout.
Elle changea donc de chambre, retourna dans la sienne et ferma la porte derière elle.
Une fois rentrer dans sa demeure, elle ne prit même pas la peine d'allumée la lumière, un lampadaire éclairait légérement l'interieure. Elle se fit une tisane et s'installa sur son canapée, regardant par la fenêtre le ciel sombre.
Ne s'attendant plus à une quelconque visite, elle s'assoupie, assise sur son canapée.

Le garçon brun s'était mit contre le mur, à côté de la porte menant à la chambre de la jeune femme qu'il avait vu, une vingtaine de minutes plus tôt. Il réfléchissait s'il allait frapper à cette porte, il ne savait que faire, que dire. Se laissant glisser contre le mur, il finit assit au sol. Il sortie des médicaments contre le mal de crane et en prit deux d'un coup, puis il ferma les yeux, se laissant aller au bruit l'entourant. Entre temps il avait récupéré sa guitare, pourquoi l'avait-il prise ? Encore une question à laquel le il ne pouvait répondre, il se mit alors à chanter doucement sans faire trop de bruit.

Sa voix n'était pas grave, il semblait pouvoir la modifier à volonté, c'était assez étrange.

La respiration calme et régulière de la jeune fille se fesait entendre timidement. Elle était toujours installée dans le canapée, la pâle claretée de la lune éclairant faiblement son visage déjà très blanc.
Un son parvenait de loin, très loin.
Doucement, elle sortie de son sommeil en ouvrant ses grand yeux sombre.
Elle entendait la voix assez grave du garçon de tout à l'heure. Il chantait, mais elle ne le reconnue pas.
Elle s'entoura d'un chale car elle tremblait de froid.
Puis, elle se servit vite un verre d'eau, but une gorgée et alla ouvrir la porte. La chanson n'était pas encore finit, mais elle ne durerait pas encore très longtemps.
Kotarô était assis par terre dans le couloir, contre le mur, près de sa porte.
Il jouait de la guitare en chantant.

La demoiselle se mit soudainement à rougire, elle mit une main sur sa bouche, étonnée, et écouta la fin de la chanson, tellement elle était belle, elle ne voulais pas l'interrompre.
Une fois que la voix du garçon s'arrêta, et que ses doigts cessèrent de caresser les cordes, elle osa enfin parler.

"Kotarô..elle semblait incrédule..Rentre.."

Elle se colla à la porte, pour le laisser passez, lui et son magnifique instrument (je parle de la guitare hein! )
Elle le laissa s'installer sur le canapée et pendant se temps, alluma les lumières. Il y en avais quelques une, espacées, qui rendait très jolie la petite pièce qu'elle habitait.
Le regard de la maman tomba sur le berceau. Elle regarda ensuite Kotarô se demandant quelle serait sa réaction en le voyant. Mais elle préféra ne pas y pensée.

"Tu veut boir quelque chose?"

Elle sortit deux verres en attendant de savoir ce qui lui ferait plaisir.
Puis, une fois avoir servi, elle vint s'installer à ses côtés.

Au début, elle n'osait pas parler, ne savais pas quoi faire, mais elle dit enfin

"A la fête...ton regard était triste par moment..Pourquoi es tu partit du pensionnat pendant un moment?"

Elle espérait qu'il répondrait, mais ne lui en voudrait pas s'il preferait garder cela pour lui. C'était son choix, à elle de le respectée.

Le jeune homme observait la salle en silence, il n'allait pas répondre de suite. Il se dit que cette pièce était mieu entretenut que la sienne, chez lui il y avait deux placards et des armes ou des instruments de musique accroché partout, sa faisait presque cellule de prison. Ici la décoration était bien différente, elle rendait l'endroit chaleureux et acceuillant. Son regard finit par se poser sur le berceau, il regarda la jeune femme d'un regard triste puis tourna la tête vers le mur. Il finit enfin par répondre à la première question:
Non merci!
Son regard ne bougeait pas de se mur. Il ne pouvait pas... Il ne pouvait déjà pas facilement aimer, mais s'occuper d'un enfant. En faite c'est pas qu'il ne pouvait pas, c'était surtout qu'il ne voulait pas que cet enfant soit menacer, ni cette femme d'ailleur. Il ne savait que faire, que dire, comment agir sans trop faire souffrir celle-ci. Sa guitare était posé à ses côtés, sa main droite était crispé, il avait peur de la tournure qu'allait prendre les choses, mais il fallait qu'il assure, son but premier était de dire cela non méchament, en lui faisant bien comprendre sa vie...Même si c'était assez complexe.

Elle remarqua le regard que le garçon jetta au berceau..Puis sa façon de réagire. Elle reçut cela comme une pique dans son coeur.
Elle déglutit.
La demoiselle savait ce qui allais ce passez..Pourquoi se faisait elle une illusion. La jeune maman savais très bien qu'il l'aurait su tôt ou tard, d'ailleur, elle ne comptait pas renier sa fille, elle savais aussi qu'il ne l'accepterait pas, mais elle ne pensait pas que cela lui ferait aussi mal de le voir.

Elle regarda le berceau, puis tourna son regard triste vers kotarô, attendant un signe de sa part. Elle cherchait dans ses yeux. mais elle ne vut rien.
Découragée, elle ne dit rien et baissa la tête sur ses pieds, cherchant une idée.

Puis elle decida d'expliquer.

-Je sais que tu ne me regarde plus du même oeil. Même si sa ne fait pas longtemps que tu me regarde d'ailleur. Tu sais..il y a un petit temps..j'ai été fillancée..enceinte..mais celui que j'aimais est partit à la guerre, peut avant la naissance de Lu-nai -c'est comme cela que s'apelle ma petite fille- j'ai reçu une lettre officielle, m'expliquant qu'il était mort. J'ai chercher à le rejoindre, mais je n'ai pas réussit. On ma empecher. Puis j'ai accoucher, et finalement j'ai décidée de vivre pour ma fille. Rien que pour elle. Car il n'y avais plus qu'elle qui me retenait à ce monde.

Elle fit une pose, les larmes aux yeux, puis elle ferma ceux ci et attendut qu'ils partent. Puis,elle recommenca à parler.

-Je ne sais pas ce qu'il ma prit à la fête. Ca faisait un an..ou peut être plus que je n'était pas sortit vraiment, et la..j'avais décidée d'oublier le passé, d'allez en avant. Puis je t'ai rencontrer. Je ne pensait pas avoir des sentiment à nouveau pour un homme. Mais je croit que tu as réussi à faire chaviré mon coeur.

Elle se leva.

-Je peut comprendre que tu ne veuille pas de tout cela. Même si ce que je te demande,ce n'est pas de t'occupé de ma fille, c'est d'avoir une place dans ton coeur. Elle en a une assez grande dans le mien..

Se dirigea vers la porte et l'ouvrit. D'un visage qu'elle changea en marbre, elle lui annonca.

-Je ne te retient pas. Il me semble que tu as vécu des choses assez difficile. Ce n'est pas pour m'ajouté à ta liste de probleme, moi et mon enfant. Comme Osatori. j'arriverait à t'oublier..

"Sauf que je n'ai pas oublier Osatori..."pensait elle.Mais elle ne laissa rien paraitre, elle attendit la réaction de Kotarô..

Le problème ne viens pas de toi...Ni de ton enfant.
Son visage avait changer, il était plus froid, plus sérieux, il semblait être une autre personne. Mais il ne bougeait pas de se canapé, il soutenait le regard de la jeune fille.
Tu me vois sous cette angle certe, mais tu dois savoir que je ne suis pas qu'un bon danseur, chanteur ou musicien, je suis avant tout un tueur... J'ai une réputation et l'on ne m'aime pas beaucoup, les personnes qui me haïssent ferait tout pour me faire souffrire...Moi personnelement sa me dérange pas, mais le problème est que pour me faire souffrire on attaquera mes proches les plus faible. Beaucoup des personnes que je fréquente sont de bon combattants, mais je te vois mal toi pouvoir te défendre contre eux. Ta fille et toi pouvez écrire votre histoire, moi j'ai déjà écrit la fin de la mienne, je ne peux pas la changer...Comprends tu ce que je te dis. Je suis quoi ? A part un homme qui t'a inviter à danser, je savais que cela se terminerais comme sa, et j'aurais du m'en aller quand tu n'aurais pas eu le temps de souffrir.
Il n'avait pas bouger pendant tout son récit, il voulait en faite la réponse de cette jeune femme, mais tout cela allait-il changer quelque chose ? Il disparaîtrait un jour ou l'autre sans laisser la moindre trace, la porte de sa chambre fermer et qui se rouvrirait quelques temps plus tard, sa avait toujours été comme cela avec lui. Il ne le voyait que maintenant, mais jamais il n'aurait du inviter cette femme, ils ne se seraient jamais connu et elle n'aurait pas souffert par sa faute, mais maintenant c'était trop tard. Malgrès tout cela il n'était pas étonner de voir cette fille si jeune et avec déjà tant de responsabilité.

En écoutant son récit et en comprennant qu'il ne se leverait pas de suite, la demoiselle ferma la porte et s'appuya contre celle ci.
Le mot "tueur" fit accelerer son coeur. Elle l'entendait battre si fort qu'elle pensait qu'il l'entendait aussi, de l'autre bout de la pièce.
Quand il eut fini son discourt, elle réussit à articuler:

"Tu as raison. Je ne suis pas une grande combattante, et nous protèger, moi et ma fille, seule, je n'en serait pas capable dés qu'il s'agira de quelque chose de grave.
Je croit que je n'ai plus assez d'encre pour écrire mon histoire..Ce que tu es pour moi..Justement..Je te croyait l'encre qui aiderait à continuer mon histoire..Lu-nai en est aussi..J'ai du mal à être heureuse ses temps si..Surtout depuis sa mort. Evidement, je n'ai pas envie de le revivre, je n'ai pas envie que cela t'arrive. Mais j'avais l'impression que tu ferait revivre en moi cette bonne humeur que j'avais toujours avant la mort d'Osatori.. D'ailleur, j'en suis toujours persuiadée.
Je ne te voit pas comme un quelconque étudiant qui m'as invité à danser. Je te voit plus comme.. Un robin des bois..Qui essaye de sauvé au péril de sa vie.

Elle se laissa glisser le long de la porte, le regard vide.

- Tu t'inquiète pour moi et pour ma fille. Mais si je ne me bouge pas, si je vit toujours sur mes acquis. Jamais je n'aurait de plaisir à vivre ma vie.

Si tu comprennais la sensation qui se fait quand tes connaissances meurent autour de toi et que tu ne ressents pas la moindre tristesse, tant de personnes sont mortes pour m'avoir nourrit, pour m'avoir loger, pour avoir été mon ami, j'ai tout perdu depuis mon enfance, et je perds encore trop. Je ne suis pas la personne qui apporte le bonheur, je règle les problèmes et je disparait, je dirais que je suis plus un ange gardien qui agit sans que lui demande en restant toujours discrèt. Je ne peux t'apporter la joie que tu devrais avoir, car un jour je disparaîtrais, peut être reviendrais-je mais des semaines voir des mois après. Je n'ai jamais été humain, dès ma naissance j'étais déjà un monstre, maintenant j'ai changé mais ce monstre est toujours là devant toi, je me repais de la souffrance, me nourrit de la mort que j'apporte. J'ai peut être du charme, je suis peut être galant, mais ce n'est qu'une image de ce que je suis vraiment.
Ses pupilles étaient devenu entièrement noir, il se leva, prit sa guitare et la mit dans un coin vide de la pièce, il restait debout à côté de la fenêtre, adosser au mur, les bras croisés, il regardait la jeune femme qui se trouvait en face de lui. Allait-il partir, s'il était intéligent c'est ce qu'il ferait mais il avait quelque chose qui l'attirait, avait-il grandit trop vite, il avait un manque de quelques chose mais de quoi ? Lui même de le savait pas, les possibilités qui s'offraient à lui était nombreuses.

Elle le regarda longuement hésité devant la fenêtre avant de déduire:

-Tu ne sais pas si tu doit partir.

Elle se leva et affirma

-Tu attend quelque chose de moi, mais tu ne comprend pas ce que c'est... Moi non plus d'ailleur..

Elle s'approcha de lui et dit d'une voix assurée bien qu'elle était perdu à l'interieure d'elle même.

-Tu n'est pas un monstre Kotarô, tu le pense, mais tu ne l'ai pas. Tu es triste, tu es modeste, tu es seul, tu aimerait être heureux, mais tu pense que tu ne peut pas.

Elle mit la main du garçon dans la sienne et la posa sur son coeur.

- Tu dira ce que tu voudra, mais moi, ce que je veut, c'est te garder au près de moi.

Elle l'enlaca et continua a parler en chuchotant

- Je comprend qu'un jour tu disparaitra. Mais ce que je te demande, c'est de le faire reculé le plus loin possible. Pour que je puisse t'apprendre le bonheur, car tu le mérite.

Elle posa sa tête contre l'épaule de Kotarô, elle se sentait bien.
Si bien que cette beattitude l'étonna.

Le jeune homme aurait voulut reculé, mais il était contre le mur, il se laissa donc faire, il ne savait plus comment agir. Son corp vacillait entre entre froid et le chaud, il était mal l'aise, son visage était devenu pale. Il ne se comprennait pas, ce n'était pourtant pas la première fois. Le brun avait peur, mais peur de quoi, rien n'était dangereux pour lui, depuis quand se souciait-il des autres ? Si...C'était donc sa...Ce pensionnat l'avait adoucit, il avait peur pour les autres, lui qui ne faiblit pas même devant la mort, tremble maintenant pour cette femme, devant cette relation, devant cet enfant qu'il ne pourrait pas élever. Il avait peur de cet inconnu, il aurait aimé fuir, mais il ne pouvait pas. Ses mains se possèrent sans qu'il ne s'en rende compte sur les hanches de la jeune femme. Il pouvait bien dire ce qu'il voulait, mais ce contact féminin, il l'appréciait, cela faisait longtemps qu'il n'avait pas ressentit cela. Sa main droite remonta alors saisit doucement le menton de la jeune fille et le tourna de façon à pouvoir la voir dans les yeux, puis lui deposa un doux baiser sur ses lèvres délicieuse. Il laissa ce baiser durer un peu puis finit par écarter sa bouche de celle de la jeune femme. Ainsi c'était comme cela que le livre d sa vie continuait ? Ainsi soit-il, mais pourquoi avoir fait une élipse temporel sur se passage ? Il ne le saurait surement jamais. Qu'allait-elle lui dire maintenant, comment la suite allait-elle se joué ? Il aimerait bien savoir la suite.
Tu penses que tu pourras ne pas pleuré quand je partirais ?

Il avais l'air de vouloir fuire, mais elle ne voulais pas le laisser partir.
Resserrant tendrement son étreinte sur lui, elle n'osait plus le regarder, respirant son odeur en attendant sa réponse. La réponse qui serait décisive.
Au bout d'un moment, il posa ses mains sur les hanches de la jeune fille, elle se demandait à quoi il pensait. Peut être se faisait il à l'idée qu'elle l'appreçiait.. Peut être qu'au fond de lui il était en train de réfléchir si oui ou non il partirait.
Puis elle sentit une main s'approcher de son visage, elle fremit doucement.
Elle le regardait, enfin, c'était lui qui lui avais lever le visage de sorte qu'elle le regarde.
Puis, il l'embrassa. Elle ferma les yeux et prolongea tendrement.
C'était si agréable, depuis longtemps elle n'avais pas sentit cette sencation, elle la retrouvait avec euphorie.
Puis, il rompit le baiser, elle ouvrit les yeux doucement, de peur de s'appercevoir que ce n'était qu'un rêve.
Après un petit moment, elle répondit à sa question.

-Non, je ne pleurerait pas. Je te le promet!

Elle lui souriait d'un air assurer.

Le garçon était un peu triste de son choix, car il savait qu'au final la personne qui souffrirait de cette relation sa serait cette jeune femme. Il ne montrait pas se sentiment de tristesse, car il savait que cela couperais toute joie à cette fille. Il avait un peu peur de la suite, même si jusqu'à maintenant cela ne l'avait jamais effrayer. Il prit un air détendu et alla s'assoir sur le lit de la jeune fille, en faite il s'était assit au plus près d'où il était. Il invita sa compagne à le rejoindre à ses côtés même s'il pensait qu'elle finirait sur ses genous. Dans le silence incroyable qu'il arrivait à imposer, sa voix prennait assez d'ampleur, il demanda alors l'âge de la jeune fille. Ses yeux s'étaient perdu sur le plafond, c'était décidément le meilleur pour regarder au endroit dénué de tout intérêt. Il avait réouvert le livre de sa vie et avait rajouter quelques page pour écrire cette aventure, elle ne durerait pas éternelement et il le savait, il partirait tôt ou tard pour de multiple raison, mais aucune ne le concernerait directement, comme d'habitude. Son regard descendit du plafond puis il ferma les yeux. Il la laisserait faire à sa guise, il ne voulait pas prendre d'initiative.

Un blanc s'installa. Les mettant mal à l'aise autant l'un que l'autre..
Il s'installa sur son lit, semblant soulagée de c'étre dénouer de son étreinte.
Elle ne dit rien, ce demandant ce qu'elle pourrait dire, bien que ce silence était reposant.
Un courant d'air froid flottait près d'eux. Elle qui c'était assise sur le lit à ses côté se leva et alla fermée la fenêtre, en revenant, elle etteignit les lumières, trouvant cela oppressant.

"je vais sur mes 17ans" lui répondut-elle.
A prèsent, elle se dirigeait dans le noir, mais se prit les pieds dans quelque chose, qui l'aida à s'éffondrer sur lui.
Elle sourit. Heureux hasard.
Tout deux allonger sur le lit, elle sur lui, ils se regardaient, elle l'embrassait.
Quelque chose au fond d'elle lui donnait des envies qu'elle jugea peut catholique. Mais elle hésitait.
Elle l'embrassa avec fougue et conviction. Puis, elle chuchota:

"Tu en as envie?"

A vrai dire, elle même ne savais pas ce qu'elle voulais, maintenant, avec lui. Elle savais qu'elle était bien. C'est tout.

Le garçon se laissa faire, il avait donc choisit cette voix, il se devait de la suivre maintenant. Sa main gauche alla se poser sur les fesses de la jeune femme tandis que celle de droite, passait sous le haut de celle-ci. En faisant tout cela il continuait d'embrasser sa compagne, le goût de ses lèvres, la douceur de sa peau, il avait oublié à quel point il aimait cela. Il retira sa veste noir, puis fit glisser la tenu de soiré de sa jeune compagne, ainsi il avait plus de contact avec la peau de cette dernière. Deposant de léger baiser dans le cou de cette dernière sa main gauche qui était auparavant sur le tissu s'était glissé sous la culotte de la fille. Il eu soudainement chaud, il connaissait la suite et maintenant il voulait la faire, la sentir. Sa main gauche alla sur l'entre jambe de sa compagne, et il commenca à faire glisser son index entre les lèvres de la jeune fille mais sans l'enfoncer. Sa main droite vint dégrafer son soutien gorge, puis alla caresser sa poitrine. Il avait fait en sorte de se retrouver au dessus de sa bien aimé, il la regardait dans les yeux avec tendresse.
J'imagine que cela répond à ta question.

Quand elle sentit la main de son amant se glisser sur ses fesses, elle eut un sourir amuser.
Il en fallait peut pour le décidé, ce qui lui faisait plaisir. Ainsi, elle lui faisait envie malgrès son regard indecit qu'il lui jettait auparavent.
Elle lui sourit donc et continua de l'embrasser. Ses baisés et ses gestes étaient si doux qu'elle ne s'en lassait pas..
Elle semblait assurée pendant qu'il la déshabillait en vitesse, elle fit de même pour lui. Se trouvant tout deux presque à nu, elle le regarda. Il était si beau. Elle commençait à avoir chaud et sentait l'exitation l'envahir.
Elle se mordilla la lèvre inferieure quand il caressa en douceur son vagin.
Elle avait envie de lui, tout de suite. Et elle sentait qu'il allait bientôt lui donner toute l'exitation qu'il pouvais lui faire ressentir. Elle attendait ce moment avec hatte, son corps commencait à bouillir rien qu'à cette idée, et aux gestes de son amant.
Elle enleva le short du garçon et glissa sa main sur le sexe de ce dernier.
Elle le regarda, lui fit un clin d'oeil et dessendit en l'embrassant dans le cou, puis, tout le long du torse, Elle arriva au bas-ventre, elle sourit malicieusement et alla poser ses levres sur le sexe du garçon. Elle mit dans sa bouche, et fit quelques vas-et-vien avec sa langue, lechant, mordillant doucement de temps à autres.Sentant que ça devenait de plus en plus raide, elle continua avec plus d'ardeur, puis s'arrêta et retourna embrasser son prince.

Le jeune homme sentit ses dents se planté dans sa lèvre inférieur, il avait mordu si fort qu'il s'était mit à saignier. Il avait était supprit par le contact de la langue de sa compagne sur son sexe, il ne s'y était pas vraiment attendut, il semblait sortir du lit, un peu lent à la détente. Quand elle remonta il accepta son baiser et le prolongea, et tout en faisant cela, il avait dégraffer le soutient gorge de la jeune femme. Le brun fit en sorte d'être au dessus d'elle puis laissa glisser sa bouche sur son corp et s'arrêta sur sa poitrine, ensuite il commença à descendre lentement, très lentement découvrant le corp de son amour. Puis il retira doucement le dernier vêtements de sa belle et passa un coup de langue sur son entre jambe. Ses doigts se possèrent doucement sur les lèvres de la femme puis commença à caresser l'endroit, puis la langue vint également se poser sur sa partie, et il léchait les lèvres et le clitoris de la jeune fille, puis rentra lentement un doigt dans le vagin de la fille, il était très doux et faisait bien attention à toutes ses actions. Au bout d'un moment un deuxième doigt vint s'ajouter au premier, puis un troisième, pendant ce temps sa langue continuait de titiler le clitoris de sa bien aimer. Alors que sa main droite commencait à faire des va et vient dans celle-ci, celle de gauche s'était faufiller sous ses fesses mais le garçon n'insistait pas, il attendait seulement de voir la réaction de sa compagne.

elle gouta au sang du garçon, un sourire se dressa sur ses lèvres. C'était sucré, un peu acide, comme une odeur de citron..une bonne odeur.
Elle adorait cela, mais ce disait qu'il ne fallait pas le montrer pour ne pas paraitre plus étrange qu'elle ne l'était.
Ils échangèrent les rôles, lui se trouvant sur elle.
Le garçon lui vola un baisée et descendut le long de son corps -comme elle l'avais fait pour lui quelques instant au paravant-, prennant un temps calculer, la couvrant de baiser, elle ne pouvais plus attendre, avais de plus en plus chaud.
Il arriva enfin à son sexe, et y posa un baiser, elle se mordilla une fois de plus la levre intèrieure, un peu plus fort, mais pas assez pour que cela saigne.
Elle arrêtait de respiré comme si le bruit de sa respiration haletante l'empechait d'en profité, quand elle n'en puis plus, elle pousa un gros soupire et recommenca avec un rythme irrégulier à respirer.
Gemissant légérement, elle posa ses mains sur le dos nu du garçon, y plantant ses ongles.
Elle laissa une main dans le dos de son amant et mit l'autre sur les draps de son lit, les cramponnant jusqu'as ce que ses doigts deviennent blanc.

-Tu fait sa si bien

Lui avoua elle entre deux gémissement..

Le jeune homme ne sentit pas les ongles de sa compagne s'enfoncer dans sa chair, il était bien trop occuper à lui donner du plaisir, ses doigts glissaient beaucoup plus facilement et il ne se priva pas de rentrer ses mains jusqu'au poignet, bien sur il faisait sa doucement, préparant ainsi la jeune femme à ce qui allait suivre. L'index de sa main gauche forca légèrement le passage rentrant donc un peu dans l'anus de sa bien aimer, il commenca de très petit va et vient comme s'il attendait l'autorisation de faire plus. Sa main droite elle bougeait dans le vagin de la jeune fille, cherchant à stimuler le point G de celle-ci. Il finit par retiré sa main mouiller par la cyprine qu'elle avait produite, il n'y avait pas de doute qu'elle était exité, mais le garçon décida de faire duré, en faisant cela il pouvait passer pour un sadique mais après tout, elle en profitait aussi. Il avait également remarquer qu'elle avait lécher son sang, ce qui disait qu'elle aussi était spécial. Il embrassa la femme sur les lèvres, puis glissa sa langue entre celle-ci et la fit bouger dans son vagin. Il donnait le plus de plaisir à cette jeune femme qu'il aimait, il ne voulait pas l'avoué, ne voulait pas la faire souffrir mais il l'aimait, et ne voulait plus la quitter mais malheureusement il savait que cela était impossible, alors ils profiteraient de ce moment. Sa main droite caressait le ventre de sa compagne tandis que lui jouait toujours avec sa langue, attendant l'autorisation de la jeune femme.

La fille sentait qu'il n'avais aucun mal à "s'installer" en elle.
Ne sachant pas si il prenait autant de plaisir qu'elle, la demoiselle était un tout petit peu génée, mais cela, dans une partit inferieure de son cerveau. On va dire qu'elle avais plutôt besoin de savourer le plaisir primaire que lui offrait son amant.
Lui, semblait joyeux à entendre les gémissement que la fille produisait.
Tout les sens en effervessance, elle en voulais plus, et lui implora.
Avec une jubilation non dissimulée, il lui offrit ce qu'elle voulais, l'explorant d'une façon plutôt étrange par tout les moyens possibles et inimaginable (xD)
Il semblait attendre..mais qu'attendait il?!
Elle n'en pouvais plus, voulais encore et encore, la respiration irrégulière d'Azuna montrait qu'elle était impassiente.
"Continue s'il te plait"
Implorait elle après c'être redresser et c'être mit contre Kotarô.
Puis, quand il continua, elle se ralongea.

[bof bof, pas d'inspit ><]

Le jeune homme eu un léger sourire narquoi qui apparut sur son visage, puis se décida à acceder à la requête de sa compagne. Il écarta donc les jambes de celle-ci, remonta un peu, puis pénétra la jeune fille avec douceur, il commença ensuite de lent va et vient. Au bout d'un moment le brun donna des coups de reins plus puissant, allant plus loin dans le vagin de la jeune femme, puis après ils se firent plus rapide. Sa bouche s'était perdu dans le cou de la jeune femme, mordillant parfois un peu la peau, puis il embrassa celle-ci. Sa main droite caressait la poitrine de sa bien aimer, de mannière peut être un peu trop brutal, puis elle commença à descendre et se mit sur les fesses de son amour, il rentra alors soudainement un doigt entre les fesses de celle-ci et fit de lent va et vient. Il se demandait ce qu'elle allait lui dire, si elle ne voulait pas, il n'insiterait pas mais peut être allait-elle se laisser faire, ce qui l'ettonerais un peu tout de même. Il pencha sur le côté pour se retrouver sous sa compagne et regarda la poitrine de celle-ci bouger au rythme de ses coups de bassins et posa sa main gauche sur le sein gauche et le caressa, laissant sa main droite où elle était.

Elle sourit, il continuait leur petit manège qu'ils jouaient avec plaisir depuis quelques minutes.
Il la pénétra en douceur et accèlerait doucement le rythme, de plus en plus brutal, bien qu'ils semblaient apprécier autant l'un que l'autre. Soudainement, il décida d'essayer autre chose. Là, elle poserait une limite.
Sans un mot, elle déclina l'idée de Kotarô en enlevant la main "intruse". Elle sourit ce félicitant interieurement. Elle à enfin du courage, dire qu'un ou deux an avant elle n'aurait rien dit, même si elle n'appreçiait pas.
Bref, elle le laissa l'embrasser dans le cou, ça, elle appréciait.
Profitant de plus en plus des vas-et-vien du garçon, elle s'abandonnait à lui, presque sans volonté, posant des limites quand il fallait, bien qu'il semblait les acceptés sans peine.
Pendant qu'il l'embrassait et donnait des coups de mains avec entrain, elle, caressait en douceur le torse musclés de son amant d'une main, et le dos de l'autre.
Gémissant encore, plus fort, sa respiration se faisait de plus en plus haletante, irrégulière.
Mais elle aimais tout chez lui. Ses gestes, son corps, ses manières... Elle l'aimais et le désirait.

Il laissait la jeune femme décidé, après tout c'était son corp. Le jeune homme continuait encore ses va et vient et avait de nouveau accèlérer ceux-ci, son soufle était entre coupé. Il ne se sentait pas encore venir, ce qui l'arrangeait car cela voulait en même temps dire que le plaisir continurait. Le brun s'était lever en portant sa compagne pour continuer ses va et vient, les deux mains poser sur ses fesses pour la soulever, il sentait les jambes de celle-ci autour de sa taille et ses bras autour de son cou. Le garçon la mit dos à un des quatre mur de la pièce, un mur où rien n'était accrocher, et il continua ses va et vient qui avaient ralentit pour être plus fort, le mur permettait à arrêter chaque choc, et chaque coup de rein était assez puissant pour que son sexe touche le fond du vagin de sa compagne. Dans l'action, il avait totalement oublier de mettre un préservatif, il en avait toujours sur lui car il se connaissait. Néanmoins cette fois il avait oublié, il lui dit entre deux respiration qu'il l'avait oublié, tout en se demandant ce qu'allait répondre la jeune femme. Cela ne l'empécha pas de continuer ses va et vient. Il embrassa fougueusement sa bien aimer, glissant sa langue dans la bouche de celle-ci et jouant avec la sienne.

Elle sourit, la barrière n'avais pas été franchie.Du haut de ses 20 ans, il était plutôt sage, obéissant. Tant mieu, elle n'aimais pas qu'on ne l'écoute pas.
Il continua ses vas et viens, et il la souleva. Gener, ce disant qu'elle était trop lourde pour lui, pourtant, il ne semblait avoir aucun mal et même continuer de prendre du plaisir.
La collant au mur si frais que ça lui fit un choc mais que c'était très agréable. Les coups de reins de son brun allais plus loin et faisait plus d'effet.
Plus de simple gémissement, elle caressa en douceur son dos, en embrassant son amant.
Quand soudain, il lui avoua qu'il n'avais pas mis de préservatif.

Elle ce disait bien qu'il manquait quelque chose au tableau, mais quelque chose d'aussi dramatique. Elle n'y pensait pas.
Elle voulus s'arrêter, mais si bien lancer, elle n'eut pas le courage.
Pourtant elle ne semblait plus être autant dedant.
Elle était ailleur, pensait à ce qui risquait d'arrivée. Puis, elle ce dit qu'elle irait prendre la pillule du lendemain et qu'en attendant, autant continuer d'en profité, mais tout de même..

"Si..tu fait..cela..pour me rendre enceinte..Ce..n'est..pas très..très drole"

Eut elle annoncer entre quelques gémissement, et respiration inégale.

Le garçon arrêta soudainement l'acte, regarda la jeune mère dans les yeux, la posa sur le lit et se releva, il commençait à se rehabiller metant son caleçonn puis enfilant sa chemise, laissant là la jeune femme sur le lit, encore nu désemparé. Il avait été brusque sur le cou, certe mais après tout il avait ses raisons. Elle l'accusait de quelque chose dont il n'avait pas envisager et n'aimait pas cela. Après avoir enfilé son pantalon, il sortit une sorte de tablette de médicament et la lança sur le lit. Son erection finit par se terminé, il se contrôlait, ne montrant aucun signe d'attraction envers la jeune femme. Il fit craquer ses doigts un par un puis ses poignets et enfin son cou, mit ses chausettes et commençait à se chausser. Il gardait un silence pesant et ne regarda pas une seule fois la jeune femme, en remettant ses cheveux en arrière quelque chose sembla bouger sur sa tête mais cela disparut bien vite, ses pupilles étaient aussi noire que la nuit , son visage était pale, un peu mal à l'aise de tout arrêter comme cela mais après tout il l'avait décider. Il restait assit sur le lit, seul sa veste n'était pas sur lui, et sans se retouner, il dit d'une voix froide:
J'ai l'impression que tu n'as rien compris de moi, vaut mieu tout arrêter, je ne serait qu'une aventure d'un soir dans ton esprit, si tu ne cherches pas à me comprendre, je ne ferais aucun effort de mon côté. Si tu me cherches tu sauras où me trouver.
Il jeta une carte sur le lit avec un paquet de préservatif, sur la carte était noté toutes ses coordonnées, puis il se dirigea vers la fenêtre, l'ouvrit fit un petit bond pour se mettre sur le bord et se laissa tomber dans le noir, un bruit se fit entendre, comme pour indiquer qu'il avait toucher terre, et le garçon partit de son côté.

[Je fais la suite dans la cour.]

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