Adolescent cherche le pensionnat ( Libre )

Le soleil montait lentement dans le ciel, signe qu'une nouvelle journée commençait et déjà des gens prenaient leurs voitures et s'en allaient pour aller à leur boulot, ou vfaire les courses ou un tas d'autres chose strès interessantes.
Et finalement, nous revoila avec un énorme bouchon dans toute la ville et cela ne cesse pas de s'allonger. Et Kojiro qui était dans son taxi a attendre commençait vraiment à s'énerver car ca n'avancait pas mais il ne fallait pas s'en prendre au chauffeur car c'était la faute des gens. Il demanda alors au chauffeur du taxi :

- Monsieur, quand est-ce qu'on arrive ?
- Ah ca ... J'sais pas monsieur ... Environ 30 minutes !
- OK et bien aurevoir monsieur

En effet, il sortit du taxi, déposa un peu d'argent sur la banquette passager de devant et sortit ses valises du coffre puis la referma et referma aussi la porte et il commença sa longue route vers le pensionnat. Au moins, là il était sur qu'à pied il irait plus vite.
Il respira un bon et ainsi, il commença à marcher tranquillement, ses deux valises à la main ( donc on pouvait en déduire qu'elles n'étaient pas très lourdes ) et l'air détendu, content de pouvoir aller dans un nouveau pensionnat car l'autre était un peu nul il l'avouait.
Il continua donc de marcher et prit une petite ruelle, puis une autre, et encore une autre pour finalement arriver a la plage. Il ne sait pas comment il la fait mais il se gratta la tête et soupira et s'avança vers le banc le plus proche et libre pour se reposer un peu.
Il soupira et se posa délicatement sur le banc et lacha ses valises qu'il posa à terre ensuite et il se detendit. Il ferma les yeux un instant, laissant le bruit des vagues, des mouettes et des bateaux résonner dans sa tête et lui faire du bien. Puis il les rouvrit et dit en regardant le ciel :

- C'est vraiment pas ma veine aujourd'hui !

HS : Désolé du retard je devais poster ce message mais j'ai du aller manger ^^"

Le vent soufflait lentement mais faisait quand même voler les longs cheveux blonds de Kojiro qui se laissait aller, lentement sur ce banc, seul et tellement perdu. Il regrettait à présent d'avoir quitté le taxi et d'avoir essayé de chercher le pensionnat tout seul alors qu'il ne savait même pas ou il se situait. Il regrettait beaucoup de choses en ce moment même que son cerveau n'était pas autant à l'affut que d'habiude et il n'entendit pas tout de suite la musique qui s'élevait d'un banc tout près du sien tellement il avait la tête dans les nuages, l'envie d'entrer dans ce pensionnat tellement réputé et de se faire pleins d'amis et d'enfin découvrir la vérité sur son passé. Il avait aussi envie de tellement de choses ... Tellement de choses que pour certains n'étaient un rien mais que pour lui signifiaient le début d'une grande et longue aventure.

Ah l'aventure ! Tel la forme qu'elle prend, elle nous emmene souvent très loin et souvent au delà de notre imagination. On pense avoir une vie tranquille comme beaucoup de personnes mais finalement, notre destin n'est pas vraiment tracé et c'est a nous de le faire, selon nos choix, nos decisions. Et Kojiro, lui, avait déçidé qu'il voulait d'abord savoir plus de choses sur sa vie avant de passer a ce qui l'attendra plus tard. Mais en attendant, il perdait du temps à penser à tellement de choses alors qu'il devrait déjà être en train de chercher un panneau indiquant la direction du pensionnat mais c'était comme ci quelque chose l'attirait par ici. Comme ci on l'empêchait d'aller quelque part d'autre mais il n'arrivait pas a savoir quoi. Il resta donc sur son banc et c'est là qu'il emarqua e jeune homme qui jouait de la musique.

D'ailleurs, cette musique était très douce, rythmée et si bien jouée qu'il se demandait si il n'était pas un professionel comme lui. En effet, lui même jouait beaucoup de la guitare mais cela dépendait des moments, si il allait bien ou pas et d'autres choses comme cela. En tout ça, le jeune homme en face de lui remarqua son regard et il lui demanda si il avait un problème. Oui il en avait un gros problème car il était perdu ... Il répondit en soupirant :

- Oui je cherche le pensionnat de cette ville mais je n'arrive pas a le trouver hélas ...

Il regarda le jeune homme un moment puis sortit de sa poche quelque chose mais il était trop petit et son poing se refermait dessus et il l'avala. Puis il regarda le jeune homme puis détourna la tête vers une femme qui tirait une pousette avec dedans un enfant qui pleurait et il dit ensuite :

- Toi aussi tu a l'air d'avoir un problème

Et avec un petit sourire, il se releva, s'approcha du jeune homme en question et jeta un billet de 20 yens dedans. Puis il demanda :

- Je m'appelle Kojiro et toi ? Ta musique est vraiment très jolie dic donc et cela se voit bien que tu a beaucoup travaillé dessus.

[HJ: dsl pas très inspirée -__-]

Yue regarda le billet de 20 yen avec une certaine surprise. Il se limita a le ramasser et a le tendre a son propiétaire, le visage inexpressif.

-Reprend le, j'ai deja recolté assez d'argent pour me payer à bouffer! Et sinon mon seul probléme était le fait d'avoir oublié mon porte-feuille, probléme qui est maintenant résolu.

Il mit son sac et prit la anse du boitier de sa basse. Il faut dire qu'il avait pas prit le plus pratique. C'était plus lourd qu'une simple house, mais protégeait mieux l'instrument, et puis il aimait bien l'air macabre de la chose. Alors omme ça il s'apelait Kojiro. Il cherchait le pensionnat, et aparament il aimait la musique. Il leva son regard froid vers Kojiro.

-Je m'apelle Yue Kuroda. Je suis également au Pensionnat. Je pourrait t'y conduire si tu veut! J'aima bagnole garé à deux rues d'ici. Je me prnd a bouffer et on y va. La bouffe du pensionnat est immangeable, je prefére manger en ville.

Ce n'était pas par pur gentilesse qu'il avait donné ce billet de 20 yens qu'il avait fait retiré hier soir au jeune homme mais plutot parce qu'il venait de jouer comme chanson. Car en fait, la chanson qu'il venait de finir avec sa guitare était une chanson dure avec tout pleins d'accords et de piéges a déjouer sinon la chanson ne devient plus aussi douce qu'avant. Et, si plus incroyable que ca puisse paraitre, il l'avait réussit sans aucune erreur, montrant qu'il s'était entrainé a la faire et qu'il devait jouer souvent de la guitare. Il était tellement pareil que Kojiro qu'on aurait pensé deux frères qui venaient de se retrouver, après des années d'absences, éloigné chaqu'un de l'autre, voulant absolument voir l'autre tellement on a de choses à lui raconter. Et puis, le hasard finit toujours par arriver et on le retrouve bizarrement ... Hélas Kojiro n'avait pas de fréres ...

Il regarda le jeune homme, se demandant bien ce qu'il allait faire avec déjà une avance sur la suite des événements et il avait raison car celui-ci s'abaissa, prit le billet et lui tendit en lui disant que finalement il avait réussit a récolter assez d'argent pour remplacer tout ce qu'il avait dans son porte-monnaie. Il soupira alors et le regarda puis prit le billet et le remit dans sa poche droite pendant qu'il la refermait. Lorsce qu'il releva alors la tête, le jeune homme dont il savait toujours pas le nom avait a ses genoux une boite d'ailleurs qui semblait très épaisse et douilette pour sa guitare qu'il rangea correctement dedans. Il tourna alors sa tête à sa gauche, ne remarquant personne et quand il la tendit vers la droite, il vit un chien ( Exactement un labrador ) courrait un peu, essayant de récuperer l'os que son maitre balançait de haut en bas en rigolant avec sa femme a côté de lui.

Et finalement, le jeune homme devant lui se releva et lui révéla enfin son nom qui était Yué ... Yué ... Ce nom ne lui disait rien mais il avait un peu plus de sympathie pour lui maintenant qu'il savait son identité. La conversation serait surement un peu moins froide que tout a l'heure à partir de maintenant mais il fallait tout de même qu'il fasse attention a ce qu'il dirait pour ne pas vexer le jeune homme car sinon il finirait sa vie en errant, cherchant toujours de chercher le pensionnat à 75 ans. Il soupira rien qu'à cette pensée, se demandant si il s'imaginait pas trop de choses fausses. Puis il recula de quelques pas et laissa le jeune homme prendre sa guitare et son sac et le regarda, prêt a le suivre. Mais avant, il avait tant de questions qui lui trotinnaient dans la tête sans pouvoir savoir laquelle poser en premier :

- Ca fait longtemps que tu es au pensionnat ?