Entrée dans le pensionnat [PV 1er]

Le vent souffle dans les cheveux trempés d'une jeune fille qui marchait à pas pressés, comme si on la poursuivait ou qu'elle allait à un rendez-vous important. Pourtant, il n'y avait rien de spéciale...Kazueko avait quelques mèches de ses cheveux sur son visage sans expression, les yeux à moitié fermé, comme si elle était fatiguée... En faite, elle était fatiguée. Voilà deux heures de trajet qu'elle avait fait à pieds pour partir de son logis et de sa famille sans intérêt...Bref, après encore quelques pas et Kazueko était devant ce grand bâtiment au multiples fenêtres, toutes éclairées par une lampe où bien aussi sombre que la grande étendue noir qui se trouvait au dessus de la tête de Kazu'. Maintenant, c'est pas étaient ralentis, le regard qui observait chaque partie de cet énorme jardin où elle se trouvait. Elle s'arrêta et leva la tête afin d'observer le ciel. Que c'était beau ! Bref, trêve de rêveries ! Elle marcha avant de se trouver devant une porte en bois. Elle avait l'air lourde et solide. La jeune femme se demandait si elle était fermée ou ouverte. Elle poussa la porte devant elle et s'ouvrit tout doucement. Elle était ouverte... et lourde ! Kazueko se faufila dans la petite ouverture qu'elle avait faite et la referma de suite après y être passée sans aucun problème ! Elle observa l'endroit où elle était, un looooong couloir décorés d'un long tapis rouge. UN grand escalier se dressait devant elle, où pouvait-il bien amener ? Elle décida de le savoir tout de suite en le traversant ! Elle commença à monter les marches, deux à deux, pressée de savoir ce qui l'attendait ! UN fois toutes les marches franchit, elle vit encore un long couloir avec de multiple porte...Où pourrait-elle bien aller ?

*Où pourrais-je bien aller ?*

C'est alors que les portes s'ouvrièrent brusquement, un jeune homme les avait ouverte d'un coup de pied et il entra rapidement pour éviter de se les prendre en pleine figure. Le garçon brun se tenait maintenant au milieu de la salle, il portait un tee shirt à manche courte noir, un jeans noir et de simple basket elle aussi noire. Il ne semblait pas s'attarder sur le fait que l'hiver était proche, il fit craquer son cou et semblait observer les personnes autour de lui, comme s'il soupçonnait une attaque. Et elle finit par arrivé, il semblait apprécier de la gente féminine mais pour les hommes c'étaient une autre affaire. Il esquivait les coups avec une agilité extraordinaire, il n'avait pas obuger ses mains et son corp semblait pouvoir se plier à volonter, comme s'il n'aait pas d'os. Il finit néanmoins par se lasser par ce petit jeu et fit un léger saut, parra les attaques avec ses jambes, prit appuie sur l'épaule gauche de son assaillant et se propulsa en arrière de mannière à faire un salto arrière. La puissance qu'il avait mit dans sa pousser avait envoyer son adversaire à terre, il lui fit un regard comme pour lui dire de se retirer pour éviter qu'il se fasse mal. Et alors que l'autre partait, le brun se remit en chemin, et monta l'escalier qui menait au dortoir des garçons et croisa une jeune fille, qu'il trouva très jolie, même si pour lui la plupart des filles étaient magnifique, tel une rose qui s'ouvre à l'aube en se nourrissant de la rosé du matin. Il dit alors d'une voix neutre:
Içi c'est le dortoir des garçons...soit vous voulez dragué soit vous vous êtes perdu, moi je pense que c'est la deuxième solution. Si vous voulez je peux vous aider à vous repérez dans ce qui sera votre nouvelle maison !
Il regarda la femme dans les yeux et lui fit un léger sourire, ses yeux semblait s'être illuminé et l'on pouvait voir une pointe de marron dans ses iris noir

Il s'était perdu dans ses pensées en chemin, il se souvenait de l'aide qu'il avait put donner sans jamais rien recevoir et son visage perdit sa joie, il s'était soudainement renfermer sur lui même. Lorsqu'il finit de sortir de sa stupeur, il vit un biscuit juste sous son nez, mais déclina l'offre d'un signe de tête. Son sourire revint mais pas la lumière de ses yeux. Il s'assit sur la rampe en faisant signe à la jeune femme de le suivre, et se laissa glisser le long du bois.
Mademoiselle !
Il tendit sa main vers le haut de l'escalier comme pour inviter la jeune fille à le rejoindre. Il se méfiait des alentours, comme si à tout moment l'on viendrait l'importuner, et malgrès son sourire il restait assez renfermer, c'était dur de savoir à quoi il pensait.
*Je veux pas de problème...mais je les attire...j'ai vraiment pas de bol...*

[Pas inspiré sur ce coup]

L'arrivante lui avait tendue un petit biscuit au jeune homme qui refusa d'un geste de la tête. C'était rare ce genre de personne. Enfin bon, on est tous différent. Kazueko allait elle-même le manger s'il ne'en voulait. Après avoir terminer son premier, elle commenca avec le second. Après l'avoir terminé, le jeune homme glissa sur la rampe avant de l'attendre en bas. La jeune femme descenda à son aise avant de le regarder.

"Je vous suit"

Disa-t-elle avec un jolie sourire sur les lèvres. Elle était ravie que quelqu'un l'aide. Elle qui croyait que cela n'allait pas être la joie d'être ici, et bien, elle s'était trompée ! Ca avait l'air d'être géniale cette endroit et les gens ont l'air sympa a coup d'oeil ! Après toutes ces pensées, Kazueko regarda le jeune homme, toujours un sourire avant de lui demander :

"Au fait, vous vous appellez comment ? Moi, c'est Kazueko mais appellez moi Kazu"

[Moi non plus XD]

Le garçon marchait vers l'escalier menant au dortoir des filles sans dire un mot, toujours sur le qui vive. Et ce qui devait arrivé, arriva, un lustre s'échappa de ses vis et tomba droit sur le jeune homme mais celui-ci ne put le toucher car il fut découper en deux. L'homme ne semblait pas avoir bouger et pourtant c'était bien lui qui avait mit cette objet dans cet etat et sans armes. Il finit enfin par répondre:
Je me nomme Kotarô Inugami, et ce qui viens d'arriver est tout a fait normal quand l'on se promène avec moi...
*Ma poisse est revenu, même au bout de deux ans elle part pas !*
Son visage était attrister, enfin c'était surtout qu'il en avait marre d'avoir de gros objet qui lui tombait dessus.