Retire l'odeur du sang

Un jeune homme était nu sous l'eau bouillante, il n'était pas aprticulièrement sale, mais avait une odeur de sang qui refussait de partir. Cela ne le déplaissait pas particulièrement mais c'était assez troublant pour son entourage. Il n'avait pas fermer la porte de sa cabine, en avait-il vraiment besoin, fallait croire que non. Son corp n'avait aucune blessure, chose étrange pour un combattant, l'eau glissait parfaitement sur sa peau lisse, sur cette perfection, du fait qu'il soit sans egratignure, son oeil droit semblait le gener et il avait mit sa main devant comme pour le proteger de la lumière. Adosser contre le mur qui lui servait d'appuie pour son ame, il revoyait tout ses morts, comme s'ils étaient encore la, attend qu'à son tour il rende l'ame, et que celle-ci vogue à traver le monde humain. Il sortie soudainement de sa rêverie, comme s'il avait été foudroyer. Une fois sortie de sa torpeur, il continua de se laver, en faite il avait terminer, mais il voulait juste rester sous l'eau. C'est peu après qu'il entendit un bruit, il sursauta presque et tendit l'oreille. Il sentit que c'était une fille, la douce odeur du parfum féminin.

- Putain de pluie! Gommela Nagini en claqunt brusquement l porte des vestiaire.

D'un geste agacé, la jeune fille jeta sa veste dans un coin, tandis qu'elle détachait lentement le ruban retenant ses longs cheveux bruns tombant en cascade sur ses fines épaules.
Par la fenêtre, elle pouvait discerner les contours flous des arres dansants dans le vent, tandis que la pluie battante innondait les vitres...
Putain de pluie oui...

Vêtue de son jogging, Nagini observait dans le miroir son reflet palit par le froid. La pluie l'avait surprise,quelques minutes auparavant, mais elle n'avait eu le réflexe de rentrer que lorsqu'une trombe d'eau s'était abattue sur elle.
Doucement, elle se redréssant, écoutant l'eau d'une douh coulée.
Quelqu'un prenait de doute évidence une douche, tandis qu'un tas informe de vêtements séchaient sur le banc...
Quelle imprudence!

Elle acheva d'enlever ses converses et son jogging, puis s'enroula dans une serviette bleue dérobée dans un placard, tout en remontant les bretelles de son soutiens gorge.
Le carrelage innondé semblait disparaitre sous ses pieds, tandis qu'elle passait devant les cabines vides, pui elle se glissa par une porte entrouverte et rejeta la serviette de bain, se jetant littéralement sous le jet d'eau brulant, encore en sous vêtements...

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