Une souré bien tranquil... [PV Minami]

Kazuhiko venait de proposer à la merveilleuse dessinatrice, de rentrée à l'intrieur, dans le salon, au chaud...
Car, il avait beau être un jeune homme musclé, cle n'empèchait pas le fait qu'il était frileux!^^
Il descendirent les escaliers ensemble, presque dans le noir complèt, du toit, jsuqu'au salon.
Kazuhiko, arrivant le première vers la porte, colla son oreille pour écouter si il y avait quelqu'un... A parament personne...
Il ouvrit tout doucement, cela n'empècha pas de faire grincer la porte, et faire apparaître une grimasse sur le visage du jeune homme.

Il scruta la pièce du regard, espérèrant qu'ils soi les seuls...
Ouf... La pièce était déserte...
Il se tourna vers la jeune femme, lui fit un clin d'oeil et un signe de la tête pour lui signifier qu'elle pouvait venir...

Minami ne connaissait presque pas cette partie du pensionnat. Elle avait l'habitude de monter directement dans sa chambre sans jamais aller faire un tour ailleurs. Elle passait le plus clair de son temps dehors ou dans une salle de musique. D'ailleurs cela faisait longtemps qu'elle n'avait pas été jouer du piano! Il faudrait peut-être qu'elle aille s'entrainer de temps en temps! Le violon, elle pouvait en pratiquer n'importe où mais un piano n'était pas aussi pratique.

Enfin... C'est vrai qu'il faisait bien plus chaud ici! Minami enleva sa veste et la jeta sur un canapé avant d'aller s'y effondrer. Elle posa également son sac à coté en soupirant.

-Dire que je suis ici depuis plus d'un an et je ne suis encore jamais venue ici...

¤Je n'ai qu'à pas rechercher autant le calme!¤ pens-t-elle sans le dire.

La jeune fille avait toujours eu tendance à éviter de se retrouver dans des lieux trop fréquentés et bruyants. Elle aimait néanmoins aller les bars et le centre commercial mais rarement pour ce dernier aux heures d'affluence.

-Au fait, ça fait longtemps que t'es là, Kazu?

Elle avait appelé le jeune homme par un diminutif comme elle le faisait souvent avec tout le monde. Elle-même ne s'en était sans doute pas rendu compte.