Dans les rues, non trop éloignées du pensionnat se mêlait mouvement et silence à la fois. Il faisait jour comme le matin et il pleuvait à grosses gouttes. Au milieu de gosses abandonnés, de mendiants sales et sans fierté ainsi peut-être que sous les yeux de combattants sans expérience bien cachés marchait un grand individu, d'un silence peut-être sans pareil.
Il portait derrière son dos et son habit blanc un katana presque tout aussi long que lui-même, l'arme dans son fourreau n'était pas maniable si l'on n'était pas un expert dans la matière. La chose la plus frappante chez l'individu étaient son étrange regard violacé, qui regardait de haut pour la plupart des fois les gens qui le retardaient. Dont ce qu'il avait à entreprendre.
Peu de gens pouvaient apporter un nom à cette personne, c'était Yam. Mais il étaient différent.