Lave un linge délicat... [PV 1er Garçon] [Tanéko]

Emerica poussa la porte de la buandrie, un panier de linge dans ses bras.
Aujourd'hui, elle avait adopter un style fashion-sexy.
Elle portait une mini-jupe plissée noire et rose, à carreaux écossais, avec un débardeur moulant noir, à fines bretelles, et une cravate décorée de la même façon que la mini-jupe: carreaux écossais noirs et roses. Pour les chaussures, elle avait opté pour des chaussettes rayées noires et roses, arrivant un peu avant le milieu du molet, et des chaussures à talons noires. Elle avait ramassé ses cheveux blonds platines en deux couettes, mais sa coupe dégradée laissait tombée plusieurs mèches de longueurs différentes sur son visage. Elle s'était légérement maquillée, avec cependant une généreuse couche de mascara sur ses cils. Sa mini-jupe mettait en valeur ses belles jambes exquisement bronsées...

Elle s'approcha d'une machine à laver innoccupée et posa son panier par terre. Elle balaya la salle du regard, s'assurant ainsi que personne ne la regardait. Car, ce qui se trouvait dans son panier étaient des soutiens-gorges, des shortys et deux strings. Certes, ils étaient tous vraiment joli: dentelles, rayures...mais cela la gênait...

Elle s'aprêtait à mettre un string dans la machine, quand elle sentit une présence...non loin d'elle...

[La buanderie m'inspire ses derniers temps xD]
[Message cour excuse-moi, j'essayerais de faire mieux la prochaine fois.]

Un jeune homme aux cheveux argent de lune arriva dans la buanderie, un sac dans sa main droite transportant ses affaires en vrac. Il était tout de noir vêtu, veste, chemise, pantalon et chaussures, son style laissait à désiré mais il s'en moquait. Malgré ses vêtements hors de mode il semblait avoir un charisme énorme, son sérieux prenait forme partout, dans sa façon de marcher, son expression et ses habits. Et alors que le garçon avançait d'un pas sur, il trébucha sur un banc qu'il n'avait pas remarqué, sa chute se fut dans un grand vacarme de bruit et de jurons. Il se releva s'épousseta puis tenta de récupéré ses affaires éparpiller à ses pieds mais ses yeux blancs ne les trouvait pas. Le jeune aveugle avait bien du mal à s'en sortir. Il savait qu'il y avait une jeune fille mais ne souhaitait pas son aide mais n'arrivant pas à retrouver ses biens, il finit par s'asseoir et dire avec une mine dépiter:
Excusez-moi mademoiselle... Pourriez vous me dire où se trouve mes habits ?

Elle se retourna et vit un jeune garçon, les yeux blanc...Elle lui fit un sourire, mais se rendit compte qu'il était aveugle.

-Oui, bien sûr ! Atendez.

Elle se leva et ramassa un à un les habits du garçon. Elle les lui donna délicatement, en disant:

-Voilà. Je crois avoir tout ramasser. Tu...tu as besoin d'aide ?

Elle sourit à nouveau, puis se sentit, encore une fois, idiote. Elle atendit une quelquonc réaction de sa part. Elle lui avait proposé son aide poliment, mais son ton de voix n'était pas le même que d'habitude. Elle se sentait terriblement gênée. Elle épousseta distrètement sa mini-jupe, et remonta un peu ses chaussettes rayées.

Merci ! Merci beaucoup mademoiselle. Non sa devrait aller maintenant ! Je suis un peu des les nuages ses derniers temps, je réfléchit beaucoup trop et ne fait pas attention où je marche ! Normalement je distingue comme même les formes, mes sa devient dur depuis un ou deux jours. Mais j'oublie de me présenter ! Je me nomme Flint Kethlet, ravie de vous rencontré !
Il fit un signe de la tête pour montrer une amrque de respect puis s'approcha de la machine à laver, l'ouvrit et y deposa son linge sans problème, pour des soucies technique tout ses vêtements étaient noir, il n'avait donc rien à trier. Cela redevint un peu complexe quand il voulut allumer le tas de tole mais il finit par trouver, non sans une certaine joie, le bouton de démarrage et la tout bascula. La machine à laver n'avait aucune envie de démarré, tanpis elle allait devoir subir un traitement spécial et en effet aussitôt penser aussitôt fait, le jeune aveugle se mit à frapper sur le métal peu solide mais il se fit mal bêtement, au même moment l'engin se mit en route comme pour le narguer. Il dit alors à la machine comme si c'était un humain:
Tu l'as à peine fait exprès...

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