Ennuie ou tranquillité ?? La belle au bois dormant s' endort

[ Je m’absente du 11 juillet jusqu’au trois août alors prenez tout votre temps pour répondre puisque je serai absente. Ah aussi, Privé au premier venu (pas envie de faire un topic à plusieurs !!) et pitié, quelqu' un d’assez bon posteur et qui répond pas au bout de 2 mois !!]

Bonjour cher membre, déjà, qualifions le mot ennuie et le mot tranquilité ... Comment ça on s' en fou ??? mais c' est important pour bien décrire les sentiments d' Ayumi !! Comment ça que ça sert à rien de faire mon petit speech ?? Bon d' accord j' avoue que c' est nimporte quoi et que je devrais vite revenir à un post normal ... Comment ça je pourrai faire comme tout le monde ?? Je suis original c' est tout !! J' ai pas le droit ??? C' est bon, pas la peine d' être méchant j' ai compris je vais faire un post normal. Bon alors cher petit membre, ne prenez pas en compte ce que je viens de dire plus haut et commençons un post norma, ou putôt presque normal...

[HJ: Désolé pour le délire XD]

Ayumi était arrivé il y a quelques temps au parc, bon pas quelques temps, une heure environ. Pourquoi cela ? A cause d' une raison simple: elle ne savait que faire. le temps était si beau qu' elle avait décidé d' aller au parc. c' est vrai qu' il faisait vraiment beau, le ciel était bleu et sans aucun nuage et le soleil brillait sans cesse. Il faisait une chaleur vraiment surprenante. on annonçait un temps des plus froids mais il faisait une chaleur de plombs. On se croirait presque dans un fourneau et pas une seule brise ne pointait son nez. enfin façon de parler puisqu' une brise ne pointe pas son nez car elle n' en a pas !!! Pour ceux qui ,vraiment, sont des débiles mentaux, une brise est un petit vent et Ayumi aime particulièrement quand l fait chaud mais qu' une douce brise souffle pour la raffraîchir. Mais manque de bol, il n' y avait que cette chaleur torride !!!! Et en prime, personne ne pointait le bout de son nez au parc, il était désert !!

Bon après ce petit discours sur le temps passons à l' essentiel !! mais où est l' essentiel ??? Ah voilà !! Je l'ai trouvé ! L' essentiel de ce texte est en faite Ayumi Minto, un ange comme certains disent enfin un ange au coeur déchiré et brisé. Aujourd' hui pourtant, elle se sentait très bien. Enfin plutôt, elle ne savait pas vraiment ce qu' elle ressentait. Elle hésité entre deux sentiments: la tranquilité ou l' ennuie . Elle était allongé au ras du sol, sur l' herbe verte. Les jambres parallèles, un bras sous sa tête et l' autre en perpendiculaite par rapport à son épaule . OUUU, que de la géométrie ça positions, moi qui déteste la géométrie !! Bon d' accord j' arrête de vous gonflez avec mes histoire ennuyante !

Ayumi essaya de se lever, elle se souleva à trois centimètres ( j' ai pas compté mais je peux le dire de vue !!XD) du sol puis retomba comme un sac à patate. Elle soupira et dit bassement:

" C' est pas possible, j' ai l' impression d' être un truc tout mou qui peut pas se lever ..."

Quel étrange comparaison !! La belle jeune fille avait de drôle d' expression !! Enfin, c' était exactement ce qu' elle ressentait ... Elle se sentait sans force, comme aspiré par le sol. Mais elle se sentait affreusement bien et tranquille. Elle écoutait le chant de beaux oiseaux sans aucun cris de gens, un chant subblime d' ailleurs. Il ressemblait à la voix de sa mère ou plutôt de sa mère adoptive car elle n' a jamais connu sa mère. Pour la première fois, elle ne se sentit pas attristé par cette pensée. J' ai dit bien plus haut qu' elle sentait aussi de l' ennuie, parce qu' Ayumi n' est pas faite pour ne rien aire pendan tout une heure. Elle voulait se lever, courir et rencontrer des gens mais tous ses membres étaient comme endormies. Elle se sentait un peu empoisonnée par la tranquillité qui l’empêchait de se lever . Elle aimait ça être tranquille mais pas trop longtemps sinon elle finit vite par s’ ennuyer. Mais on ne peut pas dire qu’ elle soit du genre hyperactive, elle est rêveuse et dans la lune. Mais la tranquillité l’ empêce défois ( ce qui est bien étrange !!) de rêver.

Ayumi leva un de ses bras vers le ciel, elle marmonna un truc inodible du genre de « Je m’ ennuie » puis son bras retomba encore comme un sac à patate. Elle pensa alors à une patate et son ventre gargouilla. A midi, elle n’ avait mangé que des nouilles carbonisé et de la viande s’ y dure que son couteau s’ était fendu ( j’ exagère là !!). Elle était arrivé dernière à la cafétéria et n’ avait eu que le reste. La belle demoiselle passa une main sur sa belle robe rouge satin puis elle ferma les yeux. Elle attendit et attendit si bien qu’ elle finit par s’ endormir …

Le rêve d’ Ayumi

Ayumi était entrain de rêver ou plutôt, de cauchemarder. Voilà ce qu’ état son cauchemar …
Ayumi se trouvait dans un endroit sombre, seule la lumière d’ une petite fenêtre éclairait pâlement la pièce. Cette pièce avait tout d’ une prison, elle était minuscule et meublé d’ un lit simple au couverture déchiré. Ayumi était dans un coin recroquevillé sur elle même, elle disait des choses incompréhensibles comme le kao de son cœur … Tout d’ un coup, une lumière apparut et une dame aux visage blanc regarda Ayumi. Cette dame n’ était autreque Meï,sa belle mère par adoption, celle-ci commença à répéter tout bas puis de plus en plus fort : « Ma fille, pourquoi ne meurs-tu pas de chagrin pourquoi n’ as-tu pas encore abandonner l’ idée de vivre ??? Pourquoi ne te suicides-tu pas ? Es-tu folle ma fille ? « et Ayumi répondait : « je ne suis pas votre fille ». Soudainement, Lin sa mère par adoption et sa grand mère maternel apparurent et avec Meï, elle criait : « Meurt !! Meurt !! Pourquoi essayes-tu de vivre ?? Le monde s’ écroule sous tes pas et tu n’ y pourras rien !!! ». Et elle riait d’ un rire méchant, mauvais et diabolique. Ayumi pendant qu’ elle rêvait, bouger comme pour se libérer de cette prison et tout, vraiment tout bas, elle murmurait : « Non, je ne veux pas. Arrêtez … ». Son père adoptif apparut peu après, mais il passa à travers d’ Ayumi comme s’ il l’ ignorait, comme si il la délaissait.
Tout ça semblait montrer ce qu’ elle ressentait, ce kao qui s’ emparait de son cœur et tout le monde qui l’ ignorait ou l’ oubliait.
Dans son cauchemar, Ayumi commençait peu à eu à s’ effacer, elle perdait aussi son visage qui ne devint plus qu’ une surface lisse puis une immense flaque rouge l’ entoura mais avant de savoir la site, elle se reveilla …

Le réveille d’ Ayumi

Quelqu’ un venait de réveiller Ayumi en la secouant. Sûrement une personne inquiète par cette jeune fille allongé dans l’ herbe qui avait tout l’ air d’ être inconsciente même si ele était simplement endormi ou peut-être quelqu’ un remarquant le sommeil agité, trop agité de la belle demoiselle. Ayumi ouvrit péniblement les yeux et regarda la personne qui avait sortit la belle a bois drmant de son sommeil ( Encore une expression bizarre de mon cru !!).

[ Je met pas longtemps à répondre aux sujets, à toi de voir si je suis un bon posteur. ]

Un silence imperturbable régnait dans l'espace, autour de l'étrange Yam les gens se bousculaient pour fuir, ses yeux, le bruit du vent se faisait entendre, perceptiblement. Une brise fraiche avait fait son apparition en même temps que le jeune homme blond aux yeux rouges sang, l'espace d'un instant Yam n'était plus la, il était dans un autre espace infini, sans fond. Non, il le savait, ce n'était pas le meilleur des mondes, si c'était le cas il n'aurait pas à tuer chaque jour pour sauver sa peau, qu'on veuille lui voler ses techniques, ses secrets soit une chose, mais le tuer pour y arriver en était tout une autre.

A cet instant précis il se demandait même s'il n'aurait pas fallu qu'il soit totalement normal, avec une famille existante, ni trop riche, ni trop pauvre. Mais il écarta vite cette pensée inutile de son cerveau, non. On l'avait choisi, Yam, ce n'était pas pour rien s'il souffrait, tuait, changeait, avait-il un rôle important ? Ou bien n'était-ce dont qu'un gamin de dix sept ans tout à fait normal, qui ne pensait qu'à lui ... Cette pensée subtile le fit sourire, ce n'était pas à lui de répondre, même s'il l'avait déja eu depuis longtemps sa réponse. Il se rappelait, deux personnes, deux jeunes filles, seulement elles pour le moment, comparé à toutes ses rencontres étaient semblables à Yam. Au moins deux ... Une petite ressemblance, bien que les yeux de l'autre soit violets, les siens rouges. Elles les avaient depuis la naissance, il les avaient depuis le jour fatidique ou l'on a voulu l'aveugler, le sang l'avait sauvé, ses yeux changèrent de couleur pour toujours.

Bref, ce jour-ci il marchait dans un lieu où beaucoup de monde était présent, il n'était jamais venu avant, c'était un endroit loin, très loin du pensionnat. Les gens l'évitaient, avaient peur de le regarder, un haussement des épaules de Yam s'en suivit, changeant ... il l'était.

Doucement, tout doucement ... Le rêve de Yam se termina, c'était comme dans la réalité. On l'évitait ... Peur de lui. Il était dans sa chambre, c'était rare qu'il y soit, il avait fait un petit somme. Plongeant dans l'inconscience, perdant l'éclat de ses yeux rouges pendant quelques minutes, voir quelques heures ... Il fut surpris, un des rares rêves dont il se rappelait.

Le jeune homme se leva de son lit pour s'adosser contre le mur de la pièce, proche du lit, il fixait le sol. Seul sa main gauche était visible, son autre main, sa main droite était à l'intérieur de sa poche. Il la sortit doucement de celle-ci, de larges bandelettes blanches étaient bien serrés autour de son point droit, sans surprise Yam constata que les bandelettes blanches devenaient chacune à leur tour rouges, sang. Du sang perla, s'échappa des bandelettes et de son poing, il haussa des épaules, le sang ne cessait de s'écrouler sur le sol, un rond rouge, large, puis un deuxième puis enfin une croix.

Lorsque sa main s'arrêta de saigner, de perler de sang, les bandelettes étaient totalement rouges, dans quelques jours et sa main serait comme neuf, il récupérait vite. Il s'était fait cela en s'entrainant contre un chêne, une série de trois milles coup de poings environ ... L'écorce écorchait à chaque coup ou voir presque sa peau, la faisant saigner, à la fin l'arbre avait un gros trou en son centre, deviner qui en était l'auteur ?

" - La puissance coute souvent trop cher. "

Bredouilla-t-il pour lui même, il savait qu'il était intriguant, mais il faisait également peur, il était tellement intriguant que croire qu'on le tuerait pouvait rendre plus fort celui qui l'avait éliminer, heureusement, ce n'était toujours pas arrivé. Personne n'avait réussi, pour le moment du moins. Il marcha alors en direction de la sortie, la sortie de sa chambre, il ferma celle-ci à clé, pas de danger, quelques kunaï suffirait, il laisser ses trois sabres bien caché ...

Il sortit alors du pensionnat, marchant les mains dans les poches, longtemps ... Tellement longtemps que la nuit se mit à tomber, la lune était devenue visible, c'était une soirée de pleine lune, le ciel était devenu étoilé. Alors, Yam murmura une nouvelle fois, pour lui même :

" - Lorsque la lune est présente, le sang est à son paroxysme. "

Il s'arrêta alors devant le parc, puis il se plongea à l'intérieur, personne ... La soirée avait rafraichi le paysage, autrefois torride, une brise fraiche était arrivée tout comme Yam, au même moment. Enfin, il vit un vieux réveillée une jeune femme évanouie, surement une pensionnaire. Celle-ci n'eut le temps de ne rien dire qu'il était parti, le vieux. Yam resta accoudé contre un arbre, tout proche de l'inconnue, il la fixait dans les yeux, ses yeux rouges sang, dans les siens. Il sortit alors sa main saignante de sa poche, les bandelettes étaient rouges, tout comme ses yeux. Rouges sang.

[ Je peux le dire : tu es un bon posteur !! J’ ai pris quelques libertés dans mon texte alors j’ espère que ça ne te dérange pas !!]

Ayumi regardait le jeune homme et le jeune homme la regardait, ils se regardaient donc tous les deux (c’ est évident !) dans les yeux. Pour Ayumi, c’ était étrange de regarder quelqu’ un dans les yeux, à l’ habitude, son regard était fuillant. Vague et se promenant partout sans jamais trouvé un point fixe, elle avait un regard qui partait en voyage à chaque promenade, ne se laissant jamais lasser d’ un paysage que certains pourraient qualifié de quelconque. Mais les yeux du jeune homme était bien plus interressant que ce paysage de nuit éclairé par un faible réverbère. Ses yeux étaient d’ une couleur que jamais Ayumi n’ avait vu : couleur rouge sang. Ayumi ne pensa pas au sang en regardant ces yeux, car le rouge est une couleur magnifique, on dit qu’ elle représente la passion, l’ amour et sûrement d’ autre truc dans ce genre. Ayumi avait même lu quelque part que le rouge était la première couleur que les bébés voyaient. Elle n’ avait donc aucune phobie vis à vis du sang mais pourtant… elle aurait pu dévellopper cette phobie.

Elle se souvenait de ces soirs où Lin, sa mère par adoption, était envelloppé dans cette maladie qui la faisait souffrir et … cracher du sang. Partout, sur les draps de son lit et même sur les meubles, de toutes petites tâches et d’ autres beaucoup, beaucoup plus grosses ornaient chaque recoin de la pièce où Lin se couchait. Elle ne bugeait plus beaucoup sauf pour se nourrir et ne se lavait qu’ une fois par semaine.

Heureusement, on n’ avait interdit l’ entrée à la chambre de Lin à Ayumi mais le soir où elle est morte, Ayumi s’ est glissé discrètement pour voir sa mère par adoption. Elle se tenait près d’ elle quand tout d’ un coup, celle-ci cracha une flaque, une immense flaque de sang par terre. Mais, étrangement, elle souriait et disait tout bas, comme un murmure : « Mon ange, je t’ aime … ».

Ayumi frissonna à cette pensée, elle n’aimait pas repenser à son passé et encore moins quand il s’ agissait de sa « famille ». Ce mot « famille » n’ était pas vraiment le bon mot puisqu’ Ayumi ne connaissait que sa grand-mère, mère de sa mère, qui était morte quand la demoiselle était petite. La demoiselle chassa ses pensée de sa tête et sourit au jeune homme de son sourire gaie et pur .

« J’ adore la couleur de vos yeux. Le rouge est une couleur fabuleuse… »

Elle se mordit les lèvres, peut-être avait-elle fait une gaffe ? Elle ne savait pas. Les yeux du jeune homme était peut-être pour lui un souvenir douloureux, ce n’ était pas vraiment normale et plus Ayumi y pensait, plus elle se disait qu’ il avait dut subir un accident et que ce souvenir ne devait peut-être pas être une joie totale. Ayumi se préparait à ce qu’ il lui lance une réplique méchante mais il ne dit rien.

Le jeune homme sortit sa main d’ une de ses poches, une main protégé d’ une épaisse couche de bandelette blanche qui pourtant, n’ était plus si blanche que ça mais bel et bien rouge. Ayumi regardant la blessure eut une réaction soudaine, elle se leva et s’ approcha du jeune homme.

« Ce n’ est pas bien de garder une bandelette rempli de sang, elle risque de s’ infecter et entraînera des complications. Il vaut mieux la changer et autant le faire tout de suite, j’ ai le nécessaire. »

Quel drôle de réaction !! Peut-être que le jeune homme serait choqué de voir que cette personne tout à fait inconnue était prête à lui refaire son pansement mais Ayumi s’ en fichait. Elle agissait par bonté d’ âme et peut-être aussi parce qu’ elle avait pensé à sa mère et … à tous ce sang. Elle ne supportait pas de voir les gens souffrir et même s’il n’ ont pas vraiment l’air de souffrir, elle se devait de les aider.

Elle ouvrit son sac à bandoulière marron, celui avec le dessin de deux roses, une blanche et une noire. Elle en sortit une bouteille mini de désinfectant et un rouleau de bande à pansement. Le jeune homme se laissa faire. Ouf !! Car sinon Ayumi aurait dut utilisé la force !!XD Elle enleva délicatement le pansement usagé du jeune homme et désinfecta la plaie. Elle ne posa aucune questions sur la cause de cette blessure qui avait l’air assez profonde. Se mêler de la vie privée des gens n’ étaient sûrement pas une de ses habitudes. Ayumi entoura délicatement la main du blessé de la bandelette épaisse et attacha tout solidement de manière à ce qu’ elle ne tombe pas. Elle avait de l’ expérience en ce qui concerne le confectionnement de pansement car sa grand-mère n’ aimait pas s’ en occupait et disai à sa petite fille de se débrouiller toute seule.
Enfin fini, Ayumi recula d’ un pas en arrière. Elle sourit légèrement gêné.

« Je suis désolé si je vous embête mais je ne peux pas vous laisser filer avec un pansement qui risque l’ infection. Je suis comme ça depuis la mort de ma mère par adoption . »

Elle ne précisa pas pourquoi elle était comme cela depuis la mort de sa mère. Elle se contenta de sourire au jeune homme et se présenta.

" Je suis désolé de ne pas m' être présenté avant. Je m'appelle Ayumi Minto mais on m'appelle plutôt Ayu et vous ?"

[ Ca me dérange pas. Merci du compliment, mais je peut facilement te le retourner. ] =)

Le jeune homme regardait d'un air vague la jeune fille, leurs yeux se fixaient, inlassablement. Et pourtant ... Yam était ailleurs, et ici à la fois, tel une personne fortement lunatique, il ne pensait à rien, et à tout à la fois, c'était une étrange impression, un sentiment de neutralité, de vide ... Il fut séparé du silence pesant dans le parc, par la jeune inconnue, qui avait prise la parole, sa voix était claire et douce, il baissa la tête écoutant ce qu'elle disait, elle semblait s'adressait à lui. Disant qu'elle aimait bien la couleur de ses yeux, et que cette lueur était d'un rouge fabuleux. Yam ne répondit rien, il aurait bien voulu la remercier mais un silence planant restait en lui. Il fut surpris de la voir s'approcher de lui, lui prendre la main et la panser, la soigner, elle ne devait pas ... mais d'un autre côté, ça n'avait plus d'importance, s'il était blessé, c'était pour la seule et unique raison qu'il s'était entrainé, et bien les possibilités de soigner sa blessure, il ne ressentait même pas la douleur. A quoi bon l'empêcher de le faire ... A la fin elle s'excusa alors qu'elle l'avait aider, malgré qu'il n'en ai pas besoin, puis elle se présenta. Ayumi était donc son nom, il se rappela alors qu'elle lui avait parler trois à quatre fois, et que lui, n'avait rien répondu, silence muet, silence troublant. D'un geste, il ressortit son autre main de sa poche, sa main gauche, celle-ci parfaitement normal, non blessé, il l'approcha du visage de la dîtes Ayumi, laissant ses doigts frôlaient cette peau douce, cette peau d'ange. Il releva les yeux vers elle, pour simplement répondre de son nom :

" - Appelles moi Yam, content de te connaître Ayu. "

Ses doigts s'échappèrent doucement de sa peau douce pour aller vers ses cheveux blonds [/ Ses cheveux à elle]. Il rangea son autre main dans sa poche, à présent panser, il soupira doucement, tête vers le ciel, il enleva sa main gauche du visage et des cheveux blonds d'Ayumi. Des gestes instinctifs, sans raisons, il s'enleva de sa position-ci, c'est-à-dire debout, dos contre l'arbre, pour s'allonger sur l'herbe verte, tête faisant face au ciel noir et à Ayumi, la nuit vint à complètement tomber ... Il reprit alors une nouvelle fois la parole :

" - Merci pour le pansement, ce n'était pas la peine ... mais ça ne m'a pas non plus gêné. "

Il finit par réfléchir, encore dans son silence, puis d'une voix songeuse il dis :

" - Alors, toi aussi tu as perdue des êtres chers ... combien ? "

Il plongea alors sa main gauche derrière son cou, face à l'herbe, pour en saisir un kunaï, arme blanche d'origine japonaise, arme de lancer également, muni d'un anneau où l'on pouvait y inséré une corde en cas de besoin, oui ... Yam n'était autre qu'un combattant expérimenté, seulement ... se pouvait-il vraiment que ça en vaille la peine ? Il lança d'un geste précis et net vers le centre du tronc d'arme, la lame de l'arme blanche se planta profondément dans l'écorce, faisant coulée de la sève. Yam reporta alors son attention vers la jeune femme, puis se releva pour lui faire face.

[Merci !!! J' espère que tu as remarqué que j' étais en vacances de trois semaines et que je suis revenue Lundi, c' est pour ça que ça a mi du temps à répondre]

Le jeune homme se présenta. Son nom, Yam, évoqua à ayumi un vague souvenir. Un souvenir remontant à l’ époque si lontaine où sa grand-mère était en vie et où ses journées étaient paisible et heureuses. Sa grand-mère enseignait le japonais à Ayumi en plus de sa langue d’ origine, le Français, elle avait aussi essayer de lui apprendre l’ anglais. Un matin au petit déjeuner, sa grand-mère s’ entaitait à vouloir lui apprendre les mets du petit déjeuner en Anglais. Arrivée à la confiture, elle eut un trou de mémoire et confonda la première lettre, au lieu de dire « Jam », elle dit « Yam ». Elle essaya de faire comprendre à Ayumi son erreur mais la petite était encore plus têtue que sa grand-mère répétait sans cessse Yam et elle lui fit abandonner l’ idée de lui apprendre l’ anglais car elle mélanger sans cesse les mots.
Ce vague souvenir fit sourire légèrement Ayumi, elle n’ avait que si peu de souvenir de sa grand-mère. Elle l’ avait quitté si tôt…

Ayumi revint à la réalité. Les doigts de Yam effleurait ses longs cheveux blonds, elle se mit à rougir trèèèèèèèèèèèèèès légèrement. Elle rougissait souvent pour des gestes comme cela, qui ressemblait aux gestes d’ une mère face à son enfant. Plutôt habitué aux gestes violents de sa bellle-mère ( par adoption) et aux gestes d’ ignorance de son père ( par adoption encore).

Le jeune homme blond retira ses doigs fins de la chevelure dorée d’ Ayumi, il poussa un long soupir. S’ allongeant sur l’ herbe folle, il regarda la belle demoiselle. Ayumi était curieuse sans aucune raison, cette blessure avait éveillé sa curiosité. Pour se faire ça tout seul, il faudrait vraiment s’ entraînait contre un forcenné et être masochiste. A cette pensée, Ayumi sourit, comme par instinct, elle savait que ce n’ était sûrement pas sa dernière idée qui était la cause de la blessure. Yam n’ avait pas l’ air d’ être comme cela mais bon, les apparences sont parfois trompeuses. Aux yeux de quelqu’ un, une personne peut-être un ange et aux yeux d’ autres, ne diablesse. Cette dernière phrase que je viens d’ énnoncer ne concerne pas Ayumi. Oh non ! Elle est ce qu’ on surnomme « un ange à sa façon » mais cette phrase concernait meï [ la belle-mère par adoption]. Comment pouvait-elle arriver à tromper son mari de la sorte ? on lui faisant croire qu’ elle est un ange et que sa propre fille et le diable personnifié ? Meî avait un cerveau diabolique mais on doit bien l’ avoué, elle n’ était vraiment pas sotte. Elle est même doué d’ une grande intelligence qui lui sert à manipuler les gens, c’ est une manipulatrice confirmé.

Là , on s’ égare du sujet. Dans la tête d’ Ayumi, la blessure de Yam était sûrement du à une bagarre sauf que bizarrement, il n’ avait été bléssé que là. La jeune fille décida de chasser cette curiosité de sa petite caboche, après tout, ça ne la regardait pas !! La voix de yam sortit ayumi de ses pensées. Il la remerciait pour le pansement mais lui assura que ce n’ était pas la peine.

* mais si c’ était la peine !! Une blessure doit être bien soigné sinon on risque l’ infection !!*

Les deux jeunes gens se mettaient à réfléchir, Ayumi pensait à la blessure de sa mère (par adoption). Peut-être que si les médecins avaient vu plutôt sa maladie, elle serait encore là à cette instant. Alors ayumi ne serait pas au pensionnat, elle serait bien au chaud dans la maison en banlieue de ses chers arents par adoption et Meï n’ aurait jamais fait irruption pour chambouler sa vie qui était avant bien heureuse. D’ une voix songeuse, yam reprit la parole : " Alors, toi aussi tu as perdue des êtres chers ... combien ? ". Ayumi laissa paraître sa surprise à cette question, elle sourit à Yam mais cette question l’ avait un peu chamboulée.

« Tu poses des questions super bizarre toi !!! »

Ayumi s’ assit à côté de Yam. Les jambes croisés, elle regarda le ciel. Combien avait-elle perdu d’ êtres chers ? trop à son goût. Certains étaient morts et d’ autres semblaient l’ avoir abandonner. Ellle se sentait perdu, cette question ranimait bien trop de choses qu’ elle voulait faire taire à jamais. Elle voulait faire taire ces choses qui lui faisait tant de mal et dont elle ne pouvait que cacher par son côté angélique. Elle avait déjà perdu sa grand-mère, le seul membre de sa famille qu’ elle connaissait. Ensuite venait le plus terrible, la perte de sa mère par adoption. Cette femme si chaleureuse qui l’ aimait comme sa propre fille. Sa mort fut la plus terrible car la grand-mère d’ Ayumi est morte sans aucune douleur alors que Lin est morte baigné dans son propre sang… ayumi frissonna, elle ne le savait pas mais à ce moment, elle avait un regard triste. Ce qui fut terrible aussi fut cette abandon de son père par adoption, il l’ avait complètement oublié comme si elle était … Morte. Ayui se reprit, elle souria à Yam et finit par répondre à sa question.

« J’ en ai perdu trop à mon goût. Ma grand-mère, la seul de ma famille que je connaissait est morte en silence, sans aucune douleur sur le rocking chair de sa maison. Ma belle-mère adoptive a elle, était atteinte d’ une maladie extrêmement rare qui lui faisait perdre tous son sang. Elle en mourra. Le troisième, mon père adoptif, est vivant mais semble m’ avoir oublié, comme si j’ étais morte. »

Ayumi soupira . elle regarda Yam.

« Et toi ? Tu as perdu des êtres chers ? Si je peux me permettre de posé cette question. »

» Bois...