Les collines... Pourtant tranquille

[HJ: quelqu'un qui joue bien de préférence ^^ (minimum 20lignes) merci^^]

" Il était exactement 22h38, la nuit était claire, dégagée. aucun nuage ne troublait l'incroyable beauté de ce ciel étoilé. Le paysage dessinait des courbes magnifiques, les collines se suivaient régulièrement. En regardant bien, on pouvait croire que celle ci ressemblait à de gros rouleaux d'eau salée tellement la nuit était noire et sombre... La lune n'était pas présente cette nuit là et ce n'était que le commencement...
Seule la forêt se distinguait nettement du reste, elle dessinait un immense nuage noir qui longeait tout l'horizon. Un nuage des plus sombres que l'on aimerait tous éviter... Mai en déplaçant mon regard de quelques centimètres sur la gauche on voyait... attendez! Revenons où nous étions! Là bas... Qu'est ce que c'est? Mais c'est... Une jeune fille? Qu'est ce qu'elle fait ici à une pareille? Nous allons vite le savoir... observons là!"

Voilà ce que notre chère Ninon écrivit ce soir là. Les derniers mots qu'elle eut le temps de finir de transcrire sur son carnet. Le reste de celui et son fusain étaient restés là, au milieu de ses collines sombres et lugubres. En effet, il était environs 22h43 quand un bruit dans les fourrés ce fit entendre... C'est alors qu'elle posa ses affaires laissant son vieux sac à terre derrière elle. Ecoutant attentivement les sons alentours, la jeune fille ne perçut plus rien... Elle scruta peu à peu les alentours et, à part le sifflement du vent dans les arbres un peu plus loin, la demoiselle ne vit et n'entendit rien...
Le temps passa un peu, un temps de stress lui paressant durer une éternité. Quand, tout à coup, ce bruit étrange revint. Il était vraiment effrayant...! Des craquements sur le sol, rapide, avec une sorte d'écho plus lent en bruit de fond puis... plus rien... Ninon était effrayée, elle regardait partout autour d'elle... C'est alors qu'elle s'accroupit, retira lentement sa botte droite et en sortie quelque chose de long, lumineux malgré le peu de lumière régnant en ce lieux... La jeune fille ressentait des sueurs froides, sa salive se faisait comme plus difficile à avaler, une boule se retrouva coincée dans son ventre... elle avait très peur... sa visibilité lui empêchant de détecter le moindre geste, seule son ouïe, un peu mieux développer que la normale, la guidait...
Puis, les craquements revinrent, de plus en plus proche, accompagnés de longs grognements et d'une lueur scintillante comme deux yeux tapissés dans la noir... Ses grognements ressemblant à des rugissements s'arrêtèrent net quand un petit bruit sourd retentit... Encore quelque chose d'inconnus aux oreilles de la jeune demoiselle, ce bruit sourd se fit remplacer ensuite par de nouveau craquement mais ceux là beaucoup plus lent qui, quant à eux, ressemblait plus à des pas d'êtres humains...
Et c'est arrivée... Les deux bruits prirent la forme d'un chien complètement libre des ses faits et geste, sans aucune protections et d'un homme qui devait vraisemblablement être son maitre... L'animal, de taille moyenne, les crocs sortis et les oreilles en arrières avait un air plus que menaçant... Son poil noir était hérissé sur son dos et ses yeux luisaient comme ceux d'un diable. L'animal fixait la jeune fille et sentant sa peur, celui ci se jeta sur elle et la mordit fortement au mollet et au poignet droits... L'homme l'arrêta alors avec une voix grave et autoritaire. Il se dirigea ensuite vers la jeune fille.

Celui ci ne lui était pas inconnus... Bien au contraire, Ninon l'aurait reconnu parmi des milliers d'autres hommes. Il s'avança d'un pas lent et sur vers celle ci et braqua une arme sous le menton de la demoiselle apeurée. Elle ne pouvait en aucun cas bouger, du moins, il ne valait mieux pas qu'elle essaie. Elle avait laché son couteau quand le chien lui avait bondit dessus et se retrouva là, assise par terre, les coudes au sol en ne pouvant rien faire...
L'homme s'accroupit devant elle. Malgré l'intense peur que celle ci éprouvait, la jeune fille lui jetait un regard empli de haine et d'une envie de tuer inhumaine mais, ne pouvant pas bouger et ayant quelque peu changé, Ninon se laissa faire. Le bandit s'approcha de son visage et chuchota doucement:

-" Ca faisait longtemps Ninon hein?... Mais ne t'en fait pas, c'est bien la dernière fois que tu me verras!"

Il l'embrassa avec une grande perversité dans ses gestes et lui arracha quelque chose aux niveau du cou lui laissant une grande griffure sur celui ci... Puis il repartit en courant... La jeune fille resta là, seule, la nuit toujours aussi claire. Ses blessures bien qu'apparemment assez superficielle la faisait souffrir, son coeur battait sans arrêt avant de ralentir... La jeune fille s'allongea inconsciente au milieu des herbes hautes. Elle n'entendait rien... S'étant évanouie... Malgré cela, avant de tomber inerte, elle eut le temps de crier d'une vois faible...

-"Mon co... Venez m'aid...er...!"

C'était bien la première fois que Ninon avait besoin d'aide à ce point même si... elle n'en voulait pas vraiment par orgueil...

Dans l'obscuriter un jeune garçon marchait dans l'ombre des arbres, il avait un pas lent mais sur, il semblait très bien voir ce qui l'entourait. Ce garçon qu'on ne voyait pas dans la nuit avait entendut un crie, mais ce n'est pas pour autant qu'il se pressa. Il sentait dans son coeur la haine, elle était proche de lui mais où exactement, il ne pouvait le dire en détail. Le jeune homme marchait la tête baisser, il avancait tout droit sans se soucier de la destination. Soudain d'un bosquet la haine surgit, c'était un être humain banal, comme on pouvait en voir des milliers sur cette terre mais quelque chose le différencier de tout les autres, sont âmes était obscure et assombrie. Le voyageur se trouvait devant l'homme et son chien, et ni l'un ni l'autre était décider à le laisser passer, mais cela n'arrêta pas l'avancer du garçon, c'est alors que le bandit prit la parole:
Bandit: Tu as entendu ce crie ? C'est celui d'une fille, mais je lui est promit qu'elle ne me reverrait plus, donne lui au moins cette chance
??????: Que ta volonter soit faite !
Et d'un simple geste il dégaina son sabre et l'abbatie sur le bandit, celui-ci sans mourrir garderais la marque de la pureter sur son corp infliger par ce katana bénie des dieux. L'arme avait comme aspirer la haine de cet homme, peut être aller t-il changer, seul lui le déciderait mais il était en vie et rien que cela il devait y penser. Le voyageur prit le collier de la main de l'homme comprennant qu'il ne lui appartenait pas, le chien pendant ce temp hésitait encore à attaquer, voyant son maître défait et craignant pour sa vie, il préfèra ne pas bouger. Le garçon continua ainsi sa route vers le crie qu'il avait entendu peu de temp avant cette rencontre, après avoir rengainer son sabre . Il continuait de marcher lentement mais malgrès tout ses pas était tout de même plus rapide que ceux qu'il faisant avant. Il finit par sortir de la forêt enfin pas exactement, il arrivait dans un endroit jonché de colline et à ses pieds, une jeune femme ravissante, il commenca à soignier ses blessures et mits des bandages après les avoir désinfecté. Il retira sa veste, la plia et la posa ensuite sous le tête de la jeune fille. Il ne s'inquiètait pas pour elle, elle respirait et avait un rythme cardiaque normale, il avait comprit qu'elle s'était juste évanouie, il mouilla ensuite un chiffon et le posa sur le front de la jeune femme. Pendant que celle-ci se reposait lui regardait le paysage calmement et sortie un harmonica de sa poche, il commenca à en joué doucement sans trop faire de bruit. Il avait garder le collier dans sa poche pour voir ce que valait cet objet pour la jeune femme, il le comprendrait bien vite selon sa réaction. Il repensait à ce que ces personnes lui avaient dit, tout ce qu'il avait apprit en un mois, c'était un vrai bourrage de crane mais en leur compagnie c'était différent, peut être que c'était juste car ils étaient amis, le bricolage, la cuisine, la magie, le combat et bien d'autre chose.

Le garçon se releva sans dire un mot et s'épousseta, il reprit sa veste, la remit et mit ensuite ses mains dans ses poches. Son caractère était rester calme malgrès les accusations de la jeune femme. Une brisse vint sur les colines faisant siffler les feuilles des arbres dans un chant mélodieux. Le brun finit par lever sa main droite après l'avoir sortie de sa poche, il restait dos de la jeune fille comme pour éviter tout confrontation, son index se tendit et un papillon de nuit alla se poser dessus. Le jeune homme ne bougeait pas et quand l'animal partie, un collier s'accrocha a son majeur et pendait dans le vide. Toujours sans se retourner il demanda d'un ton calme:
C'est le votre, n'est ce pas ?
L'amulette bougeait au grès du vent, le voyageur attendait que sa protéger vienne la chercher et n'était pas vraiment décider à lui lancer. Biensur il n'attendait pas de rémerciment venant d'elle, il avait rapidement évaluer son mépris pour les autres, peut être aimait-elle être seule comme l'autre caractère qui était dans ce garçon. Quoiqu'il en était pour le moment il était là et n'était pas tout de suite prêt a bouger, il comptait en apprendre plus sur cette fille sans même lui poser la moindre question. L'attitude du jeune homme n'était en rien celle d'une personne normal, il ne cherchait pas à être un héros et cela se remarquait grâce a son mutisme, il ne voulait pas non plus que la fille ne sache pas qu'il était puisqu'il était rester, et il n'était pas non plus un voleur car il comptait rendre le bijoux. Que voulait-il vraiment ? Lui même ne le savait pas exactement, et c'était la question qu'il se posait alors que le silence reignait sur cette endroit. Il sentait une certaine hésitation chez la jeune femme mais ne savait pas de quoi il s'agissait vraiment, il finit alors par ajouter:
Je compte pas rester dans cette position indéfiniment alors soit vous le prennez soit je le laisse tomber.
En disant cela la chaine avait un peu descendu et pendant se temp une chouette c'était posser sr son bras. Il regarda l'animal dans les sens et cela pendant trente seconde, aucun des deux ne semblait effrayer et le voyageur ne semblait pas sentir les serre de la bête qui s'enfoncait dans sa peau. Une conversation silencieuse s'établit entre les deux êtres et au bout d'un moment celle-ci partit comme si de rien n'était. L'on pouvait difficilement voir le peu de sang tacher les vêtements blanc.
*Le sang c'est dur à enlever...Ces fringues sont foutue...*