Soirée rythmée par le son!! [PV Leïko]

Zoreck et Leïko quittèrent le dortoir des filles, ainsi que tout le pensionnat en fait pour se diriger vers l'endroit où se déroulerait leur soirée qui s'annonçait déjà géniale. De loin, on pouvait voir les lumières de la boîte de nuit et on pouvait également entre la musique tant elle était forte. Le jeune homme sourit lorsqu'ils furent presque arrivés.

"Bon, que la soirée commence!"

Devant la porte avec les vigils, le jeune homme embrassa sans se soucier du regard des autres, celle qu'il aimait le plus au monde. Ils entrèrent ensuite pour se fondre dans la foule surchauffée.
L'atmosphère était chaude et la musique à fond dans les oreilles. Ceux qui étaient à côté des baffles auraient des problèmes auditifs le lendemain, ça c'est sûr. Zoreck et Leïko se mirent à danser, au milieu de la foule très dense, essayant de ne pas se perdre de vue. Le garçon bougeait avec style tout son corps suivant le rythme de la musique. Il ne quittait pas la fille avec qui il était venu, des yeux, regardant sa silhouette envoutante bouger au gré de la musique.

La jeune femme était vraiment très contente de sortir en boîte ce soir. Cela faisait vraiment un petit bout de temps qu'elle n'y était pas allée... Mais cette fois si elle ne connaissait pas l'endroit, ni les personnes qui s'y trouvaient, heureusement, il y avait Zoreck. LeïKo sourit à son tour alors qu'ils approchaient de l'Acapoulco, elle avait vraiment envie de s'éclater ce soir ! Maintenant devant la porte, elle sourit lorsqu'elle vit Zoreck approcher son visage du sien pour l'embrasser, puis ils entrèrent enfin.. L'atmosphère surchauffée qui se dégageait de l'endroit et la musique à fond donnait une terrible envie de danser à LeïKo qui se pencha alors vers Zoreck pour lui dire ou plutôt pour lui crier :

-Je sens que ça va être sympa ce soir !

Ils avancèrent alors un moment dans la foule déchaînée ^^ avant de se mettre à danser eux aussi essayant de ne pas trop se perdre de vue à cause des danseurs... La jeune femme souriait à Zoreck, séparés de quelques mètres lorsqu'elle sentit tout a coup des mains se poser sur sa taille, elle sursauta tout en se retournant. Un autre homme lui souriait tout en dansant, il lui demanda :

-Hey ! Salut... On s'est pas déjà vu quelque part ?

LeïKo arqua un sourcil puis fit mine de réfléchir avant de lui lancer simplement d'un ton ton enjoué :

-Attends-voir... Mhh... Non !

*Un boulet comme toi je m'en serais souvenu !...*

Elle posa ses mains sur celles du drageur qui étaient encore sur sa taille avant de les enlever. Puis elle se retourna, cherchant Zoreck du regard, elle avança d'un pas lorsqu'elle sentit que l'inconnu la retenait par le poignet, elle essaya d'avancer encore un peu mais la prise de l'homme se resserait. Elle se retourna brusquement tout en lui lançant :

-Hey mais qu'est-ce que vous voulez à la fin ?!

L'homme l'attira d'un coup contre lui, lui tenant toujours son poignet qui commençait à lui faire mal, il lui dit doucement :

-J'sais pas... Faut voir...

Son regard lui donnait envie de vomir, le poignet de LeïKo essayait en vain de se dégager de l'emprise du drageur. Et puis elle ne voyait plus Zoreck avec tout ce monde...

[Hey bha... J'suis inspirée :p]

[Oui très ^^ t'as eu des épreuves ?]

Zoreck continua à danser et peu à peu, s'éloigna de Leïko sans s'en apercevoir. Enfin, il finit bien par le voir mais il était trop tard et dans la foule, il serait impossible de la trouver. Le jeune homme continua quand même de danser quelques instants puis se dirigea vers le bar ou il commanda un verre de bière qu'il commença immédiatement à boire dès qu'elle arriva. Son regard cherchait sa petite-amie dans la foule, mais ne la voyait nullepart.

*Tiens pratique, je viens pour passer la soirée avec elle et je la perds de vue...*

Des filles vinrent rejoindre le jeune homme au bar sans qu'il y fasse attention. L'une d'elle qui paraissait la moins timide du groupe lança bien clairement à ses amis:

"Y a des beaux gosses dans le coin, on se plait bien ici!"

Aussitôt que cela fut dit, Zoreck se leva pour quitter le bar. Il n'avait pas l'intention de leur parler, oh que non. Le jeune homme se fondit à nouveau dans la foule. Soudain, un peu plus loin, il vit deux personnes à l'écart. L'une d'elle semblait tirer l'autre vers la sortie alors qu'elle se débâtait.

*Mince, toujours des abrutis... Ils servent à quoi les videurs? Ah, oui, de mèche avec sans doute!*

Le jeune homme se dégagea le plus vite de la foule pour se diriger vers les deux qui se battaient presque.

Alors que l'homme la tenait toujours contre lui, il décida alors de sortir de la boîte... Tirant LeïKo par le poignet, cette grosse brute gardait un sourire étrange sur les lèvres. Un peu à l'écart, aucun des danseurs ne faisaient attention à eux, surement trop absorbée par la musique et par eux-même.. LeïKo avait envie de crier mais elle savait pertinemment que cela ne servirait srtictement à rien...

-Lâchez-moi ! Mais lâchez-moi je vous dis !!..

L'homme sans un mot l'attira vers la sortie jusque dans la rue. Elle avait beau gigoter dans tous les sens, il continuait de l'attirer dans la rue, il fit quelques pas avant de plaquer la jeune femme contre un mur, tenant maintenant les deux poignets de la jeune femme sur le haut de sa tête. Un sourire pervers ornait ses lèvres qu'elle vit bientôt se rapprocher des siennes... Comme par reflèxe, LeïKo mordit de toutes ses forces la lèvres inférieur de l'abruti. Il éloigna d'un coup son visage, portant sa main à sa bouche de laquelle coulait un peu de sang, il sourit maintenant à pleine dents sans la lâcher tout en lui disant d'un ton répugnant :

-Tu as tord ma belle, la resistance est un très bon exitant...

Ses yeux noirs la transperçait. Elle avait beau lui jetter un regard dégouter et méprisant, la brute n'avait pas l'air de vouloir s'arrêter là... La respiration de LeïKo s'accéléra, paniquant en imaginant ne serai-ce qu'une seconde la suite des évenements... Zoreck... Que faisait-il en ce moment ? Elle ferma les yeux avant de les réouvrir pour lui dire d'un ton froid et plus que méprisant :

-Sale brute... Lâchez-moi... Vous n'êtes qu'un sale pervers !

Le pervers rit puis il l'embrassant dans le cou tout en s'approchant dangereusement de la poitrine de LeïKo qui continuait tout de même de se débattre. Il se mit alors à tenir ses poignets d'une seule main, laissant l'autre parcourir son corps. La sensation était terrible pour LeïKo qui ne pouvait simplement le regarder faire, il devait être agé d'une vingtaine d'années ou plus...

Zoreck poussait des épaules la foule dans, étant agassé de ne pouvoir intervenir. Il se pressa d'autant plus lorsqu'il reconnut la robe de Leïko, donnant presque des coups de poing à ceux qui lui coupaient le passage. Son coeur battait vite. Il s'inquiétait beaucoup pour la fille.

Après avoir mis KO en ligne droite, toutes les personnes qui n'avaient pas voulu s'écarter, le jeune homme courrut précipitamment vers la sortie. Leïko était aux mains du pervers et il avait déjà commencé à la toucher. C'était répugnant à voir. Le voir embrasser celle qu'il aimait dans le cou ainsi, lui était insupportable. Zoreck sauta sur l'homme qui devait être un peu plus grand que lui sauf que c'était une de ces sortes de gorille bien baraqué.

Le jeune homme, animé par le courage de l'amour, avait passé ses bras autour du cou gras, tirant dessus avec force pour le faire reculer et l'étrangler en même temps. D'une main puissante, l'homme saisit Zoreck par la tête et le balança sur la route. Heureusement que les voitures avaient cessé de circuler.

La lèvre coupée, un bleu énorme au niveau de la joue, Zoreck se releva en se tenant le bras gauche sur lequel il était tombé.

"Toi... Tu ne perds rien pour attendre!"

Le jeune homme revint à la charge, plongeant tout d'abord vers le sol pour se receptionner avec ses mains et ainsi envoyer un coup de pied plus que violent dans la machoire du type. Zoreck sentit la machoire craquer mais également sa cheville en prendre un coup. Le jeune homme ne put se receptionner correctement sur ses pieds et tomba à nouveau par terre. Il s'inquietait grandement pour Leïko et lui demanda précipitamment, restant à terre:

"Leïko! Est-ce que ça va?"

LeïKo ferma les yeux, retenant une larme de couler sur sa joue alors que les lèvres de l'homme et une de ses mains arrivaient à sa poitrine... Perdant tout espoir de voir quelqu'un arriver maintenant, elle ne bougeait presque plus, elle avait perdu la force et puis elle savait que cela ne servirait à rien et qu'il arriverait à avoir ce qu'il voulait d'une manière ou d'une autre... Elle réouvrit brusquement les yeux alors que le pervers l'avait apprement lâché, il avait d'ailleurs poussé une sorte de cri rauque de surprise. Le coeur de la jeune femme s'affolla lorsqu'elle reconnut Zoreck qui l'avait tiré brusquement par le cou pour l'éloigné.

-Zoreck !!..

Elle avait crié, sa voix était légèrement cassée, les yeux brouillés par les larmes qui coulaient maintenant sur ses joues. Elle se sentait impuissante sous la scène qui se déroulait sous ses yeux, elle vit Zoreck se faire envoyer littéralement sur la route par la brute. LeïKo tremblait ne pouvant esquisser le moindre geste.. Cette situation lui rappelait celle passée il y avait 7 ans de cela, cette chose qui avait totalement changé le cours de sa vie et qui l'avait détruite entièrement... Le jeune homme se releva une nouvelle fois, envoyant un violent coup de pied à la figure du pervers qui se retrouva à son tour par terre. LeïKo courrut alors vers Zoreck, s'agenouillant précipitemment vers lui, elle dit une nouvelle fois :

-Zoreck ! Zoreck je...

Trop tard, l'homme avait dût se relever, sa machoire était défoncée, attrappant brusquement LeïKo par le bras pour la relever il lui dit alors :

-Ma belle, laisse-moi m'occuper de lui, tu veux ?..

Il envoya alors violemment la jeune femme contre le mur, sa respiration fut brusquement coupée par le choc dans son dos, elle glissa le long de la parois, se retrouvant assise, elle se tenait le ventre, essayant de reprendre son souffle.. Elle paniquait terriblement, elle ne parvenait plus à respirer, ni à voir quoi que ce soit, les yeux remplis de larmes...

Zoreck hurla lorsque la brute envoya sa bien-aimée contre le mur. Non, il n'avait pas le droit de la toucher ni de lui faire du mal ainsi, ce n'était pas possible! Le jeune homme tenta de se relever mais le gorille l'avait soulevé par le col et le regardait en rigolant puis prépara son poing en arrière. Le garçon n'arrivait pas à se défaire des doigts de l'homme, restant impuissant face à la situation. Bloquer ce poing aurait rimé à membre cassé mais ne pas le bloquer aurait également rimé à membre cassé. Finalement, il opta pour "membre cassé avec honneur" poussa de ses deux pieds sur l'estomac de l'homme. Ses pieds s'enfoncèrent dans du gras bien crade mais il le lacha tout de même, laissant le corps de l'adolescent tomber à nouveau par terre.

*Mince, j'ai trop mal...*

Par un effort de volonté, sans trop savoir comment il faisait d'ailleurs, Zoreck se remit sur pied, s'appuyant sur le pied non-blessé. Il s'approcha de la brute qui le regardait pitoyable, avec un grand sourire, mais même l'être le plus pitoyable, le plus insignifiant, pouvait faire du mal lorsqu'il était animé d'une force qui dépassait l'entendement naturel.

"Tu vas regretter... Tout ce que tu as fait à Leïko... Maintenant!"

Le jeune homme sauta vers l'homme abattant son poing sur son visage graisse, lui brisant le nez par la même occasion. Le gorille se recula les mains sur le nez alors que Zoreck n'avait pas encore fini. Des coups de pieds volèrent avec violence sur tout le corps de l'agresseur qui ne tenant plus debout, s'écroula lourdement. Il était juste sonné et reviendrait vite à lui. Le garçon se traîna avec la force de ses bras jusqu'à l'endroit où était Leïko. Il lui attrapa la main, restant à terre, le visage contre le sol.

"Pardon de ne pas avoir été là lorsque tu avais besoin de moi... Tu vas bien?"

LeïKo était toujours appuyée contre le mur, assise sur le béton, sa tête tournait, elle suffoquait, reprenant avec difficulté son souffle. La jeune femme tremblait comme une feuille, de peur surtout, et de froid. Elle aurait voulu faire quelque chose, pouvoir se relever... Mais qu'aurait-elle fait une fois debout ? Face à cette brute elle n'était rien, il aurait pu la tuer entre ses doigts comme il en aurait eut envie. Le rire de l'homme était horrible, elle ne voyait pratiquement rien, mais elle entendait. Les craquements, les cris, les coups... Jusqu'à ce qu'elle entende la voix de Zoreck après quelques secondes qui lui parrurent une éternité.

-Zoreck ...

C'était surement la seule chose qu'elle arrivait à dire.. Pourquoi s'excusait-il ? Ce n'était pas de sa faute si cette brute avait décider de l'embarquer jusque dans la rue.. Elle sentait que Zoreck avait pris sa main glacée, sa vue redevenait un peu plus nette, elle pu alors discerner la silhouette du jeune homme à terre, sans pour autant voir son visage qui avait l'air en très mauvais état. Une nouvelle larme coula sur sa joue, pétrifiée, elle se sentait coupable de ce qui venait de se passer, elle murmura de nouveau son prénom en un souffle. Après quelques instants, sa tête ne tournait pratiquement plus, mais elle respirait encore assez mal, elle lui dit alors :

-Pardon... je... ... Merci..

Elle ne savait pas vraiment quoi lui dire en réalité.. Comment aurait-elle pu imaginée un instant que la soirée allait se passer comme cela ? Et le pervers ? Allait-il se remettre sur pieds d'un moment à l'autre ? LeïKo vit alors le visage de Zoreck vraiment ammoché, il saignait, sa lèvre était coupée et plusieurs marques dont une énorme ressortait sur son visage. Elle autait presque préférée que l'homme fasse ce dont il envie avec elle plutôt que se soit Zoreck qui en paye les conséquences... La jeune femme essaya alors de se relever, quelque chose lui diasait que rester dans le coin n'était pas vraiment très prudent...

Le jeune homme dût attendre quelques secondes avant de recevoir une réponse de Leïko. Il la regarda en essayant de sourire pour masquer sa douleur et lui fit un clin d'oeil pour la rassurer, comme si il allait formidablement bien.

"Ne t'excuses pas! C'est bien le rôle du prince charmant de protéger sa bien-aimée qu'il aime plus que tout non?"

Il voulut éclater de rire mais fut prit d'une quinte de toux qui s'éternisa légèrement, l'empéchant de reprendre son souffle. Il constata qu'il toussait du sang, mais ne dit rien, essuyant sa bouche de son bras pour paraître un tout petit peu présentable car les bleus sur son visage le changeait de cet image du garçon tout mignon et attirant. Il s'approcha d'avantage de Leïko, se trainant toujours et posa la tête sur sa cuisse, les yeux vers son visage. Elle saignait légèrement de la lèvre.

"Je suis content... Qu'il ne t'ait pas fait de mal. Arrête de pleurer, ce n'est pas comme si j'allais mourrir! Sourit s'il te plaît, donne moi la force de me lever en me souriant..."

Le jeune homme avait terriblement envie d'embrasser sa petite-amie mais il ne pouvait pas bouger de là. Il était allongé par terre, la main sur le ventre et souffrait en silence.

"On... devrait retourner au pensionnat, tu crois pas?"

LeïKo frissonna, comme si elle sentait encore la main de la brute parcourir une nouvelle fois son corps, et ses lèvres.. Rien que d'y penser, cela lui donnait preque envie de vomir. Elle passa une main sur son visage [à elle] puis sur ses lèvres, alors qu'elle remarqua un peu de sang sur ses doigts, elle soupira un instant en fermant les yeux puis elle sourit presque malgrés elle en entendant la premère phrase de Zoreck. S'aidant du mur, elle se releva doucement puis elle se pencha vers le jeune homme, sa robe était débraillée et déchirée au niveau de son épaule quasiment jusqu'à sa poitrine. Dommage, elle l'aimait bien cette robe...

-Aller, viens-là toi..

Elle sourit pour faire plaisir à Zoreck puis elle l'aida à se relever du mieu qu'elle pu.

-Ca va aller ?..

LeïKo essayait de ne pas regarder le pervers encore sonné qui s'était apparmment cogné contre le mur pour être assommé à ce point. Attrappant Zoreck pour l'aider à marcher, elle lui dit doucement d'un ton qui se voilait rassurant :

-Aller, on rentre à la maison...

Vivement qu'ils y arrivent "à la maison"... LeïKo savait que depuis ce jour elle ne verrait plus jamais ni les boîtes de nuit ni Zoreck de la même façon...

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