Hypocrisie et Fluide [Libre]

Par une douce journée matinal, Sai ce trouver sur devant l’entrée du pensionnat. La peau claire, les yeux et ses cheveux remplient d’un noir éclatants. Sai venait ici se réfugier en cette endroit qu’il lui semblait dénué de toute vie. Le cœur serré et remplie de haine le jeune garçon qui d’habitude était pleine de joie remplie d’une enthousiasme venait de donner naissance à une personne froide et fragile près à pleurer à n’importe quel moment. Ses yeux fixaient le ciel d’un regard si profond qui semblait prié « paix ». Tant de moment il avait passé dans ce pensionnat, mais chaque courant d’air qui décoiffait ca chevelure donnait l’impression au garçon d’avoir regretté sa venue. Lui qui d’habitude remplie de sourire et d’un regard attirant… Que lui était-il arrivé. Retrouver sa famille lui était la seul porte ouverte. Mais il n’en avait plus, il en avait trouvé une sur ce pensionnat… Mais elle n’existait plus. Chaque personne qu’il pouvait apprécier et aimer, finissait tous par disparaître. Mais au moment où il est aimé, c’est alors à lui de disparaître. Sai trouvait la vie si injuste parfois. Et pourtant… si belle et douce. Le jeune étudiant restait debout en plein milieu de cet endroit. Il n’y avait personne aux alentours ou alors n’avait-il pas remarqué la présence des autres. Il était juste accompagner par le vent qui ne cessait d’être à sa poursuite à chacun de ses pas. Oui, Fuji n’était pas seul, mais il aurait tant voulu que ce moment ne sois jamais arrivé. Tant d’événement c’était passer, tant de nouvelle rencontre il avait fait. Et tous ces beaux jours pour en finir avec un résultat si fluide ?! C’est alors qu’un petit sourire se présenta entre les lèvres du jeune étudiant. Il était entrain de regretter ce qu’il lui était arrivé.
Sai revint alors à lui, en ce moment il avait bien trop la tête en l’air. Il à baissa d’un geste lent près a rentrer au pensionnat… Mais c’est alors que sur son chemin il avait rencontrer de jeune garçon en face de lui. Un sourire, un regard puis sans doute un au revoir. Mais son humeur revint aussitôt qu’il laissa échapper un éclat de rire (0_0) … Si Tsume aurait été là, il lui aurait surement foutu une salle droite. Rester droit et polie…. Mais sa, tout le monde savait qu’il ne pouvait pas rester normal et que son hypocrisie en était le résultat final.
Mais maintenant tout avait changé et il se trouvait dans un nouveau pensionnat qu’il ne connaissait même pas … Tous ses moments n’étaient maintenant que des souvenirs fluides et huileux. Vivement qu’il puisse s’intégré vite.

Sakara, jeune infirmière peu expérimenté, se perdait encore quelque fois dans ce grand pensionnat dans lequel elle avait grandit. Pourtant, à sa place d'infirmière, elle s'y perdait bien trop souvent. Aujourd'hui ce n'était pas le cas. Mais elle était en retard très en retard. Pourquoi ? Parce que la jolie demoiselle avait pris bien trop de temps à se pouponner, ce n'est pas de sa faute Sakara aime être jolie et aime se faire désirer. Sa tenue ? Une chemise blanche ouvert jusqu'au troisième bouton toujours à cause de sa poitrine imposante, et une mini jupe qui était couverte par sa blouse. Sakara ne s'habillait que de cette manière, c'était comme ça qu'elle était habituée. Et comme d'habitude plusieurs jeunes gens l'avaient arrêté sur son chemin pour lui parler, la draguer, ou tout simplement faire semblant d'être malade. La seule chose qui la rendait sérieuse, c'était ces petites lunettes rectangulaires qu'elle ne portait que pour travailler. Aujourd'hui elle était placée sur sa poche une branche retenant le reste de la paire de lunettes.
Sakara courait donc en talon aiguilles vers l'infirmerie, mais avant il fallait passé par le hall avant d'atteindre son bureau. Il y avait des tas de jeunes qui discutaient et riaient devant le pensionnat Sakara passait à travers la foule en n'arrêtant pas de s'excuser sa voix douce ne passait même pas à travers le brouhaha des lycéens. Sakara était finalement contraint de les bousculer pour se frayer un chemin. Finalement, elle arriva devant la porte et regarda en l'air pour voir l'immense horloge qui donnait l'heure à toute la ville.
°° Bon je ne suis pas trop trop trop en retard, il me reste encore un peu de temps pour flâner, je suis sur qu'il n'y a encore personne à l'infirmerie dès la première heure, je pourrais encore profiter de mon pensionnat que j'aime tant , bon allez Saka" en marche °°
Ces pensées reflétaient sa bonne humeur, même si qu'il n'y avait rien dans son travail qui était très épanouissant mais bon, il fallait travailler pour vivre. Enfin, elle n'en avait pas besoin Sakara était une riche héritière et n'avait besoin de rien pour vivre, ces cartes lui suffisaient amplement. Mais, elle aimait se sentir utile et c'est pour ça qu'elle travail ici.
Enfin, Sakara continuait de marcher lentement la tête en l'air, respirant ses odeurs familières, la cantine, les odeurs des salles se baladant dans le hall. Quand tout à coup, elle rabaissa la tête car elle s'était cognée sur quelque chose, sur quelqu'un. C'était un inconnu pour elle, qui était ce ? Elle le regarda puis s'excusa automatiquement en faisant une légère révérence, c'est comme cela que ça se passait dans son pays.

- Excusez moi, je suis maladroite...

Sai regardait le ciel du beau matin. Que le vent était frai… Un sourire sortit de ses lèvres. Un sourire doux et jouable. Fuji se prépara alors à rentrer dans le pensionnat, mais fut soudainement brusqué par une personne qu’il lui était totalement inconnu. Sai tomba alors vers l’avant. Il laissa échapper un petit soupire et se releva s’aidant de ses mains. L’étudiant ce secoua sans trop de fracas. Il visionna derrière lui une jeune fille. Étaient-elles tous comme cette jeune personne ?! Une personne qui semblait être bien pressé pour un matin. L’homme se baissa alors à son tour tel une courbette afin daigner son pardon. Fuji regarda aux alentours et rien d’anormal. Il se retourna alors et continua sa marche vers le pensionnat. Quelle étrange personne tout de même. Une jeune fille accompagnée de longs cheveux et d’un regard assez attirant.

Qu’allait-il bien pouvoir faire maintenant. Fuji n’était pas très bavard en son genre. Parler lui donnait mal à la tête certes, mais faudrait comprendre pourquoi. Les yeux noir et attirant regardait la grande porte de l’entré. Ainsi que le hall … Il aurait voulu au moins connaître quelqu’un de son entourage ici.

(dsl, sa va faire la 3ème fois que je recomence le RPg, mais j'ai toujours pas d'inspiration... Sans doute par la suite)

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