Loin des regards....{PV Azuna / Azënua}

Zoreck dans un de ses temps libre avait monté les escaliers du pensionnat sans réaliser qu'il était arrivé au toit. Il s'avança sur la terrasse d'en haut, délimitée par des grilles. Ses pas le menèrent vers la première grille qu'il avait devant lui et il s'y aggripa doucement, les yeux regardant l'horizon qu'il avait devant lui. Dans un petit moment de mélancolie, il repensait à la manière dont il était partie de chez lui, juste ne laissant un mot à ses parents pour leur dire qu'il était allé ici. Ses parents lui faisaient confiance, malgré ses décisions prises sur un coup de tête, ils savaient que c'était un garçon responsable et qu'il ne ferait pas de bêtise. Et pourtant, le jeune homme pensait à la tristesse qu'ils avaient pu avoir en ne voyant plus leur fils du jour au lendemain. Une petite larme roula sur la joue de Zoreck, larme qu'il recueillit du boût du doigt.

"Désolé..."

Sous cette carapace qu'il se créait, cette carapace de joyeuseté, de bonheur, de dragueur, se cachait tout de même un petit boût sentimental qui ne resortait que très rarement.

la fille grimpais, une a une les marches, doucement, lentement, melancoliquement, elle soupira a nouveau, et ouvrit sans peine la porte qui menait au toit.
La porte grinca, mais cela ne la derengera nullement, elle entendut les paroles d'une voix masculine, elle s'approcha en silence, sur ce meme pas leger, et le vit en train de pleurer, elle marcha jusqu'as lui et dit

-ne pleure pas.

c'etait assez etrange comme consolation.

Zoreck faillit sursauter lorsqu'il entendit une voix derrière lui. il se retourna rapidement, séchant rapidement ses yeux du revers de la main et sourit à la fille qui se trouvait devant lui.

"Oui, il faut que j'arrête... Tiens tu vois, je pleure plus!"

Des larmes atteignirent à nouveau ses yeux ce qui le faisait se contredire. Toujours avec le même sourire il s'excusa auprès de la nouvelle venue.

"C'est juste un petit souvenir qui me revenait, rien d'important..."

Il était reconnaissant à la fille, bien qu'elle avait une étrange manière de consoler, d'avoir essayé au moins. Mais ce n'était pas vraiment de la tristesse, juste, l'impression de se sentir responsable du malheur des autres.

elle lui offrit un petit sourire, sentant qu'elle ne pouvait pas faire grand chose de plus, puisqu'elle ne le connaissait pas.
Elle dit d'une voix tendre:

-tant mieu, je n'aime pas voire un jolie visage pleurée

elle sourit a nouveau, et vut qu'il recommenca a pleurée, elle se rapprocha et du bout des doigts, elle essuya les larmes qui coulaient le long de la joue du jeune homme.
D'une voix compatissante, elle affirma:

-tu as le droit de te lacher apres tout...elle hesita..tu veut en parler?

puis elle ce dit qu'elle ne s'etait meme pas presenter, alors elle dit:

-au faite, je m'apelle Azuna. mais je t'en prit, raconte ce qu'il t'arrive.

Et bah, c'était bien sa vaine, il rencontrait une nouvelle personne et tout ce qu'il trouvait à faire, c'était de pleurer. Mince, fallait revoir le contrôle sur ces larmes. Zoreck sourit à la remarque de la fille. Pleurer un beau visage... Lui ne pouvait pas voir le sien c'était pas du jeu. Le geste de la personne le toucha, et il ne put que sourire tristement en essayant d'apercevoir ses traits derrière les images brouillée à cause des larmes qui ne pouvaient pas s'arrêter.

"C'est juste... Je m'en veux d'être parti aussi rapidement de chez moi alors que... Alors que mes parents m'ont toujours élevé avec tout leur amour... Ce n'est pas digne... de les remercier ainsi."

Zoreck laissa couler ses larmes, continuant à être secoué de sanglots incontrolables.

"Je suis... Zoreck..."

La jeune fille, peinée de le voire ainsi, ecouta attentivement ce qu'il dit

-c'est dure de quitter le nid...

dit elle pensive.

-si tu ne le voulait pas, pourquoi l'as tu fait?

elle leva la tête vers le ciel et dit

-tu sais, moi, mes parents sont mort, sa ma fait tout aussi bisarts de ne pas les avoirs a mes coters et de ce dire qu'on es pas près pour les quitters...

soupire, elle lui caressa la joue, essayant de le consoler un petit peu

Les larmes ne voulaient pas s'arrêter un moment, c'était presque agaçant de renifler sans cesse et de ne pas pouvoir avoir une conversation normale.

"Je... Je n'ai pas réfléchi en venant ici... Je n'y ai que repensé tout à l'heure, c'est pour ça que je suis dans cet état pitoyable..."

A l'évocation de la mort des parents d'Azuna, Zoreck s'arrêta de pleurer en la regardant de ses yeux tristes. Elle avait beaucoup plus pire que lui et lui se morfondait pour un petit quelque chose comme ça? Le jeune homme essuya les dernières larmes puis dit:

"Désolé... Je ne savais pas."

La main de la fille sur sa joue était toute douce, cela le réconfortait quelque peu.

"... Qu'est ce que tu fais ici?"

La voix dépourvue de chagrin de Zoreck, la vraie voix, était revenue.

elle sourit et ce dit

*celui qui as dit "le malheure des uns fait le bohneur des autres" n'avais pas tout a fait tord alors...*
elle dit d'une voix appaisante

-personne ne pouvait le savoir, mais ne t'inquete pas, tu vien de t'en rendre compte, moi ca fait longtemps, c'est normale que tu soit boulverser... mais..dit moi, Zoreck, tu n'aurait pas la possibilitée d'aller retrouver tes parents, de leurs expliquer, je suis sur qu'ils comprendraient...

elle attendut sa reponse, puis il posa une autre question, a la quelle elle repondut apres un cour moment:

-et bien... elle reflechit un petit moment et repondut...pendant un moment j'etait dans la rue, et a partire de ce moment, je ne fait que chercher des reponses...

soupire

"Oui, je pourrais aller les retrouver mais... Je ne me sens pas capable de les regarder en face pour le moment. Tu as raison, j'irai les voir... Quand je me sentirai prêt."

Zoreck écouta sa réponse sans vraiment comprendre.

"Qu'est ce que tu cherches? Des réponses à quelles questions?"

Le jeune homme la regarda quelque peu intrigué, oubliant peu à peu la tristesse qui l'avit envahit auparavant. La curiosité avait pris le dessus

elle dit en acquiessant:

-bien, tu voit, je pense que tu sera bientôt pres.

sourit puis elle dit en soupirant

-et bien, je cherche la cose de la mort de mes parents, pourquoi ils m'on cachée que j'avais une soeur jumelle...en faite, j'essaye de decouvrire qui ils etaient, et pourquoi je l'ai ai confondu avec quelqu'un d'autre, comme quoi...ceux que je conciderait comme mes parents, sont si different....

elle leva le regard vert le ciel, pensant son dernier souvenir d'eux: sa mere souriante, son pere egalement, les deux ce prenait dans les bras, comme pour un dernier aurevoir, puis ils partirent en claquant la porte, quelques heures plus tard, son grand frere dit d'une voix seche "tu es assez grande pour comprendre a present...Nos parents sont mort, tu ira habitée chez moi...."
Elle n'entendut pas ce qu'il dit, et tomba en arriere, livide, elle se releva sans l'aide de personne, et monta dans sa chambre, qui ne le serrait bientot plus.
Elle ferma douloureusement les yeux sur cette instent tragique...