Pv Avec Kato | Sous le Néon | Hentaï |

Sakara avait la respiration sacadée. Tout son corps n'en pouvait plus mais elle le laissait continuer tellement le plaisir qu'elle ressentait était parfait. Elle le regardait avec ses yeux qui le suppliyait de continuer et son corps voulait arreter. Mais elle préfèrait garder le plaisir pour elle que de se stopper la. Elle gardait ses lèvres douces sur celle de Yué.

Sakara le poussa un peu sur le torse elle n'en pouvait plus. C'était la première fois qu'elle voulait arreter de faire l'amour. Mais le jeune homme qui lui faisait l'amour était super fort. Elle s'était totalement étaler sur son matelas. Elle était totalement essoufflée . Elle venait de toucher deux fois l'orgasme en plein nez.

Elle le poussa sur le lit en riant. Elle posa sa tête sur son torse pour fermer les yeux. Elle caressa du bout des doigts le torse du jeune homme.

- C'était plus que parfait...

Elle réouvrit les yeux et le regarda en lui caressant la joue.

- Dis, entre toi et moi c'est juste sexuel ?

En disant cette phrase, son regarde était tout d'un coup moins pétillant mais plutot terne et son visage était plutot pale. C'était la première fois qu'elle disait ça. Entre eux, tout était parfait et elle ne voulait rien gacher.

Elle se redressa en gardant un drap de soie contre sa poitrine. Elle baissa la tête un peu triste.

°° Tu t'attendais à quoi ma petite Sakara ? Tu savais très bien qu'il voulait juste te sauter... °°

Ses yeux étaient rempli de larmes, elle se releva et couru jusqu'au la salle de bain et ferma la porte à clé. Elle se laissa glissa le long d'un mur, elle pleurait. Oui, elle pleurait. Pourquoi ? Elle en avait peut - être un peu marre de se faire utliser, d'être un simple objet sexuel. Peut être qu'elle l'avait bien cherché aussi. Donc Sakara pleurait en silence dans sa salle de bain.

Sakara pris une grande inspiration. La jeune femme se releva et passa un coup d'eau sur son visage. Puis après, elle enfila une robe noire qu'il lui arrivait au genou. Elle enfila aussi un boxer noir, fin et non voyant. Elle ne ressemblait pas à une jeune femme qui venait de pleurer. Elle ouvrit la porte.

- Tu veux dire ?

Sakara avait les larmes aux yeux.

- Jt'en prie arrete de me mentir...arrete...beaucoup trop d'hommes mon sortie ces phrases...ça ne veut plus rien dire pour moi...Et je sais que tu es forcement attirer par d'autres jeunes femmes...et tu me laisseras comme les autres...Fais le maintenant pas plus tard...Sors de chez moi, si je ne suis qu'une femme d'un soir et ne te retourne pas...Pars si tu veux me laisser plus tard...Tu ne peux pas affirmer que tu m'aimes alors qu'on se connait depuis hier soir...

Des larmes coulaient sur le visage de Sakara plus elle parlait plus les larmes coulaient. Les hommes avaient déçu cette jeune femme à chaque fois à été trompé ou encore laché puor une autre femme qui sel aissait plus facilement faire.

Sakara revint sur son lit laissant la porte ouverte. Que lui arrivait -il ? Elle ne savait pas...Ces yeux pleurait encore, elle s'essyua le visage d'un revers de la main.
Elle prononça cette phrase à voix basse :

- Peut - être que je t'apprécie plus que je ne le veux...

Sakara détourna la tête. Elle en avait marre des sentiments. Elle avait juste besoin d'un peu d'amour, de mots véritables quelque chose de vrai.

Elle fit un petit oui avec sa tête.
Sakara ne savait pas quoi fiare alors elle resta la sur son lit et le regarda le regard livide et le visage pale. Elle avait jsute bespon d'un calin de se sentir aimer. Elle ne demandait pas grand chose mais personne ne la comprenait.

Sakara déposa tout doucement sa tête sur son épaule et déposa un baiser sur son cou. Elle lui fit un petit sourire et se blottit dans ses bras. Elle carressa du bout des doigts le torse de Yué en fermant les yeux. Elle se sentait bien dans ses bras et murmura tout doucement de façon inaudible" Je t'aime".

Elle porta ses lèvres sur les siennes.
Elle lui offrit un doux baiser.
Sa main caressait la cuisse de Yué.
C'était la première fois qu'elle se sentait si bien.

- Tu..as déjà fais l'amour avec d'autres femmes que moi, dis ?

Elle le regardait dans les yeux, sa main ne quittait pas son visage et lui caressait tout doucement la peau. Elle était calme et douce. Elle paraissait fragile pas comme avant quand elle était provoquante et assoifé de corps à corps.