Momiji avait quitté son orphelinat en train, celui où la destination était l'école, elle envoyait des saluts à toute ses amies par la fenêtre de l'engin. Elle était bien triste de partir ainsi et de les laisser seules là-bas, mais elle devait avancer et faire se qu’elle voulait vraiment c’était travailler a quelque part qu’elle aimerait vraiment et c’était garce a cette école qui l’aiderai à savoir où aller et dans le bon droit chemin. L’aventure pour elle commença enfin, le voyage dura un bon 3 heures à partir de son orphelinat. Alors durant tout le long du voyage elle regardait le paysage qui était tout à fait magnifique. Elle n’avait pas vraiment vu l’extérieur de l’orphelinat à cause qu’ils n’avaient pas le droit de sortit de se bâtiment. Elle arriva enfin à l’école qui était indiqué sur sa feuille qui lui avait été envoyé pour dire qu’elle était acceptée dans cette école. Momiji trouvait que l’école était plus grande en vrai que sur le papier qui lui avait été donné. En partant de l’orphelinat elle avait apporté de l’argent que sa mère lui avait légué pour ses 18 ans.
La jeune femme sortit du train et l’homme qui lui était complètement inconnue lui mit sa valises sur le trottoir pour qu’elle pousse partir. Momiji lui donna l’argent qu’elle lui devait et on vit le train partir au loin très vite .Elle s’avança vers le bâtiment qui était vraiment haut comparer à elle. Armé d’une valise elle continua marcher et a regarder dans les airs pour regarde l’édifice. Les statues qui étaient sculpté dans le bâtiment étaient merveilleuses à ses yeux. C’était magnifiquement bien décoré et c’était une merveilleuse journée pour une rentrée à l’école.Elle était habiller de son petit uniforme c'est-a-dire une petite jupe et une chemise blanche. Momiji qui regardait toujours pas où elle se dirigea tomber face à face avec une personne. Elle tomba par en arrière et sa valise s’ouvrir soudainement car elle l’avait mal fermé à cause qu’il y avait beaucoup de choses. Toute ses vêtements étaient a terre et ainsi que tout ses accessoires. Elle ramassa vite ses affaires, les remit dans la valise, la ferma et dit à la personne gentiment en se relevant.
"Excuser moi je ne voulais pas vous accrochez, je sais je suis tête en l’air. Excuse-moi cette maladroite erreur. "